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L'administration seigneuriale derrière la clôture : les Ursulines de Québec et la seigneurie de Sainte-Croix (1639-1801)

Barthe, Jessica January 2015 (has links)
Bien que l’on connaisse les pratiques de gestion seigneuriale des communautés masculines de la Nouvelle-France, les communautés religieuses féminines sont surtout connues pour leurs contributions en matière d’éducation, de soins et d’entraide. Pourtant, elles ont détenu, au même titre que ces communautés masculines, des propriétés seigneuriales. Afin de combler le silence historique qui entoure l’administration seigneuriale des religieuses, ce mémoire présente le cas des Ursulines de Québec et de leur seigneurie de Sainte-Croix dont elles prennent possession en 1646. Cet événement marque l’union de deux mondes totalement différents. D’un côté, une communauté de femmes cloîtrées, de l’autre, un fief qui devra être colonisé, mis en valeur et administré, afin de permettre aux colons d’occuper le territoire. L’étude qui suit propose un regard nouveau sur cette situation unique, où des moniales sont appelées à jouer le rôle de seigneuresses. Prenant appui sur le concept d’agentivité, cette étude a pour objectif de comprendre en quoi le cloître et le genre ont influencé l’administration de la seigneurie de Sainte-Croix. S’inscrivant dans un cadre géographique particulier, le fief et sa gestion représentent un défi de taille pour les religieuses. Malgré les différents obstacles, comme la distance, elles entreprennent de concéder des terres qu’elles ne verront jamais. Cette absence finit par les rattraper et la population grandissante amène les religieuses à se départir de certaines responsabilités seigneuriales. Dès lors, on remarque une influence masculine grandissante et la gestion seigneuriale se modifie sous l’impulsion de Mère François-Xavier Taschereau.
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Chapelles et églises du vieux monastère des Ursulines de Québec, 1639 à nos jours

Dagnault, Gabrielle 16 April 2024 (has links)
« Sous ce titre: Chapelles et églises du Vieux Monastère des Ursulines de Québec (1639-1983), notre propos est de présenter les aspect architecturaux et historiques des maisons de prière de la plus ancienne communauté de religieuses enseignantes de l'Amérique du Nord. Le but de ce travail est de permettre de visionner dans une suite chronologique l'évolution polyphasique des chapelles et des églises du Vieux Monastère des Ursulines de Québec, en tentant de transmettre une idée aussi exacte que possible du début et de la progression de cette architecture monastique, dans le temps et dans l'histoire, depuis l'arrivée des Ursulines en 1639 jusqu'à nos jours. Pour ensuite établir des comparaisons avec d'autres types de constructions de communautés religieuses fixées au Québec, et ainsi percer, pour les manifester, les tendances dans la structure des bâtiments de ces communautés religieuses contemporaines de celles du Vieux Monastère: les Récollets, les Jésuites, les Augustines de l'Hôtel-Dieu, le Séminaire de Québec et l'Hôpital-Général; ces ordres respectables de religieux et ces prêtres qui constituent le socle primitif de l'architecture d'expression communautaire pendant le Régime français et l'Après-Conquête. Pour finalement replacer cette partie dans l'ensemble, cheminant modestement entre l'architecture monumentale classique du XVIIe siècle et celle des églises de paroisses, mais demeurant toujours fidèle à elle-même, à ses normes communautaires; solidaire quoique différente, de cette architecture religieuse du Québec, qui naît avec des potentialités saines et robustes, mais, devra se développer avec les lenteurs d'une montée rude, adaptée aux difficultés climatiques, à la rareté de la main-d'oeuvre dans un pays séparé de la mère-patrie par un océan, et à des conditions pécuniaires très limitées. Donc, un objectif de priorité: susciter l'intérêt historique sur les débuts, la progression et l'identification de notre architecture religieuse en milieu communautaire, par l'étude d'un type de développement de cette architecture donnée, couvrant une période de 344 ans, et par des comparaisons avec d'autres paramètres de bâtiments communautaires d'époques contemporaines. Le site géographique primitif, l'histoire et l'architecture des bâtiments seront décrits pour chaque chapelle et église. Et comme une architecture n'est jamais isolée, qu'elle naît, croît, progresse et vit à l'intérieur d'une entité sociale, nous introduirons quelques détails caractéristiques de ce milieu québécois. »--Pages 1-2
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L'évolution du dispositif défensif sur le flanc gauche du bastion des Ursulines à Québec

Giroux, Pierre 25 April 2018 (has links)
Le flanc gauche du bastion des Ursulines fut fouillé à deux reprises; nous énumérerons tout d'abord les principaux motifs qui justifièrent ces campagnes de fouilles. La première fouille fut menée par Pierre Chénier, durant les mois de juin et juillet 1975. L'intérêt de cette opération consistait en une reconnaissance du potentiel archéologique de ce secteur. L'objectif global qui occasionna cette prospection archéologique s'inscrivait dans le cadre d'un programme quinquennal de mise en valeur des fortifications de Québec. Outre ce premier aspect, la fouille avait un but plus particulier, soit vérifier et dater la présence sur le terreplein d'un système de soutènement latéral des terres des banquettes similaire à celui mis au jour fortuitement sur le flanc droit du bastion des Ursulines en novembre 1972. La deuxième saison de fouille eut lieu pendant l'été de 1978. Cette campagne avait pour but immédiat de compléter les données archéologiques concernant le parapet où une embrasure avait été mise au jour en 1975. Ceci devait nous permettre par la suite de comprendre l'ensemble du dispositif défensif. Il s'agissait donc d'enregistrer le plus d'éléments susceptibles de faciliter la compréhension des divers phénomènes ayant affecté le parapet et, par conséquent, celle de l'utilisation de ce flanc, lequel constitue en fait l'élément de base de notre recherche. Nous devons mentionner que le flanc gauche du bastion des Ursulines est actuellement un des rares flancs de l'enceinte ouest dont le parapet est complètement remblayé et qui ne comporte par conséquent aucune embrasure. Ce fait suscite une question d'intérêt immédiat, à savoir pourquoi et depuis quand ce flanc n'est-il plus équipé? Voyons maintenant les points d'intérêt de cette recherche. Il faut premièrement signaler que l'évolution du dispositif défensif sur le flanc gauche du bastion des Ursulines ne prend de l'importance que si nous envisageons cette section de l'enceinte ouest de Québec comme une composante d'un de ses cinq fronts défensifs. Il s'agit du plus long, soit celui situé entre les capitales des bastions Saint-Louis et des Ursulines. Ce front comprend la face et le flanc gauche du bastion des Ursulines, la courtine reliant ce bastion au bastion Saint-Louis, le flanc et la face droite de ce dernier. Il faut souligner ici la possibilité d'une concentration de troupes sur ce front défensif car il était appuyé par une esplanade située derrière le bastion des Ursulines et la courtine. Celle-ci était en outre pourvue de deux poternes et de la porte Saint-Louis. C'est en tentant d'établir la corrélation entre les sources de documentation autant historiques qu'archéologiques concernant ce front défensif, que nous comptons en retracer l'évolution et en comprendre le fonctionnement. Nous devons toutefois souligner que, comme l'investigation archéologique a touché exclusivement le bastion des Ursulines et plus particulièrement le flanc gauche, notre travail se veut avant tout un essai. Il s'agira premièrement de présenter les données archéologiques enregistrées sur le flanc gauche du bastion des Ursulines; par la suite, nous les mettrons en relation avec la documentation écrite et figurée couvrant les périodes française, britannique et canadienne qui concerne non seulement ce flanc, mais aussi l'ensemble du système dont il fait partie, soit son front défensif. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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De l'invisible atome à l'immensité du cosmos : les sciences chez les Ursulines de Québec (1830-1910)

Lafrance, Mélanie 24 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017. / Les Ursulines de Québec ont offert des leçons de sciences à leurs élèves dès le début du XIXe siècle. À l'époque, les sciences sont populaires au sein de l'élite. L'ajout de cours de sciences au cursus dans les années 1830 – astronomie, botanique, minéralogie, chimie et physique – vise à attirer la clientèle et à rehausser le prestige du pensionnat. Quatre religieuses anglophones, dont trois étaient originaires des États-Unis, ont mis en place cet enseignement, avec l'appui de l'abbé Thomas Maguire, chapelain des Ursulines, et des professeurs de sciences du Séminaire de Québec. Au-delà du désir de transmettre aux élèves des connaissances scientifiques propres à agrémenter les conversations mondaines, les cours de sciences avaient pour finalités de révéler aux élèves l'œuvre du Créateur et de développer leur sens pratique, ce qui, aux yeux des éducatrices et éducateurs du XIXe siècle, convenait particulièrement aux filles. Sur certains aspects, néanmoins, les cours de sciences enseignés aux pensionnaires des classes terminales se distinguent du modèle général d'éducation des filles de l'époque. Dans les notes de cours, la science apparaît intimement liée au progrès et dépourvue d'applications ménagères. Les connaissances scientifiques transmises s'étendent de l'infiniment petit à l'immensité du cosmos en passant par les règnes animal, végétal et minéral. Leur acquisition implique une remise en question de conceptions usuelles. Un désir d'instruire, plus que modestement, les élèves et de développer leur rigueur intellectuelle se révèle. Dans l'historiographie, l'enseignement des sciences aux filles au Québec restait largement méconnu. Les résultats de la présente étude nous invitent à repenser le rapport que les femmes entretenaient avec les sciences au XIXe siècle. À l'époque où les filles n'avaient pas accès au cours classique, les cours de sciences pouvaient représenter une alternative moralement acceptable pour une maison d'éducation désireuse d'offrir à ses élèves un niveau plus relevé d'instruction.
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Étude sur les reconstitutions historiques en tant que stratégie expographique : la muséologie d'espace

Gélinas, Dominique 24 April 2018 (has links)
L’engouement pour la mise en valeur du patrimoine par la modélisation virtuelle en 3D ramène les reconstitutions historiques à l’avant-plan des études muséales. Pourtant, le musée utilise depuis longtemps ce dispositif comme stratégie expographique. Nous assistons désormais à une véritable transformation, induite par les technologies, au sein du dispositif et des savoir-faire des expographes. Ayant été utilisée en continu par le musée, la reconstitution historique constitue un indicateur pour mesurer l’impact de la progression des technologies dans l’expographie. À partir d’une grille typologique, une revue de seize dispositifs de reconstitution a été effectuée. On remarque alors que l’introduction de la non-linéarité crée un changement de situation en imposant le parcours comme maître d’œuvre de l’expérience muséale au lieu du discours en tant que récit patrimonial. Trois terrains d’enquête viennent corroborer cette idée : l’exposition permanente de la Maison Chapais à Saint-Denis-De La Bouteillerie (Québec), la visite autonome avec tablette numérique de la même Maison Chapais et le modèle virtuel interactif en 3D du Monastère des Ursulines de Québec (Canada). Le premier terrain révèle que le parcours est le résultat du déplacement du visiteur et du traitement de l’espace et qu’il induit le discours. Dans le deuxième cas, la reconstitution mixte, les technologies s’ajoutent à cette équation comme une parenthèse bien articulée, tandis que dans le troisième cas, la reconstitution virtuelle, les technologies ont tellement envahi le dispositif que toutes les composantes sont régies par elles. En effet, on remarque que les composantes du dispositif se transforment, certaines gagnent en importance, mais également que ces mutations s’opèrent dans la gestion de projet. Ces bouleversements favorisent une nouvelle approche conceptuelle expographique que nous nommons « la muséologie d’espace ». Néanmoins, cette pratique émergente n’est pas encore maîtrisée par les professionnels. Toutefois, elle témoigne de l’adaptation nécessaire dont le musée doit faire preuve dans la société actuelle. MOTS CLÉS : Expographie, reconstitution historique, conceptualisation, muséologie d’espace, intégration technologique. / Enthusiasm for cultural heritage through virtual 3D modelling brings historical reconstitution back to the forefront of museum studies. Yet, museums have been using this technique as an exhibition strategy for a long time. We are currently experiencing a real transformation, driven by technology, of the manner in which exhibition project managers work. Having been used extensively by museums, historical reconstitutions are good indicators for measuring the impact of technological advances in exhibitions. To this end, using a typological grid, a review of sixteen historical reconstitutions was conducted. The review revealed that when non-linearity was incorporated into exhibition delivery, a shift occurred; the museum visit focused on the journey as experience rather than as an account of a heritage story. Three study cases support this finding: the permanent exhibition at Maison Chapais in Saint-Denis-De La Bouteillerie (Québec), the self-guided tour using a digital tablet of the same Maison Chapais and the interactive virtual 3D model of the Québec Ursuline Convent (Canada). The first case reveals that the journey, a combination of the visitor’s movements and the treatment of the space, creates the account. In the second case, mixed reconstitution, technology is added to the equation as a well-articulated supplement and thirdly, a full virtual reconstitution, technology has so overtaken the display that it governs all components. Indeed, not only are all the elements of the display transformed - with some aspects increasing in importance - but that these changes also occur in the conception and management of projects. These upheavals nurture a new exhibition approach that can be described as “spatial museology”. Nevertheless, professionals have not yet mastered this emerging practice; however, it signals a critical way in which museums must adapt in today’s society. KEYWORDS: Exhibition, historical reconstitution, conceptualization, spatial museology, technological integration
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Femmes porteuses de savoirs scientifiques : les Ursulines de Québec et l'enseignement des sciences aux filles (1800-1936)

Lafrance, Mélanie 10 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 31 juillet 2023) / Dès le début du XIXᵉ siècle, les élèves des Ursulines de Québec ont étudié les sciences, soit l'astronomie, la chimie, la physique, la botanique, la zoologie, la minéralogie et la géologie. Qui furent les femmes, porteuses invisibles de savoirs scientifiques, qui enseignèrent les sciences à ces demoiselles ? Comment ont-elles élaboré, déployé et assuré la pérennité de cet enseignement? L'objectif de la présente thèse était de saisir le rôle joué par les Ursulines de Québec dans la transmission d'un savoir scientifique aux filles entre 1800 et 1936. Par une approche de type prosopographique, les trajectoires individuelles et collectives de quinze maîtresses de sciences ont été retracées et analysées au regard de leur appartenance à la communauté ursuline et des impératifs externes au monastère. De façon générale, entre 1800 et 1936, trois générations de maîtresses de sciences se sont succédé au pensionnat des Ursulines de Québec. Les maîtresses de sciences de la première génération ont participé à la genèse de l'enseignement des sciences entre 1800 et 1844. Ces femmes, dont trois étaient natives des États-Unis, avaient acquis un bagage de savoirs au sein de leurs familles. Elles ont porté jusqu'au pensionnat de Québec un modèle éducatif féminin qui incluait des leçons de sciences. La communauté ursuline, qui cherchait à attirer les élèves dans leur pensionnat, s'inspira également des maisons d'éducation européennes et étatsuniennes les plus réputées. Elle ajouta des disciplines à son curriculum, dont les sciences. Elle put alors compter sur l'appui des autorités catholiques qui, en position de fragilité dans la colonie anglaise, craignaient un exode des filles des élites canadiennes-françaises vers les écoles anglo-protestantes. Les maîtresses de sciences de la seconde génération ont œuvré entre 1844 et 1903, une période désignée « émulation tranquille » en raison de la relative autonomie des Ursulines dans leur enseignement et de la stabilité de leur cours d'études. Les maîtresses de sciences de cette époque étaient nées à Québec et elles avaient étudié au pensionnat des Ursulines. Si leurs apports individuels furent plus difficiles à cerner, leur contribution collective à l'enseignement des sciences a pu être retracée. Ces maîtresses ont déployé un ensemble d'expérimentations et d'activités pratiques qui visaient à rendre sensible l'insaisissable, des phénomènes naturels au divin. À l'aube du XXᵉ siècle, un modèle d'enseignement des sciences propre à la maison d'éducation était bien établi. C'est dans l'ombre que la troisième génération de maîtresses de sciences a prolongé son enseignement entre 1903 et 1936, une période désignée « la pérennité des sciences ». Ces éducatrices natives du Québec étaient aussi d'anciennes élèves du pensionnat. Leurs trajectoires témoignent d'une diversification des fonctions des religieuses et d'un alourdissement de leurs tâches. Une fatigue est perceptible. Cette époque fut d'ailleurs marquée par des changements successifs au programme d'études : ajustements aux brevets de l'État (1903-1908), création d'un cours d'art ménager (1909), création du cours Primaire supérieur affilié à l'Université Laval (1912). Les leçons de sciences furent ébranlées, mais maintenues par les éducatrices en dépit du désintérêt, voire du désaveu de leurs supérieurs ecclésiastiques qui, inquiétés par le mouvement des femmes, jetèrent leur dévolu sur les arts ménagers et épistolaires. L'étude des trajectoires individuelles et collectives de quinze maîtresses de sciences qui se sont succédé au pensionnat des Ursulines de Québec entre 1800 et 1936 a aussi permis de mettre en lumière une diversité de modalités de circulation du savoir scientifique, notamment le recrutement de religieuses hors des frontières, les apports des contacts (professeurs, familles, anciennes élèves) et l'acquisition de manuels et d'instruments scientifiques. La provenance étatsunienne et européenne du savoir scientifique au XIXᵉ siècle fit place, au tournant du XXᵉ siècle, à une provenance plus locale. Enfin, la façon dont les Ursulines de Québec ont élaboré, déployé et perpétué leur enseignement des sciences entre 1800 et 1936 témoigne de leur capacité à concilier, sans coup d'éclat, leurs aspirations - ici, demeurer fidèles à la tradition éducative qu'elles avaient créée au début du XIXᵉ siècle et qui reposait sur la transmission d'une culture littéraire, historique et scientifique - celles des parents des élèves et, non les moindres, celles des autorités cléricales et scolaires.

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