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La langue bretonne à Arradon au XXe siècle : réflexion sociolinguistique sur l'histoire du breton à travers un exemple particulier / Breton language in Arradon during the XXth century : a sociolinguistic reflection about the history of Breton through a particular example

Faby-Audic, Armelle 21 September 2013 (has links)
Arradon est une commune littorale du sud de la Bretagne, située aux portes de Vannes. Le breton a été la langue de la quasi totalité de sa population jusqu’au XXe siècle. Les témoignages recueillis auprès de quelques bretonnants locaux montrent la vitalité de sa pratique jusqu’à la seconde guerre mondiale ; récits de vie, recueil de littérature orale (contes, chansons, comptines ...) et plus rares exemples d’utilisation à l’écrit l’attestent. Dès la fin de la première guerre mondiale cependant, se produit une rupture dans la transmission de la langue. Dès lors le clivage linguistique, auparavant sociologique, devient aussi générationnel. Le breton est connoté négativement : corrélé dès le début du siècle avec la pauvreté car les élites économiques sont francophones et avec l’ignorance car le français est la seule langue admise à l’école, il semble désormais lié au passé et à une civilisation paysanne traditionnelle qui disparaît Après la seconde guerre mondiale, seules les personnes âgées parlent breton et le bond démographique de la commune à partir de 1965 accentue encore cette marginalisation. À la fin du XXe siècle, le breton suscite un regain d’intérêt mais la distance entre le parler local et la norme standard ne favorise pas le lien entre anciens et nouveaux locuteurs, entre pratique populaire souvent confinée à l’oralité et pratique scolaire influencée par l’écrit. La mise en perspective historique et la confrontation de différents regards sur cette mutation linguistique permettent d’en analyser les causes et les processus, et aussi d’étendre la réflexion à la place des langues à l’heure de la mondialisation. / Arradon is a commune on the shore of south Brittany, located close to Vannes. Breton has been the language of quite its whole population right up the 20th century. Accounts from some native Breton speakers show how lively was its practice until the 2nd world war : in the daily life, through the oral culture (tales, songs, rhymes etc.) and more rarely in written uses. However, since the end of the 1st world war a break happened in the transmission of the language. Therefore the linguistic divide which was sociological became a divide between generations. Breton language had negative connotations : at the beginning of the century, associated with powerty because economic elites were French speakers and with ignorance because French was the only language allowed at school ; later, it seemed tied up to the past and the vanishing traditional rural civilization. After the 2nd world war, only old people can speak Breton and the demographic jump of the commune since 1965 increased their different being. At the end of the XXth century, Breton is getting more consideration in the public sphere but the gap between the local dialect and the standard makes difficult the links between popular practice often enclosed to oral uses and scholar practice influenced by the written norm. Historic context and comparison of different points of view on this linguistic major change let highlight its causes and process, and also think wider about the place of languages at globalization time.
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Etude pluridimensionnelle d'un parler description, émergence et aspects sociolinguistiques du breton de Malguénac /

Le Pipec, Erwan Favereau, Francis January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Celtique : Rennes 2 : 2008.
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Étude sémantique et lexico-combinatoire de lexèmes du champ sémantique de la santé en breton vannetais dans le cadre de la théorie linguistique Sens-Texte / Semantic and lexico-combinatorial study of lexemes of the semantic field of Health in Breton vannetais in the frame of the linguistic theory Sense - Text

Louis, François 14 December 2015 (has links)
La thèse propose un début d’étude du champ sémantique de la santé en breton vannetais. Cette étude est basée sur un corpus de breton littéraire vannetais et un corpus de breton oral recueilli auprès de locuteurs traditionnels de la région de Pontivy. Le travail de description de lexies de ce champ sémantique est fait dans le cadre de la théorie linguistique Sens-Texte. Dans un premier temps sont données des explications sur le modèle linguistique proposé par la théorie Sens-Texte et sur la branche lexicologique de cette théorie, la Lexicologie Explicative et Combinatoire. La combinatoire lexicale et syntaxique des noms dénotant des troubles physiologiques, y compris ceux dénotant des maladies, est ensuite décrite. Cette description suppose un travail de lexémisation – c’est-à-dire de distinction des différentes acceptions d’un mot polysémique – de quelques vocables dont certaines acceptions sont des lexèmes de base de ce champ sémantique : les vocables DROUG ‘mal’, KLEÑVED ‘maladie’, KLAÑV ‘malade’, KLEÑVEDET lit. ‘maladié’ = ‘qui a une maladie’, YAC’H ‘en bonne santé’, YEC’HED ‘santé’ et AESAAT ‘guérir’. Il est proposé une description la plus complète possible de ces lexèmes. Il s’agit de la toute première tentative d’application au breton d’une méthodologie d’élaboration dictionnairique claire et cohérente, au fort pouvoir descriptif. En outre, ce travail de thèse débouche sur un corpus de breton oral d’environ un demi-million de mots, outil précieux pour les chercheurs sur la langue bretonne / The thesis offers a first-start study of the semantic field of health in the vannetais variety of Breton, based both on a corpus of literary Breton from the Vannes region and a corpus of oral Breton collected from traditional speakers in the Pontivy area. Lexicographic description of lexical units from that semantic field is embedded in the Meaning-Text linguistic theory. An overview of the theory, in particular it’s lexicological branch, the Explanatory and Combinatorial Lexicology is given, followed by a detailed description of the lexical and syntactic co-occurrence of nouns denoting physiological disorders, illnesses and diseases. Such a description has required lexemization of vocables (= discrimination of different word-senses of polysemous words) to which belong basic lexemes of this semantic field: DROUG ‘≈ physiological disorder’, KLEÑVED ‘disease’, KLAÑV ‘ill / sick’, KLEÑVEDET lit. ‘made.ill’ = ‘having an illness’, YAC’H ‘healthy’, YEC’HED ‘health’ and AESAAT ‘to cure / heal’. These lexemes have been given a detailed lexicographic description. The thesis represents the very first attempt at applying a clear, coherent and descriptively powerful lexicographic methodology to Breton data. In addition, it makes available to the scientific community a corpus of oral Breton of about a half million words
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La langue bretonne à Arradon au XXe siècle : réflexion sociolinguistique sur l'histoire du breton à travers un exemple particulier.

Faby-Audic, Armelle 21 September 2013 (has links) (PDF)
Arradon est une commune littorale du sud de la Bretagne, située aux portes de Vannes. Le breton a été la langue de la quasi totalité de sa population jusqu'au XXe siècle. Les témoignages recueillis auprès de quelques bretonnants locaux montrent la vitalité de sa pratique jusqu'à la seconde guerre mondiale ; récits de vie, recueil de littérature orale (contes, chansons, comptines ...) et plus rares exemples d'utilisation à l'écrit l'attestent. Dès la fin de la première guerre mondiale cependant, se produit une rupture dans la transmission de la langue. Dès lors le clivage linguistique, auparavant sociologique, devient aussi générationnel. Le breton est connoté négativement : corrélé dès le début du siècle avec la pauvreté car les élites économiques sont francophones et avec l'ignorance car le français est la seule langue admise à l'école, il semble désormais lié au passé et à une civilisation paysanne traditionnelle qui disparaît Après la seconde guerre mondiale, seules les personnes âgées parlent breton et le bond démographique de la commune à partir de 1965 accentue encore cette marginalisation. À la fin du XXe siècle, le breton suscite un regain d'intérêt mais la distance entre le parler local et la norme standard ne favorise pas le lien entre anciens et nouveaux locuteurs, entre pratique populaire souvent confinée à l'oralité et pratique scolaire influencée par l'écrit. La mise en perspective historique et la confrontation de différents regards sur cette mutation linguistique permettent d'en analyser les causes et les processus, et aussi d'étendre la réflexion à la place des langues à l'heure de la mondialisation.

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