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Étude phénoménologique de l'expérience d'être incestée /

Gravel, Hélène, January 1998 (has links)
Thèse (Ph.D.)--Université Laval, 1998. / Bibliogr.: f. [160]-165. Publié aussi en version électronique.
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Étude comparative des caractéristiques sociofamiliales associées à l'inceste père biologique/fille et à l'inceste substitut paternel/fille chez des filles âgées de 6 à 18 ans bénéficiant des services des Centres jeunesse du Québec

Vachon, Sébastien. January 2001 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2001. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Comportements sexualisés problématiques chez les enfants : facteurs étiologiques et perspective longitudinale

Lampron, Jacinthe 20 April 2018 (has links)
La présente thèse vise à explorer les comportements sexualisés problématiques (CSP) chez les enfants selon deux perspectives : l'étiologie et la persistance. Pour ce faire, deux études empiriques ont été réalisées. La première étude a exploré les antécédents d'agression sexuelle, le genre et les facteurs psychosociaux dans le développement des CSP chez 316 enfants de 2 à 12 ans. Plus spécifiquement, cette étude a comparé les enfants présentant des CSP sans antécédent d'agression sexuelle (SAS) et avec agression sexuelle (AS) par rapport à la fréquence de CSP, à l'intériorisation, à l'extériorisation et au genre. Cette étude visait aussi à déterminer quels facteurs de risques psychosociaux étaient plus susceptibles de prédire les CSP chez les enfants sans antécédent d'agression sexuelle en évaluant si les mêmes facteurs pouvaient prédire les CSP chez les garçons et chez les filles. Les résultats ont fait ressortir que le groupe d'enfants ayant des CSP SAS présente des niveaux cliniques d'intériorisation et d'extériorisation. Des différences entre le groupe AS et SAS ont également été relevées. Notamment, le groupe AS présente davantage de CSP et d'extériorisation que le groupe SAS. Des différences de genre ont été soulevées dans le groupe SAS avec les filles qui présentent des niveaux de CSP et de psychopathologies plus sévères que les garçons. Dans le groupe AS, aucune différence entre les genres n'a été rapportée. De plus, les résultats ont fait ressortir que chez les enfants sans antécédent d'agression sexuelle, les bris de frontières dans la famille, la séparation des parents, la qualité des relations sociales ainsi que la violence physique ressortent comme prédisant une part significative de la variance des CSP. Des différences entre les genres sont ressorties dans les facteurs pouvant prédire les CSP. Chez les filles, ce sont les bris de frontières dans la famille de même que la violence physique qui prédisent les CSP, alors que chez les garçons, c'est plutôt la qualité des relations sociales, le fait d'être témoin de rapports sexuels des parents ainsi que la séparation des parents qui expliquent les CSP. Cette étude fait ressortir l'importance de considérer les genres séparément chez les enfants SAS dans l'étude des CSP et d'investiguer l'existence d'effets d'interactions avec différentes conditions de vie. La seconde étude vise à évaluer l'évolution des CSP dans un intervalle d'environ 2 ans et d'évaluer, parallèlement, les trajectoires de psychopathologies. Des sous-groupes d'enfants sont également identifiés par rapport à différentes trajectoires de CSP, à savoir si les CSP se maintiennent, augmentent ou diminuent et si certains facteurs de risque psychosociaux peuvent prédire l'appartenance à une trajectoire. Les résultats ont montré que les CSP dans le groupe symptomatique diminuent significativement avec le temps. Le niveau de CSP, d'intériorisation et d'extériorisation se maintiennent néanmoins à un niveau clinique ou à la frontière de ce seuil aux deux temps de mesure. De plus, une analyse de groupement a fait ressortir trois trajectoires de CSP : une trajectoire stable qui maintient un haut niveau de CSP, une trajectoire descendante où les enfants montrent une rémission complète, ainsi qu'une trajectoire d'enfants asymptomatiques chez qui les comportements sexualisés se maintiennent à un niveau sous-clinique aux deux temps de mesure. Les résultats montrent également que davantage d'extériorisation et un plus grand pourcentage de fille sont rapportés chez les enfants qui maintiennent de hauts niveaux de CSP par rapport à ceux qui montrent une rémission. Cette étude a permis de faire ressortir différentes trajectoires de CSP et soulève la question de la vulnérabilité accrue des filles pour le maintien à long terme des CSP
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La transmission intergénérationnelle et les modes relationnels intrafamiliaux dans une problématique d'abus sexuels père-fille

Leclerc, Luce 19 November 2021 (has links)
La transmission intergénérationnelle et la différenciation systémique servent de point de repère à une réflexion concernant les modes relationnels, chez des femmes ayant vécu l'inceste. Notre intérêt spécifique est de faire ressortir le profil relationnel d'un groupe composé de femmes victimes d'abus sexuels père-fille et d'un groupe sans problématique déclarée à l'aide du Persona! Authority in Family System-Questionnaire. S'appuyant sur les références théoriques, il est souligné comment la différenciation de soi peut devenir un élément important dans le développement de l'individu. Les conséquences découlant d'un bas niveau de différenciation peuvent s'avérer être pathologiques pour la personne. Nos résultats révèlent que seules les variables d'intimité intergénérationnelle et d'intimité individuation conjugale montrent une différence significative entre les deux groupes supposant un phénomène de transmission intergénérationnelle.
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Étude de la résilience dans les cas d'inceste, père-fille, beau-père et belle-fille à la période prépubère et pubère auprès de femmes adultes et mères : comment s'affranchir des traumatismes d'une relation incestueuse?

Lapointe, Danièle 26 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 15 janvier 2024) / Un abus sexuel commis sur un enfant est une forme de maltraitance. Il recouvre des comportements qui vont de l'attouchement à la pénétration. L'enfance et l'adolescence sont, en effet, deux périodes les plus propices aux abus sexuels. Parmi les études récentes dans ce domaine, l'étude canadienne (Burczycka et Conroy, 2017) indique que 70,3 % sont des abus intrafamiliaux alors que 15,2% sont commis par une connaissance. Le rapport québécois de l'INSPQ (2017) portant sur les infractions sexuelles commises à l'égard des enfants indique que 66 % des abus sexuels déclarés sont commis avant l'âge de 18 ans. Les études montrent également que, de tous les cas d'abus sexuel, 81% des victimes sont de sexe féminin (Cotter et Beaupré, 2014; Silva et Collin-Vézina, 2017). Il est aussi démontré que les adolescents, les enfants, les autochtones, les personnes célibataires, les personnes homosexuelles et bisexuelles et les personnes ayant des difficultés de santé mentale sont aussi plus à risque d'être abusés (Conroy et Cotter, 2017). On estime également que la plupart des abus sont des cas d'inceste et que la majorité des victimes en ressentent des effets délétères (Bilan DPJ-DP, 2017; Gérard, 2014; Koçtürk et Yüksel; 2019; Vaillancourt-Morel et al., 2013). Or, depuis une trentaine d'années, des recherches ont mis en évidence une possibilité de rétablissement pour des victimes d'abus sexuel en général (Baril et Tourigny, 2009 ; Berthelot et al., 2019) et d'inceste en particulier (Affi et McMillan, 2011; Cicchetti et Rogosch, 2012). Ces personnes « dites résilientes » utiliseraient des stratégies adaptatives leur permettant de se protéger du trauma de l'abus dont elles ont été victimes (Barnes et Josefowitz, 2014; de Becker et Maertens, 2015; Cyrulnik, 2013). La présente thèse s'est donnée pour objectif d'approfondir les connaissances scientifiques relatives à la résilience de ces populations cibles. Plus précisément, cette thèse, réalisée en counseling et orientation, rapporte les résultats d'une recherche réalisée auprès de 33 femmes adultes et mère ayant vécu l'inceste durant l'enfance et/ou l'adolescence de la part de leur père ou de leur beau-père. L'approche mixte est celle retenue à prédominance interactionniste et interprétative. La démarche a été structurée en deux étapes. La première a été consacrée à l'identification de deux profils, soit le profil « PICT » (n=21) qui fait référence aux participantes avec impacts cliniques traditionnels et le profil « PEPR » (n=12) qui réfère aux participantes engagées dans un processus de résilience. Les résultats de la première étude convergent avec l'état des connaissances sur la question, puisque plus d'un tiers des participantes se sont classées dans profil résilient (Domhardt, et al., 2015). La deuxième démarche a consisté à comparer les deux profils selon les trois hypothèses suivantes : les participantes du profil « PEPR » devaient avoir développé des capacités adaptatives plus fonctionnelles que les participantes du profil « PICT », avoir développé un lien d'attachement plus fonctionnel, principalement avec leur mère ou avec une personne présentant une figure d'attachement et démontré une capacité de mentalisation également plus fonctionnelle pour ce profil. Les premiers résultats du test t de Student présentent une absence de différence significative entre les profils pour l'ensemble des facteurs. Toutefois, les résultats de la taille de l'effet du d Cohen (1988) à ce test montre un d plus élevé à sous-échelle de l'aliénation du lien d'attachement t(31) = 1.74, p = .08, d = 0.65, à l'échelle de la mentalisation t(31) = 1.83, p = .08, d = 0.66 et à quatre sous-échelles de la mentalisation, soit le mode de pensée concrète t(31) = 1.89 , p = 0.07, d = 0.70, le mode défensif de bas niveau t(31) = 0.65, p = 11, d = 0.61, le mode objectif-rationnel t(31) = 1.42, p = 0.17, d = 0.51 et le mode haut niveau t(31) = 1.37, p = 0.22, d = 0.60. Puis, l'étude exploratoire de régression logistique univariée et multivariée montre que les deux profils semblent significativement différents en ce qui concerne la proportion des participantes qui sont en couple β = 1.79, p = 0.04, RC = 6, le niveau de pensée intermédiaire de la mentalisation β = 1,09, RC = 2.96 et l'âge de la victime lorsque l'abus a pris fin β = 0,27, RC = 1,30. Les résultats de l'analyse qualitative vont dans le même sens que ceux qui précèdent. C'est-à-dire, qu'il n'y a pas de différence entre les deux profils, car l'une et l'autre utilisent des stratégies de coping. Toutefois, celles du profil « PEPR » sont plus élaborées que celles du profil « PICT ». Les résultats ne révèlent pas de différence entre les profils se rapportant au lien d'attachement. L'hypothèse avancée se rapporte à l'absence de soutien maternel pour la majorité des participantes à l'étude. Par ailleurs, la capacité de mentalisation est notablement plus élaborée chez les participantes du profil « PEPR » que celles du profil « PICT ». Pour conclure, la présente étude doctorale corrobore les recherches qui montrent que la résilience est difficile à opérationnaliser, notamment avec un nombre restreint de participantes. Elle rejoint également les recherches qui soulignent l'apport majeur des informations issues des entrevues semi-dirigées C'est ce qui a, notamment été la richesse de la présente étude doctorale. / Sexual abuse of a child is a form of maltreatment. It covers behaviours ranging from inappropriate touching to penetration. Childhood and adolescence are, indeed, the two periods during which sexual abuse is most common. Among recent studies, the Canadian study (Burczycka et Conroy, 2017) indicates that 70,3 % involved intrafamilial abuse and 15,2 % was committed by an acquaintance of the victim. The Quebec report conducted by the INSPQ (2017) on sexual offences committed against children found that 66% of reported cases of sexual abuse occurred when the victims were under the age of 18. Studies also show that 81% of all victims of sexual abuse are of the female gender (Cotter & Beaupré, 2014; Silva & Collin-Vézina, 2017). It is also demonstrated that teenagers, children, Indigenous peoples, single people, homosexual and bisexual people, and those with poorer mental health are at higher risk of being abused (Conroy & Cotter, 2017). Available evidence suggests that the majority of cases of abuse are incestuous and that most victims experience harmful effects (Bilan DPJ-DP, 2017; Koçtürk & Yüksel; 2019; Gérard, 2014; Vaillancourt-Morel et al., 2013). Research conducted in the past three decades, however, has highlighted the possibility of recovery for victims of sexual abuse in general (Baril & Tourigny, 2009; Berthelot et al., 2019) and of incest in particular (Affi & McMillan, 2011; Cicchetti & Rogosch, 2012). These “resilient” individuals employ adaptive strategies to protect themselves from the traumatic effects of the abuse they have suffered (Barnes & Josefowitz, 2014; de Becker & Maertens, 2015; Cyrulnik, 2013). The objective of this doctoral thesis is to expand scientific knowledge on resilience by studying 33 women who suffered incest during childhood and/or adolescence at the hands of their father or stepfather. More precisely, this thesis, accomplished in counseling and sciences of orientation, reports the results of research carried out in 33 adult women and mothers who experienced incest during childhood and/or adolescence at the hands of their father or stepfather. The mixed approach is the predominantly interactionist and interpretive one. To achieve this objective, this study was conducted in two phases. The first phase was devoted to the identification of two profiles. The first profile, « PICT » (21) is comprised of participants with traditional clinical effects, and the second profile « PEPR » (12) comprises of participants engaged in a process of resilience. The results of the first study support those found in the literature review, with more than one third of respondents classified as resilient (Domhardt, Münzer et al. (2015). In the second approach, the content analysis was used to compare the two profiles against the following three hypotheses: « PEPR » respondents were expected to have developed greater coping strategies, a stronger emotional bond and better mentalizing ability than « PICT » respondents. Initial results show no significant differences between the profiles for the factors considered. However, Cohen's d measure effect (1988) results showed a higher d on the attachment alienation subscale t(31) = 1.74, p = .08, d = .65, at mentalization t(31) = 1.83, p = .08, d = .66 and four subscales of mentalization, namely the concrete mode of thought t(31) = 1.89 , p = 0.07, d = 0.70, the low level defensive mode t(31) = 0.61, p = 11, d = 0.61, the objective-rational mode of thought t(31) = 1.42, p = 0.17, d = .51, and for the low-level thinking mode t(31) = 0.81, p = 0.22, d = 0.60. Then, the exploratory study of univariate and multivariate logistic regression shows that two profiles appear to be significantly different with regard to the proportion of respondents who are in a relationship β = 1.79, p= 0.04, RC = 6, the level of intermediate self-reflective thought during mentalization β = 1,9, RC = 2.96 and the age of the victim when the abuse ceased β = 0,27, RC = 1,30. The results of the qualitative analysis go in the same direction as those above. That is to say that there is no difference between the two profiles, because both use coping strategies, However, those of the PEPR » profile are more elaborate than those of the « PICT » profile. The results show no difference between the profiles relating to the attachment link. The hypothesis put forward is associated with a lack of maternal support for most of the study respondents. The capacity mentalization is notably more developed among participants in the « PEPR » profile than those in the « PICT » profile. In conclusion, this doctoral study corroborates research findings that resilience is difficult to operationalize, particularly with a limited number of respondents. The study also supports research highlighting the significant value of information gathered in semi-structured interviews. Such interviews led to many of the insights of this doctoral study.
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Manifestation des comportements extériorisés et de la dérégulation émotionnelle chez des garçons et des filles victimes d'agression sexuelle au cours de l'enfance

Patriarca, Milène 19 April 2018 (has links)
Les enfants victimes d’une agression sexuelle extrafamiliale ou intrafamiliale sont plus à risque de présenter des problèmes psychologiques. Au sein de la population, les problèmes psychologiques se manifestent différemment selon le sexe de l’enfant. Chez les enfants victimes d’une agression sexuelle, cette thématique n’a pas été bien étudiée et les quelques résultats disponibles ne permettent pas de tracer un portrait clair des différences de sexe. Ce manque de précision est en partie attribuable à la rareté des études, à l’absence de contrôle de la nature intra ou extrafamiliale de l’abus et au type d’instruments utilisés qui évaluent des concepts larges. L’objectif du présent mémoire est d’évaluer les différences de sexe chez des victimes d’une agression sexuelle extra ou intrafamiliale en évaluant des comportements extériorisés précis, soit des comportements d’agressivité directe et indirecte. Aussi, sur une base exploratoire, la dérégulation émotionnelle, un déficit persistant d’autorégulation des émotions et des comportements, est étudiée. En tout, 285 enfants ont pris part à la recherche et ils se répartissent en trois groupes : témoin, agression sexuelle extrafamiliale et agression sexuelle intrafamiliale. Les participants sont âgés de 5 à 10 ans. Les différences entre les sexes sont mesurées à l’aide de la traduction française de l’échelle comportementale Child Behavior Checklist (CBCL, Achenbach, 1991). Plus précisément, quatre sous-échelles de cet instrument sont utilisées : une échelle officielle mise au point par Achenbach et ses collègues, celle mesurant les comportements externalisés et trois échelles développées par d’autres chercheurs et mesurant l’agressivité indirecte, l’agressivité directe et le Profil de dérégulation, soit le CBCL-Juvenile Bipolar Disorder. Les résultats montrent que, chez les victimes d’agression sexuelle, il y a peu de différences entre les filles et les garçons sur le plan des comportements extériorisés et de la dérégulation émotionnelle. Toutefois, les garçons manifestent davantage de comportements d’agressivité directe que les filles. De plus, la comparaison entre les groupes montre que les garçons victimes d’une agression sexuelle intrafamiliale présentent plus de comportements extériorisés et de dérégulation émotionnelle que ceux ayant été agressés par quelqu’un qui ne fait pas partie de la famille.

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