101 |
Incidence des OGM dans les aliments du QuébecGobeil, François 05 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
102 |
Réduction des rejets de phosphore dans la litière des poulets de chairOuyed, Abida 09 1900 (has links) (PDF)
Deux expériences ont été effectuées afin d’évaluer l’effet de l’ajout de la phytase à un aliment à faible teneur en phosphore disponible (NPP) sur les performances des poulets de chair et les rejets de phosphore dans la litière lorsque des programmes alimentaires à plusieurs phases sont appliqués. Un total de 3240 poussins femelles (expérience 1) et 3060 poussins mâles (expérience 2) Ross x Ross ont été élevés sur parquet pendant 38 et 39 jours, respectivement. Les unités expérimentales étaient arrangées selon un dispositif factoriel en blocs complètement aléatoires avec cinq répétitions pour chacun des traitements. Les traitements correspondaient à la combinaison de deux niveaux de NPP (normal vs réduit de 0.1 %), deux niveaux de phytase exogène (0 vs 500 FTU / kg d’aliment) et deux programmes alimentaires différents (3 vs 4 phases pour les femelles et 4 vs 5 phases pour les mâles). La teneur en NPP des aliments témoins étaient de 0.45, 0.42, 0.40 et 0.38 % pour les femelles et 0.45, 0.42, 0.40, 0.38 et 0.36 % pour les mâles. Le gain de poids vif (GMQ), la consommation alimentaire (CMQ), la conversion alimentaire (CA), le poids vif à l’âge d’abattage (PV), la mortalité des oiseaux et la teneur en P de la litière ont été mesurés. Les résultats ne montrent aucun effet significatif (P > .05) des différents traitements sur le PV, le GMQ, la CA et la mortalité des femelles. Par contre, il y a une interaction significative (P < .001) entre le niveau de NPP, la phytase et le programme alimentaire pour la CMQ. Chez les mâles, il existe une interaction significative (P < .05) entre la phytase et le niveau de NPP dans la ration pour le PV à 39 jours, le GMQ et la CMQ. L’utilisation de l’aliment à faible teneur en NPP avec phytase ajoutée permet de réduire significativement (P < .001) les rejets de P2O5 de 34 à 37 % chez les femelles, et de 45 % à 51 % chez les mâles, selon le programme alimentaire appliqué.
|
103 |
Effets de la séparation des déjections porcines sous les planchers lattés sur les émissions gazeuses et d'odeursLachance, Isabelle 09 1900 (has links) (PDF)
La littérature a démontré que la séparation de l'urine et des fèces sous les lattes et le retrait fréquent des deux fractions restreint les émissions de gaz et d'odeurs provenant du bâtiment, et ce, jusqu'à 50%. Le principal objectif était de comparer, dans un même montage expérimental, différents systèmes de gestion des déjections sur divers aspects relatifs à la qualité de l’air. Pour ce faire, le dispositif expérimental comprenait 5 traitements, dont 3 systèmes de séparation distincts (gratte en « V », filet, courroie). La fréquence de grattage et l'efficacité du procédé de séparation ont été étudiées. L'expérimentation s’est déroulée dans 12 chambres identiques, complètement indépendantes et ayant chacune leur propre système de gestion des déjections. Chacune des chambres accueillait quatre porcs élevés de 30 à 80 kg, et ce, sur une période de huit semaines par élevage. Les résultats ont démontré qu'il y a un effet significatif du traitement sur les émissions d’ammoniac (p=0,02). Sans le procédé de séparation, le retrait des déjections à tous les 2-3 jours a réduit de manière significative les émissions d’ammoniac de 46% (52,7 mg jour-1 kgporc-1). Au cours d'une période d’entreposage de 2-3 jours, la séparation de l'urine et des fèces directement sous des lattes a permis une réduction significative de 49% (50,0 mg jour-1 kgporc-1) des émissions d’ammoniac. Les différents systèmes de séparation ont eu la même capacité de réduction d’ammoniac. Les résultats ont révélé qu’au cours d’une semaine, il n'y a eu aucun avantage significatif à augmenter la fréquence de vidange ou à procéder à la séparation solide-liquide pour réduire les émissions de gaz carbonique, de méthane et d’odeurs. Les différents systèmes de gestion des déjections n'ont pas eu d’impact sur le caractère hédonique. / Literature has shown separating urine from feces and frequently removing both fractions is suitable for diminishing gas and odor emissions from pig building. On average, under-slat separation systems in piggeries can reduce ammonia and odor emissions by up to 50%. The focus of the present research study was to assess, in the same experimental design, the effect of diverse manure handling systems on various aspects relative to air quality. Twelve identical and completely independent experimental rooms were built. Each room housed four grower-finisher pigs from 30 to 80 kg over two 8-week period trials. Five treatments, of which three separation systems (V-shaped scraper, net, belt) were tested simultaneously. The scraping frequency and the effectiveness of the separation process were evaluated. Results showed there was a significant effect of the treatment on ammonia emissions (p=0.02). Without the solid-liquid separation, removing the manure every 2-3 days significantly reduced ammonia emissions by 46% (52.7 mg day-1 kgpig-1) compared to the control. Within a storage period of 2-3 days, the separation of the urine and feces directly under slats allowed a significant 49% (50.0 mg day-1 kgpig-1) reduction of ammonia emissions compared to the control. The different separation systems had the same ammonia reduction capacity. Results revealed there is no advantage at a statistically significant level (P>0.05) for the separation process not for the removal frequency on carbon dioxide and methane emissions, within a week period. For the same period, it was not beneficial at a statistically significant level (P>0.05) to separate excrement and urine directly under slats for reducing odor releases. Manure handling systems did not have an effect on the hedonic tone.
|
104 |
Relation entre les fractions biogéochimiques et la saturation du phosphore dans les solsLamontagne, Marie-Hélène 04 1900 (has links) (PDF)
Les apports de phosphore (P) au sol proviennent des résidus végétaux et des engrais organiques et minéraux utilisés en agriculture. Les pertes de P par ruissellement et lessivage vers les eaux de surface peuvent entraîner l’eutrophisation des plans d’eau. La concentration de P total dans certaines rivières du Québec est de deux à six fois plus élevée que le seuil d’eutrophisation fixé à 0,030 mg P total par litre. Il est donc important de comprendre le processus de transformation du P dans les sols et l’implication de chacune des fractions dans l’équilibre biogéochimique afin de les relier au risque environnemental. Les fractions de P labile fournissent le P disponible pour la croissance des plantes mais contribuent au risque environnemental, d’où l’importance de dresser le patron de distribution de ces fractions. Cependant, il n’y a pas de valeur critique pour ces fractions pour les sols de texture grossière voués à la culture de la pomme de terre et de canneberges. L’objectif principal de ce projet est de déterminer les valeurs critiques d’accumulation des fractions labiles du P dans les sols minéraux de texture grossière. Pour ce faire, quarante sols ont été sélectionnés dans les classes texturales grossières, soit les sables, les sables loameux et les loam sableux. Les échantillons ont été caractérisés par les analyses suivantes : Mehlich-3, pyrophosphate de sodium, oxalate acide d’ammonium et Sissingh. . Les valeurs de (P/Al)M3 varient entre 0,8 et 28,4 %, celles de DSPox varient entre 5,1 et 35,7 % et les valeurs de P à l’eau varient entre 0,0 et 11,6 mg L-1. Des relations significatives ont été obtenues entre le Peau et le (P/Al)M3 (R2 = 0,79; P< 0,001) et entre le (P/Al)M3 et le DSPox (r2 = 0,88; P< 0,001). Le fractionnement a été effectué selon la méthode de Hedley et al. (1982a), soit les fractions extraites à la résine, au NaHCO3 et au NaOH. La répartition du P dans chaque sol fut reliée au risque environnemental ((P/Al)M3, P à l’eau et DSPox). Les données ont été traitées par analyse compositionnelle des fractions labiles de P et complétées par la méthode de la distance simplicielle dont les valeurs ont été reliées au risque environnemental. Les valeurs critiques obtenues varient de 14,9 % à 16,0% (r2 = 0,39; P< 0,01 à 0,71; P< 0,001) selon le modèle utilisé. Cette relation montre que le seuil environnemental (P/Al)M3 de 0,15 établi antérieurement sépare une tendance linéaire d’un plateau dans le patron de distribution des formes labiles de P dans les sols à l’étude.
|
105 |
RÉGIE AGROENVIRONNEMENTALE DE L'IRRIGATION DANS LA PRODUCTION DE CANNEBERGES (Vaccinium macrocarpon ait.)Bonin, Simon 05 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
106 |
La pérennité de l'entreprise agricole et son lien avec le contexte organisationnel au moment du transfert des avoirsGariépy, Marie-Claude 01 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
107 |
Culture en champ de l'if du Canada (Taxus canadensis Marsh.) à des fins de production de taxanesMorissette, Julie 01 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche a été réalisée en vue de déterminer les conditions de culture qui favorisent un rendement optimal de l’if du Canada établi en champ. Des traitements de densité de plantation, de fertilisation azotée, de récolte à divers moments de la saison et de tolérance à différents herbicides ont été comparés. Compte tenu de la croissance lente de l’if du Canada, un espacement de 0,5 m entre chaque plant permet un recouvrement complet des plates-bandes après cinq années de culture. Un apport annuel d’azote supérieur à 50 kg/ha n’a pas eu d’effet sur la croissance des plants, mais a rendu ces derniers plus susceptibles à la dessiccation hivernale. Le moment de la saison auquel a été effectuée la première récolte n’a pas eu d’effet sur le rendement de la deuxième réalisée 12 mois plus tard. Par ailleurs, les plants implantés depuis moins d’une année ont toléré sans dommage les pulvérisations de simazine appliquées avant le débourrement et les pulvérisations d’oxyfluorfène, de séthoxydime et de clopyralide appliquées peu de temps avant la fin de la croissance annuelle.
|
108 |
Découvrir les variations génomiques entre les souches de Lactococcus lactis ssp. cremoris par hybridation suppressive soustractive et par analyse de séquences multi-locusLessard, Marie-Hélène 02 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
109 |
Étude des impacts zootechniques et économiques d'une augmentation du poids d'abattage chez le porcRivest, Joël 01 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
110 |
Déshydratation osmotique de la tomate : étude de la rétention des antioxydants et la modélisation du procédéBui, Huu Thuan 01 1900 (has links) (PDF)
No description available.
|
Page generated in 0.0653 seconds