• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 22
  • 7
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 32
  • 23
  • 19
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Effets de la poursuite des activités sportives sur la symptomatologie d'adolescents ayant subi un traumatisme craniocérébral léger d'origine sportive

Jacob-Tardif, Maude 24 April 2018 (has links)
Jusqu’à tout récemment, la position des différents guides de prise en charge des adolescents ayant subi un traumatisme craniocérébral léger (TCCL) était de les consigner au repos complet suite à leur blessure jusqu’à ce qu’ils deviennent asymptomatiques pendant une période de 7 jours pour ensuite reprendre graduellement l’activité physique. Toutefois, ces lignes directrices sont à même de changer notamment puisque de nouvelles recherches tendent à démontrer que la restriction des activités en contexte de problèmes de santé peut contribuer directement à l’apparition de symptômes d’ordre psychologiques pouvant venir entraver la récupération. À ce propos, un panel d’experts s’est regroupé à Berlin en octobre 2016 afin d’émettre de nouvelles recommandations qui seront publiées en 2017. C’est donc dans l'optique d'évaluer l’influence de la quantité d’activité physique réalisée dans les 7 jours suivants le TCCL sur la sévérité des symptômes et la récupération des adolescents que ce projet prend forme. L’hypothèse posée par cette étude est qu’une plus grande quantité d’activités physiques dans les 7 jours suivants l’impact soit associée à une sévérité plus élevée de symptômes. Aussi, il était attendu qu’une faible quantité d’activité physique ait une meilleure influence sur la symptomatologie qu’une absence complète d’activité. Cinq adolescents, soit 3 filles et 2 garçons âgés entre 12 et 17 ans, ayant subi un TCCL lors de la pratique d’un sport ont été testés au cours de trois entrevues téléphoniques à 10-15 jours, 30 jours et 90 jours post-TCCL. Les résultats obtenus permettent de constater qu’un seul participant se distingue des autres quant à sa trajectoire de récupération alors qu’il présente une symptomatologie significativement plus élevée que les autres. Il apparaît que le mécanisme de la blessure ainsi que le portrait symptomatologique plus important en phase aiguë chez ce participant ont pu influencer négativement le temps de récupération. De plus, il présente une symptomatologie dépressive et anxieuse importante ayant probablement influencé négativement son rétablissement. Enfin, ce participant n’a pas respecté de période initiale de repos suite à la survenue de sa blessure avant de reprendre une activité physique légère. Les résultats de la présente étude sont discutés de façon plus large en tenant compte des données de la littérature actuelle. Les informations soulevées permettent de croire qu’il est important en clinique de veiller à ce qu’une période initiale de quelques jours de repos soit respectée et de tenir compte de la santé mentale du patient pour déterminer sa trajectoire de récupération et orienter les interventions. Néanmoins, des études additionnelles demeurent nécessaires afin de déterminer la durée et la nature exacte du repos à recommander afin d’élaborer des protocoles de prise en charge présentant un meilleur équilibre entre repos et activité physique. / Until recently, the position of the various guides for the management of mild traumatic brain injury (MTBI) in adolescents was to record them at full rest following their injury until they become asymptomatic for a period of 7 days and then gradually resume physical activity. However, these guidelines are in a position to change in particular as new research tends to show that restricting activities in the context of health problems can directly contribute to the development of psychological symptoms that may impede recovery. In this regard, a panel of experts gathered in Berlin in October 2016 to issue new recommendations to be published in 2017. It is therefore with a view to assessing the influence of the quantity of physical activity carried out within 7 days following TCCL on the severity of the symptoms and recovery of the adolescents that this project takes shape. The hypothesis posed by this study is that a greater amount of physical activity within 7 days after the impact is associated with a higher severity of symptoms. Also, it was expected that a small amount of physical activity had a better influence on the symptomatology than a complete absence of activity. Five teenagers, three girls and two boys aged 12 to 17 years old, who underwent a MTBI while playing a sport were tested in three telephone interviews at 10-15 days, 30 days and 90 days post- MTBI. The results obtained show that only one participant distinguishes himself from the others in his recovery trajectory while he has a significantly higher symptomatology than the others. It appears that the injury mechanism as well as the high severity level of the symptoms in the acute phase may have a negative influence on recovery time. In addition, he has an important depressive and anxious symptomatology that has probably had a negative impact on his recovery. Finally, this participant did not respect an initial period of rest following the occurrence of his injury before returning to a light physical activity. The results of this study are discussed in greater detail taking into account data from the current literature. The information gathered suggests that it is important in the clinic to ensure that an initial period of a few days of rest is respected and that the mental health of the patient is taken into account in determining its recovery trajectory and guiding interventions. Nevertheless, additional studies are still needed to determine the duration and exact nature of the rest to recommend in order to develop management protocols with a better balance between rest and physical activity.
32

Éveil musical et communication orale : présentation de trois études de cas menées auprès d'enfants d'âge préscolaire présentant un trouble du spectre autistique dans leur milieu familial

Evrard, Mélanie 24 April 2018 (has links)
Au Québec, le trouble du spectre de l’autisme (TSA) se situerait actuellement entre 90 et 120 individus sur 10 000. Celui-ci se définit de manière très différente dans la littérature selon les auteurs. Tout en présentant certaines caractéristiques communicationnelles, les enfants TSA présentent des forces sur le plan du langage réceptif, et plus particulièrement au niveau du traitement auditif. D’après plusieurs auteurs, les enfants avec TSA traiteraient d’ailleurs avec plus de facilité les stimuli non verbaux (comme les sons musicaux) que les stimuli verbaux (tels que le langage). Outre ces habiletés exceptionnelles au niveau du traitement auditif, il semblerait que les enfants autistes présentent des forces musicales innées. La musique pourrait donc représenter une porte d’entrée intéressante pour soutenir les habiletés de communication des enfants TSA d’âge préscolaire. Actuellement, peu d’études en éducation musicale ont été effectuées dans ce domaine. Même si leurs résultats sont encourageants, aucune n’étudie les interactions sociales des enfants TSA d’âge préscolaire. De surcroît, les études en éducation musicale abordent des techniques musicales très différentes (en utilisant soit les instruments de musique, soit la mélodie, soit le rythme). Aucune de ces études n’inclut un programme global d’éducation musicale prenant en compte le développement et l’identité spécifiques aux enfants TSA d’âge préscolaire. D’autres études sont donc nécessaires pour valider et approfondir les résultats des études recensées. Nous proposons de répondre à ce besoin. L’objectif de notre étude est, dans un premier temps, d’établir un portrait communicationnel des participants dans leur quotidien familial et dans un deuxième temps, de déterminer les effets d’un programme d’éveil musical individualisé sur leur perception musicale, leur langage expressif, réceptif et sur leur utilisation langagière. À cette fin, un devis mixte a été privilégié par une expérimentation pré et post-tests, soit avant et après l’application du programme d’éveil musical. Trois familles (N=3) ayant un enfant présentant un TSA ont participé à cette recherche. Le premier, Nicky, 4 ans, présentait beaucoup d’énoncés écholaliques. Âgé de 4 ans, Julien, s’exprimait avec de grandes facilités et démontrait de l’hyperlexie malgré quelques défis sur le plan des interactions sociales. Enfin, Alexis, âgé de 5 ans, était considéré comme non verbal. Avant et après l’intervention, chaque enfant effectua la passation de différents tests standardisés musicaux et langagiers. Des périodes d’observation et des entrevues auprès des familles furent également mises en place. Après 14 leçons d’éducation musicale, les résultats révèlent que le programme musical aurait eu des effets positifs chez les trois participants. Le programme musical aurait en effet permis d’améliorer significativement la perception musicale de Nicky et de diminuer quantitativement ses énoncés écholaliques. Julien, quant à lui, aurait également développé qualitativement ses interactions sociales avec d’autres enfants ainsi que sa mémoire narrative. Finalement, Alexis aurait acquis des connaissances musicales qui auraient influencé sa manière d’utiliser sa voix tout en augmentant de façon exponentielle son lexique. L’ensemble des résultats a été rassemblé et a permis de mettre en évidence certains effets musicaux similaires entre les différents portraits d’enfants. Des pistes de recherche ont été dégagées pour l’élaboration d’études ultérieures. / Currently, in the province of Québec, Canada, 90 to 120 out of 10,000 individuals have been diagnosed with autism spectrum disorder (ASD). The literature contains many different definitions of ASD. Despite communication challenges, individuals with ASD show strengths in terms of receptive language, and particularly auditory processing. According to many authors, children with ASD find it easier to process nonverbal stimuli (e.g., musical sounds) than verbal stimuli (e.g., language). Moreover, autistic children appear to have exceptional innate musical abilities. Music education is therefore a promising avenue for promoting language abilities in preschoolers with ASD. However, to our knowledge, only three music education studies to date have addressed autistic preschoolers. Yet, the results show improved communication abilities. However, none of these studies examined social interactions. Furthermore, they used varied music techniques (musical instruments, melodies, or rhythms), and they did not consider a global music education program that takes into account the specific development and identity of autistic children. Further studies are needed to validate and build on these findings. The present study aimed to identify profiles of children’s daily oral communication behaviors in the family environment. A second objective was to determine the effects of a music program on the children’s music perception, expressive language, receptive language, and language use. To do so, we used a mixed research design (pre- and post-tests before and after the program). Three families (N=3) with an ASD child were recruited. Because Alexis (5 years old) was nonverbal, his profile differed significantly from those of the two other children (4 years old), and the three profiles were heterogeneous. Nicky demonstrated very echolalic language, and Julien was a high potential autistic child with hyperlexia and social interaction difficulties. Before and after the music program, each child was assessed with standardized music and language tests. Observation sessions were conducted and interviews were held with parents. After 14 music education sessions, the results showed positive effects on all three children. Nicky improved in musical perception and quantitatively decreased his echolalia. Julien qualitatively developed his social interactions with other children and his narrative memory. Alexis acquired music knowledge, which improved his vocal production, and he increased his vocabulary exponentially. General music ability results were obtained for all the children and all results were collected. Future research directions are proposed.

Page generated in 0.0377 seconds