Literature on the topic of ballet in South Africa is growing. However, there are still gaps as a result of the fragmentation of sources. This dissertation draws on primary and secondary sources to try to provide a coherent discussion of the history of ballet in South Africa from a fresh perspective. The research demonstrates that ballet has been in constant engagement with South African history and society since its arrival on African shores. Through secondary and primary literature, the research starts by engaging with South African balletic history by looking at an overview of ballet’s journey to South Africa and the establishment of balletic societies and institutions. Emphasis is placed on the more successful institutions based in Cape Town and Johannesburg. The history of these institutions, as traced within the research, demonstrates the responsiveness of the balletic community to the environment in which they were situated. South African choreographed ballets with Afrocentric themes are used to highlight the responsiveness that the ballet community has demonstrated towards the historical climate and structures within South African society during and after apartheid. Finally, ballet is explored in the post-apartheid context. Topics that are engaged with here include the removal of grand and petty apartheid policies, as well as the ideas behind the decolonisation of ballet as exemplified by the Cuban-South African exchange. / Dissertation (MSocSci)--University of Pretoria, 2019. / Historical and Heritage Studies / MSocSci / Unrestricted

Ma thèse de doctorat explore les tournées de ballet des « six grandes » compagnies mondiales pendant la Guerre froide (1945-1968) :ballet de l’Opéra de Paris, Royal Ballet de Covent Garden, Bolchoï et Kirov, New York City Ballet et American Ballet. Elle envisage le ballet comme un outil de diplomatie culturelle transnationale, avec un focus particulier sur les acteurs, qu’ils soient institutionnels, artistiques ou commerciaux. Outre un aspect quantitatif qui nous a amené à cartographier les tournées, il s’agit d’une histoire incarnée par des femmes et des hommes − les danseurs − dont le métier est de tourner sur les scènes internationales, encadrés par des administrateurs et des gouvernements, qui n’ont pas les mêmes priorités et agendas les uns et les autres. <p>Cette recherche met justement en avant les tensions, les difficultés et les dynamiques entre les différents acteurs. La thèse se construit autour de tournées représentatives du lien ténu entre danse et politique, des épisodes qui mettent en valeur les points chauds de cette Guerre froide, ayant comme point de départ ou d’arrivée Londres et Paris.<p>La description de la danse comme un langage, une pratique physique et un métier permet de comprendre en quoi la danse peut être un outil de communication politique et comment il a été utilisé comme tel dans la longue durée et en particulier pendant la guerre froide. Les différentes échelles – le passage régulier de la macro-histoire à la micro-histoire et inversement ainsi que les flux d’échanges culturels multiples à l’échelle internationale – ont permis de mettre en avant une multiplicité d'acteurs (artistiques, gouvernementaux, commerciaux). La constitution du mythe de la danseuse étoile, et ses représentations, résonne également avec d’autres figures mythiques construites dans la Guerre froide, comme celle de l’astronaute. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished