1 |
Relics of iconoclasm, modernism, Shi Zhecun, and Shanghai's margins /Schaefer, Stephen William. January 2000 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Chicago, Department of East Asian Languages and Civilizations, August 2000. / Includes bibliographical references. Also available on the Internet.
|
2 |
Chinese poetry and painting in postwar Taiwan : angst and transformation in the negotiation between tradition and modernity /Kao, Yi-Li. January 2005 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of California, San Diego, 2005. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 263-269).
|
3 |
Réception de Paul Morand au sein des mouvements modernistes japonais et chinois pendant les années 1920 et 1930 / The Reception of Paul Morand in the Japanese and the Chinese Modernism Movements of 1920s’ and 1930s’Yeung, Choi Kit 02 February 2018 (has links)
Quels étaient les modernismes existant en Asie de l’Est pendant les années 1920 et 1930 où la première vague des mouvements modernistes a eu lieu ? À travers les études du transfert littéraire de Paul Morand à partir de la France vers la Chine, en passant par le Japon, on s’interroge sur la façon dont les acteurs du monde littéraire japonais et chinois impliqués dans la réception littéraire de Morand ont pensé le modernisme et la modernité. On compare les réflexions des communautés littéraires des deux pays vis-à-vis du modernisme au sein de cette réception morandienne en trois grandes parties : tout d’abord, les traducteurs principaux japonais et chinois des œuvres morandiennes, Horiguchi Daigaku et Dai Wangshu ; ensuite, les critiques qui ont introduit Morand dans le débat du modernisme des années 1920 et 1930, allant jusqu’à créer un champ littéraire dédié à la réception de Morand. Dans le cas japonais, ce sont Chiba Kameo, la communauté littéraire établie, l’École des sensations nouvelles japonaise et sa revue de cercle L’Époque littéraire. Tandis que dans le cas chinois, ce sont l’École des sensations nouvelles chinoise et sa revue littéraire affilée Trains sans rail ; enfin, les deux écrivains représentatifs des Écoles des sensations nouvelles japonaise et chinoise, Yokomitsu Riichi et Liu Na’ou, dont les styles littéraires ont souvent été comparés avec celui de Morand. Par les analyses de ces trois parties, nous voudrions présenter les configurations particulières du modernisme en Asie de l’Est de l’époque. / What were the modernisms of East Asia during the 1920s and the 1930s? By studying the literary journey of Paul Morand from France to China via Japan, we question how the intellectuals of Japanese and Chinese literary world who were involved in this literary reception during the 1920s and the 1930s, considered modernism through French ideas. The Japanese and the Chinese reflections on modernism are compared in three main aspects: first, the translation of Morand’s works done by Horiguchi Daigaku and Dai Wangshu. Second, the criticisms which involved Morand into the debate concerning modernism in this period, created a literary field for the reception of Morand in these two countries. For the Japanese case, the parties that were concerned the most were Chiba Kameo, the established literary community, the Japanese Neo-Perception School and her coterie magazine Age of Literature. Whereas for the Chinese case, the Chinese Neo-Perception School and her affiliated magazine Trains without Railway were the most relevant. Third, two representative writers of the Neo-Perception Schools, Yokomitsu Riichi and Liu Na’ou, whose literary styles were often compared to those of Morand’s. Through the analysis of these three aspects, we seek to show the configurations of modernism in East Asia.
|
Page generated in 0.0918 seconds