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Art beyond representation : the performative power of the image /Bolt, Barbara. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Ph. D. thesis. / Bibliogr. p. 201-209.
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L'attitude ludique à l'âge adulte : définition conceptuelle et utilisation en ergothérapieGuitard, Paulette January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Développement d’instruments d’évaluation de la fidélité de la réponse à l’intervention dans des écoles primaires francophones québécoisesDemers, Catrine 25 April 2019 (has links)
La réponse à l’intervention (RAI) est un processus de prise de décision informé par des données qui, à l’aide de l’enseignement et des interventions efficaces, prévient les difficultés de lecture et d’écriture, et améliore ces habiletés pour tous les élèves. Depuis quelques années, plusieurs écoles francophones de la province du Québec implantent la RAI. Le processus des connaissances à la pratique a été choisi pour guider certaines de ces écoles dans leur implantation. Après quelques années d’implantation, ces écoles ont maintenant atteint la phase de ce processus qui vise à surveiller l’utilisation des connaissances. En d’autres mots, cela consiste à évaluer la fidélité, c’est-à-dire évaluer le degré avec lequel le plan a été mis en place comme prévu. Cette thèse avait pour objectif principal de développer des instruments adaptés au contexte francophone québécois afin d’évaluer la fidélité de la RAI. Une méthode mixte a été utilisée selon quatre phases : (1) une étude de délimitation pour développer un cadre conceptuel intégratif de la fidélité, (2) une recension des écrits scientifiques pour déterminer le contenu potentiel des instruments, (3) des rencontres de groupes pour décider du contenu essentiel et pertinent au contexte et (4) des entrevues cognitives afin de prétester les instruments. L’étude de délimitation a inclus 76 documents sur lesquels repose un cadre conceptuel intégratif de la fidélité comprenant deux niveaux et dix dimensions. La recension des écrits a permis de synthétiser 167 articles fournissant les éléments potentiels pour le contenu des instruments de mesure de la fidélité de la RAI. Un total de 50 participants ont pris part à des rencontres de groupes permettant de réduire le nombre d’éléments de plus de la moitié afin de ne garder que le contenu pertinent et essentiel, ainsi que d’obtenir des preuves de la validité de contenu. Des entrevues cognitives avec 35 participants ont permis de prétester les instruments et d’obtenir des preuves de la validité du processus de réponse. Cette thèse a permis le développement d’instruments qui serviront à offrir de la rétroaction sur l’implantation de la RAI dans les écoles francophones québécoises, permettant par le fait même d’améliorer cette implantation. Ces instruments pourront aussi être utilisés pour évaluer la fidélité afin d’éventuellement mener des études d’efficacité.
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Conceptualisation d'un système de suivi spatio-temporel de la campylobactériose en Estrie (Québec)Desbiens, Rémy January 2008 (has links)
Résumé : Depuis plusieurs années, la géomatique occupe une place de plus en plus importante dans la compréhension des phénomènes complexes ou la dimension spatiale est requise. De nombreuses données sont nécessaires pour faire l’étude de la distribution du Campylobacter dans l’environnement. La bactérie Campylobacter jejuni (CJ ) est un pathogène entérique responsable d'environ 300 0 cas de campylobacteriose humaine par année au Québec . Le principal moyen de transmission de C J serait la consommation ou la manipulation de volaille crue ou mal cuite ainsi que la consommation d'eau contaminée ou de produits laitiers non pasteurises. L'objectif principal du projet CampyloGIS est d'utiliser un système d'information géographique (SIG ) pour représenter spatialement les cas de campylobacteriose humaine acquis en Estrie en vue d'obtenir des informations d'aide à la décision dans la lutte contre la maladie. Les objectifs particuliers à la présente recherche sont de créer le modèle conceptuel du SIG. Le site d'étude choisi dans le cadre du projet CampyloGIS est la région de l’Estrie, au Québec. Le modèle conceptuel de l’annexe 1 a été construit à partir des hypothèses de recherche de CampyloGIS. II a permis de bien agencer les besoins thématiques en fonction des hypothèses de recherche de CampyloGIS. Donc, la construction du modèle conceptuel a permis de mieux cerner les différents thèmes inclus dans chaque hypothèse de recherche en plus de faciliter le travail d'identification des données nécessaires a chaque thème. Aussi, de par la hiérarchisation et les regroupements de concepts effectues dans le modèle conceptuel, une partie de la modélisation spatiale du SIG a été faite en amont du modèle logique. Par ce travail, les données nécessaires à la création du SIG ont pu être identifiées précisément regroupées en fonction des questions soulevées par le projet. Lors d'un stage sur le terrain au cours de l’hiver 2007 , nous avons observé que les sources potentielles de contamination des cours d'eau en Estrie par la bactérie C J étaient : l’activité agricole, les sorties d'égout en milieu fortement urbanise (Sherbrooke) , les fosses septiques et/ou champs d'épuration en milieu inondable ou près des cours d'eau ainsi que les rassemblements importants d'oiseaux situes près des points de collecte. // Abstract : Over recent years, geomatics has taken increasing importance place in the understanding of complex phenomena where a spatial dimension is requested. According to previous studies, the analysis of the distribution of campylobacter in the environment requires considerable data. Campylobacter jejuni (CJ) is an enteric pathogen that causes 3000 cases of human campylobacteriosis per year in Québec only. The main transmission mechanism for CJ is probably the consumption or the manipulation of raw or insufficently cooked poultry or the consumption of contamined water and unpasteurised dairy products. The main objective of the CampyloGIS project is to use a GIS to spatially represent human campylobacteriosis cases in the Eastern Townships area, to obtain information that will aid decision-making by Public Health authorities for disease control. The particular objectives of the present research are to create the conceptual model for the GIS. The study area chosen for the CampyloGIS project is the Eastern Townships area in Québec. The conceptual model presented in annex 1 has been built from the CampyloGIS research hypotheses. The conceptual model has allowed us to match the thematic needs according to the research hypotheses of CampyloGIS. Accordingly, the construction of the conceptual model has allowed us to better delineate the themes included in each of the research hypotheses and to facilitate data identification work for each theme. Thanks to the concept grouping and hierarchy established in the conceptual model, a part of the GIS spatial modelisation was already made possible by the logical model. From this work, the data needed for the creation of the GIS was precisely identified and grouped according to the questions the project wanted to answer. During field work done during the winter of 2007, it has been possible to observe that possible sources of river contamination by CJ included agricultural activities, sewers pipes in urban areas (Sherbrooke), septic pits in floodable areas or near rivers, and the gathering of numerous birds near the water collecting points.
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Contribution à l'étude de la terminologie grammaticale. La nomenclature des formes verbales.Bena, Jonas Makamina 19 December 2003 (has links)
Le 18 février 1949, Gustave Guillaume (1973 : 107-108) brossait, dans sa leçon à l’Ecole pratique des Hautes Etudes, un tableau peu flatteur de la terminologie grammaticale :
La terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue.
Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer : la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse (Nicolas Beauzée, 1767 : 500-501 ; Antoine Meillet, 1936 : 31 ; Holger Sten, 1952 : 9) ; Robert-Léon Wagner, 1947 : 59 ; Gustave Guillaume, 1973 [leçon du 18 fév. 1949] : 108 ; Gérard Moignet, 1981 : 163 ; Louis Holtz, 1981 : 11). L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !
Ce travail s’est efforcé de répondre aux trois questions suivantes : 1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ? 2° quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ? 3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?
Que conclure ?
Nous voudrions d’abord noter que la question terminologique constitue un casse-tête consécutif, pour une grande part, à la forte pression de la tradition sur les pratiques grammaticales.
Les concessions faites à l’usage sont telles que toute tentative d’innovation est suspecte . Les exemples sont légion : Girard, Lévizac, Sicard, Domergue, Butet , etc. subirent tous, à tort ou à raison, les feux nourris de la critique à cause de leur engagement terminologique. Les détracteurs avaient pour noms : Voltaire, Du Marsais, Condillac, Roederer et Brunot.
Voltaire (cité par Brunot, 1905-1953, tome VI, 1e fascicule, p. 902) recommanda même le boycott de la nouvelle grammaire de Girard :
Je recommande, écrivit-il, sur-tout aux jeunes de ne pas lire la nouvelle grammaire de sieur abbé Girard ; elle ne feroit qu’embarrasser l’esprit, par les nouveautez difficiles dont elle est remplie ; et sur-tout elle serviroit à corrompre le stile.
Roederer ne fut pas plus tendre à l’endroit de Domergue. En somme, les attaques à l’endroit des « néologismes grammaticaux » constituent, dans l’histoire de la grammaire, une réalité permanente.
A la fin des années 60 et au début des années 70, Georges Galichet tournait en dérision la terminologie en usage en grammaire générative et transformationnelle, tandis que, plus près de nous, Marc Wilmet (1992) s’insurgeait contre ceux qui accusent les linguistes de « jargonner ».
En ce qui nous concerne, nous avons estimé dans cette thèse que la création terminologique est à la fois nécessaire et possible. Elle devrait conduire, comme nous l’avons postulé au § 3.2.2.1, à l’émergence d’une nomenclature explicative. D’ailleurs, des modèles de terminologie « parlante » existent : nous avons cité les travaux de Guillaume, Damourette et Pichon, Yvon, Wilmet.
Un métalangage grammatical explicatif devrait même, à notre avis, s’imposer et se généraliser pour les trois raisons suivantes : 1° la terminologie joue le rôle « d’avant-science »; 2° contrairement aux autres sciences dont le vocabulaire technique renvoie à des objets, en grammaire, derrière les “mots” se profilent non pas des objets, mais des idées et d’autres “mots” dont l’ensemble constitue la science grammaticale. Autrement dit, le triptyque « terme (mot) –> concept –> référent » pourrait être réduit à une reformulation simplifiée où le concept se confondrait avec le référent; 3° contrairement à l’arbitraire consacré du signe linguistique, la création des expressions métalinguistiques est en général utilitaire et plus ou moins individuelle.
A la lumière de ce qui précède, toute nouvelle création d’expression métalinguistique devrait satisfaire à une condition : l’adéquation, même partielle, de la nouvelle dénomination avec le contenu morpho-sémantique qu’elle désigne. En effet, chaque terme en linguistique contiendrait de manière condensée tout un programme sémantique. Mais, le terme ainsi crée devrait aussi répondre à un besoin réel.
Par ailleurs, la principale piste à explorer dans l’entreprise de la rationalisation et de l’harmonisation de la terminologie grammaticale consisterait à homogénéiser les critères définitoires des classes grammaticales. Pour les modes verbaux, nous avons proposé d’associer judicieusement les critères sémantiques et morphologique. Le premier concerne l’actualité, le second la personne grammaticale.
Ces deux paramètres interviennent, d’après Moignet (1981 : 57) et nous l’avons suivi dans son raisonnement, à part égale dans la faculté qu’a toute forme verbale de “signifier le “temps” en plus de sa signification propre”.
Grâce à l’exploitation de ces deux variables, nous avons, en nous inspirant largement de Gustave Guillaume et de Marc Wilmet, proposé à titre de simple hypothèse de travail, que les trois « chronothèses guillaumiennes » représentent effectivement, au niveau du discours grammatical, les trois modes verbaux auxquels elles correspondent: 1° le mode nominal (ou quasi nominal) = infinif + participe => mode virtualisatif impersonnel; 2° l’in fieri = subjonctif => mode virtualisatif personnel ; 3° l’in esse = indicatif => mode actualisatif personnel.
La principale objection à cette proposition serait d’opposer au double principe de « virtualisation » et d’« actualisation », sur lequel repose notre argumentation, des emplois contraires à cette tripartition modale. Ne nous leurrons pas, c’est une difficulté réelle. La parade nous est fournie, fort heureusement, par Gérard Moignet (1959b : 94-95) qui renvoie à l’enseignement de Gustave Guillaume:
Il [Guillaume] insiste dans son enseignement sur la prudence qui s’impose en linguistique de la parole : on y est toujours exposé à rencontrer un sens d’emploi de mot qui soit en contradiction avec la vue fondamentale que le mot apporte de lui-même.
Pour finir, nous avons suffisamment montré tout au long de notre dissertation que la nomenclature des formes verbales, comme d’ailleurs le reste de la grammaire, est dans ses grandes lignes constituée de l’héritage gréco-latin. A certaines époques, comme au XVIIe siècle, cet héritage est malheureusement « corrompu » : par ex., la suppression de toute trace référant à l’époque dans certaines étiquettes. C’est, malheureusement, encore le cas, aujourd’hui, dans la plupart des grammaires scolaires et dans les productions scientifiques des linguistes.
Il faudrait aussi mentionner, au passif des grammairiens du XVIIe siècle et certains de leurs successeurs du début du XVIIIe siècle, l’ignorance des formes verbales surcomposées, pourtant attestées au XVIe siècle.
Comme nous l’avons dit, la terminologie grammaticale est défaillante depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à ce jour. Elle s’est formée, à travers les siècles, au gré des fantaisies personnelles greffées sur l’essentiel du génie grec et latin. A part quelques rares exceptions, les apports des grammairiens français n’ont amélioré ni les critères de description du verbe, ni la nomenclature des formes verbales.
Nous avons dans le corps de ce texte signalé les acquis de chaque époque retenue dans cette étude. Il serait donc superflu d’y revenir dans le détail. Nous allons cependant rappelé, au risque d’en faire une antienne, les quelques progrès réalisés dans l’étude du verbe entre le XVIIe siècle et le début du XXe siècle :
1° la distinction des temps simples et des temps composés selon la forme chez D’Aisy (1674, 1685), Régnier-Desmarais (1706), Buffier (1709), etc. ;
2° l’exclusion, déjà au XVIIIe siècle, de l’impératif de la liste des modes verbaux ; 3° l’intégration, depuis ce même siècle, des formes en –rais dans le mode indicatif (p. ex., chez Buffier, 1709 ; Restaut, 1730 et Ayer, 1853) avant que le XIXe siècle ne revienne en force au mode conditionnel;
4° l’institution par Nicolas Beauzée (1767) du principe des « ordres relationnels » (époque de comparaison, terme de comparaison, repère, rapport d’existence, etc.) dans la description des temps du verbe ; 5° l’exploitation de la série complète des formes simples vs formes composées (Buffier, 1709) ;
6° la tripartition des tiroirs en formes simples / composées / surcomposées chez Dangeau (cf. supra, § 6.3.1.2) : p. ex. : prétérit simple je chante /prétérit composé j’ai chanté /prétérit surcomposé j’ai eu chanté, etc. ;
7° l’usage par Dangeau (1754), à la suite de Girard (1747), des quantifiants et caractérisants numéraux comme discriminants des formes verbales : p. ex. : premier temps surcomposé que j’aie eu marché /second temps surcomposé que j’eusse eu marché / troisième temps surcomposé jaurois eu marché) ;
8° la mise sur pied des néologismes très producteurs : futur passé (Restaut, 1730 ; Lhomond, 1780 ; Girault-Duvivier, 1811), futur antérieur (De Wailly, 1754 ; Sicard, 1799 ; Noël et Chapsal, l823 ; Brachet et Dusouchet, 1888, 1889), futur du passé (Maquet et al., 1921), futur antérieur du passé (Clédat, 1896 ; Maquet et al., 1921).
De toutes ces innovations, la théorie des «ordres relationnels » est celle qui a eu le plus d’impact sur les linguistes du XXe siècle. Comme nous l’avons vu, Guillaume et Wilmet, pour ne prendre que ces deux exemples, s’en sont inspirés dans la mise sur pied de leurs théories respectives : celle de la « chronogénèse » et celle du « repère ».
Ces deux approches du système verbal ont conduit à une description intéressante des modes, des aspects et des tiroirs. C’est une véritable révolution. Un seul regret : la méfiance injustifiée des auteurs de manuels et livres de grammaire à l’égard de cet important renouveau terminologique.
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ANALYSE SOCIOTERMINOLOGIQUE, MORPHOLOGIQUE, LEXICOLOGIQUE ET SMANTIQUE DE LA TERMINOLOGIE DU TERRORISMEIgwe, Chidi 27 November 2009 (has links)
The different activities that characterize the planning, sponsoring and execution of terrorist acts, measures and strategies for countering terrorism, lead to new terminological constructions in English and French. However, research shows that terminologists are yet to show interest in the study, analysis, and development of the field even though the daily activities, exchanges, debates, etc., involving specialists, scholars, researchers, politicians, stakeholders, or terrorists, who either perpetrate or fight against terrorism, lead to abundant lexical creativity. The present terminological inactivity in the field of terrorism may be, among other reasons, due to the fact that the definition of terrorism remains a purely theoretical issue and that one mans terrorist often turns out to be another mans freedom fighter.
This study is an effort to remedy the terminological lacunae in the field of terrorism. It contributes to the increasing efforts to understand and document terrorism in all its ramifications. The study explores the concept of terrorism from the etymology of the term, its present lack of a generally acceptable definition, to the different reactions and measures for countering terrorism at both domestic (from the perspective of a select number of countries) and international (from the perspective of the international communityUnited Nations) levels. It explores the status of terrorism as a terminological domain with the aim of: a) analyzing the concepts and notional structures of the field of terrorism; b) identifying the terms assigned to the concepts; c) establishing correspondence between terrorism terms in French and their English equivalents; d) compiling a bilingual (French/English) lexicon for the subject field. The study highlights not only the functions of terminological units in different discourse contexts, but also the attitudes of humans in relation to term usage in a variety of cultural, ideological and religious contexts.
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From fact to fiction : zum Funktions- und Statuswandel der Fotografie seit der Konzeptkunst /Nakas, Kassandra. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Kunsgeschichte--Berlin--Freie Universität, 2003. / Bibliogr. p. 211-223.
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Convergences aventureuses l'écho des années soixante-dix californiennes sur l'art européen des années quatre-vingt-dix et autres essais sur l'art contemporain /Paul, Frédéric Poinsot, Jean-Marc. January 2009 (has links)
Thèse de doctorat : Histoire de l'art : Rennes 2 : 2008. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. f. 422-428. Index.
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ANALYSE SOCIOTERMINOLOGIQUE, MORPHOLOGIQUE, LEXICOLOGIQUE ET SÉMANTIQUE DE LA TERMINOLOGIE DU TERRORISMEIgwe, Chidi 27 November 2009 (has links)
The different activities that characterize the planning, sponsoring and execution of terrorist acts, measures and strategies for countering terrorism, lead to new terminological constructions in English and French. However, research shows that terminologists are yet to show interest in the study, analysis, and development of the field even though the daily activities, exchanges, debates, etc., involving specialists, scholars, researchers, politicians, stakeholders, or terrorists, who either perpetrate or fight against terrorism, lead to abundant lexical creativity. The present terminological inactivity in the field of terrorism may be, among other reasons, due to the fact that the definition of terrorism remains a purely theoretical issue and that one man’s terrorist often turns out to be another man’s freedom fighter.
This study is an effort to remedy the terminological lacunae in the field of terrorism. It contributes to the increasing efforts to understand and document terrorism in all its ramifications. The study explores the concept of terrorism from the etymology of the term, its present lack of a generally acceptable definition, to the different reactions and measures for countering terrorism at both domestic (from the perspective of a select number of countries) and international (from the perspective of the international community—United Nations) levels. It explores the status of terrorism as a terminological domain with the aim of: a) analyzing the concepts and notional structures of the field of terrorism; b) identifying the terms assigned to the concepts; c) establishing correspondence between terrorism terms in French and their English equivalents; d) compiling a bilingual (French/English) lexicon for the subject field. The study highlights not only the functions of terminological units in different discourse contexts, but also the attitudes of humans in relation to term usage in a variety of cultural, ideological and religious contexts.
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Joseph Beuys und die amerikanische Anti Form-Kunst : Einfluss und Wechselwirkung zwischen Beuys und Morris, Hesse, Nauman, Serra /Luckow, Dirk. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Freie Universität--Berlin, 1996. / Bibliogr. p.329-346. Index.
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