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Études de luminosité de l'expérience ATLAS par le détecteur Timepix à l'aide de particules chargées à faible transfert d'énergie

Gagnon, Clara 12 1900 (has links)
Le réseau ATLAS-TPX est composé de 15 détecteurs Timepix répartis à diverses positions autour du point d’interaction IP1 (Point d’interaction 1) dans la caverne de l’expérience ATLAS (A Toroidal LHC ApparatuS) au LHC (Grand Collisionneur de Hadrons). Ce réseau de détecteurs permet de caractériser le champ de radiation et de mesurer la luminosité indépendamment de la chaîne d’acquisition de données d’ATLAS. Ses différents modes d’opération complémentent les mesures de luminosité de référence d’ATLAS, qui sont cruciales pour la détermination des mesures de sections efficaces de processus du modèle standard de la physique des particules. Ce mémoire évalue la capacité des détecteurs ATLAS-TPX à mesurer la luminosité avec la reconnaissance de traces. Cette méthode permet de filtrer certaines sources d’erreurs systématiques, telles que la radiation induite, qui affectent d’autres détecteurs de luminosité de l’expérience ATLAS. L’étude se concentre sur la détection des particules chargées à faible transfert d’énergie (LETCP) avec un détecteur ayant opéré dans de bonnes conditions de 2017 à 2018, le détecteur TPX14. Les traces laissées par les LETCP sont distinguées des autres particules par des algorithmes de classification, qui sont appliqués sur les images enregistrées par le détecteur. Lorsque des pics de luminosité ou des temps d’acquisition trop longs provoquent une superposition des traces dans les images, une technique de correction est utilisée. Le comptage de traces est converti en mesure de luminosité grâce aux périodes de collisions de référence de chaque année. Les résultats sont comparés à ceux provenant des autres détecteurs de luminosité, soit LUCID (Luminosity measurements Using Cherenkov Integration Detector), EMEC (ElectroMagnetic End Cap) et FCal (Forward Calorimeter) dans le but d’étudier la stabilité à long terme de ces luminomètres. L’entièreté des résultats obtenus diffère par moins de 3% par rapport à LUCID, le détecteur de luminosité de référence dans ATLAS. Cela prouve donc la validité de la méthode et ouvre la porte à des études de stabilité avancées. Les fluctuations statistiques observées pourront être réduites dans le futur en utilisant plus de détecteurs et en optimisant leur positionnement. / The ATLAS-TPX network is made of 15 Timepix detectors distributed at various positions around the interaction point IP1 (Interaction Point 1) in the ATLAS (A Toroidal LHC ApparatuS) cavern at the LHC (Large Hadron Collider). This detector network allows the characterization of the radiation field as well as luminosity measurements that are completely independent of the ATLAS data acquisition chain. Its different modes of operation complement the reference luminosity measurements in ATLAS, which are crucial for the measurement of cross sections of the standard model process of particle physics. This master thesis evaluates the ability of ATLAS-TPX detectors to measure the luminosity using track recognition. This method makes it possible to filter certain sources of systematic uncertainties, such as activation, which affect other luminosity detectors of the ATLAS experiment. The studies focus on detection of low energy transfer charged particles (LETCP) with a detector that operated in good conditions throughout 2017 and 2018, the TPX14. The signature traces left by LETCP are distinguished from others by classification algorithms, which are applied on the detector’s frames. When luminosity is peaking or when the acquisition time is too long and cause overlapping of the traces in the frames, a correction is applied. The track counts are converted to luminosity measurements using the reference run of each year. The results are compared to those from other luminosity detectors, namely LUCID (Luminosity measurements Using Cherenkov Integration Detector), EMEC (ElectroMagnetic End Cap) and FCal (Forward Calorimeter) in order to do long term stability studies of those luminometers. All results differ by less than 3% from LUCID’s data, the luminosity of reference in ATLAS. Therefore, the method is valid, which opens the door to advanced stability studies. The observed statistical fluctuations could be reduced in the future by using more detectors and optimizing their positioning.

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