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Les pourparlers de paix entre Rome et les Barbares le long du limes rhéno-danubien de 337 à 375 / Peace Negotiations between Rome and Barbarians along the Rhine and Danube

Mbadinga, William Charlis 04 September 2012 (has links)
Malgré le redressement accompli par les Tétrarques et Constantin, les relations avec les barbares restent un problème essentiel pour Rome. En témoignent les 25 séquences de pourparlers de paix engagés le long du limes rhéno-danubien entre la mort de Constantin (337) et celle de Valentinien (375). Après une typologie des circonstances dans lesquelles s’engagent ces pourparlers, la thèse analyse la façon concrète dont ils se déroulent. Ils s’organisent en deux étapes : premiers contacts par l’intermédiaire de délégués puis cérémonie de conclusion de la paix. Tout se passe en général dans le barbaricum, quand les barbares, impressionnés par l’adversaire, terrorisés par les ravages subis ou vaincus, envoient des délégués au camp romain pour solliciter la paix. Les sources les présentent en suppliants, mais loin de faire leur deditio, ils viennent discuter les clauses de la paix. Lors de la deuxième phase, chefs et guerriers doivent se livrer à une supplicatio, rappelant le rituel de deditio. Puis ils jurent de respecter la paix et fournissent des otages en garantie. En échange, Rome offre sa fides probablement par un traité (foedus), qui fait du chef barbare un « client », à qui est sans doute remis un document écrit. Deux fois la cérémonie dérape et se termine par le massacre des barbares. Plus rarement, les pourparlers se déroulent dans l’Empire, alors que les barbares y sont encore. Rome se contente alors d’obtenir leur départ (sans conclure semble-t-il de foedus), ou accepte leur deditio et renonce à les expulser. Enfin, quand Rome accepte de conclure la paix en terrain neutre en 369 et en 374, et de traiter le barbare en « ami », c’est le signe d’une détérioration du rapport de forces entre les deux parties, dont les effets se font sentir en 376 quand Valens doit accepter l’entrée des Wisigoths dans l’Empire. / Despite the recovery achieved by the Tetrachs and Constantine, relations with the barbarians remained an essential problem for Rome, as illustrated by the 25 sequences of peace talks within the Rheno-Danubian limes that happened between the death of Constantine (337) and Valentinian (375). After understanding the circumstances in which these negotiations were undertaken, the thesis analyzes in a concrete way the involvement of actors. These talks were held in two stages: the contacts with the envoys on the one hand; an ending ceremony on the other. In general, everything took place in barbaricum: impressed by the enemy, terrorized by the sustained ravages, or beaten, the barbarians sent their envoys to the Roman camp in order to solicit peace. The sources present the barbarians as supplicants, but far from doing their deditio, they came to discuss peace clauses. During the second phase, chiefs and warriors had to engage in a supplicatio, a procedure that reminds the deditio ritual. Then, they swore to respect peace clauses, supplying hostages as a guarantee. In exchange, Rome offered its fides likely in the form of a treaty (foedus) making barbarian chiefs "clients". A written document was probably given. It happened only twice in the given period that this ceremony ended with the massacre of the barbarians. Less often, the talks took place in the Roman Empire, while the barbarians were still present. In this case, Rome contented itself with getting their departure (apparently without concluding a foedus), or accepting their deditio and renouncing their expulsion. The sign of the deterioration of the balance of power between the two parties came finally in 369 and 374, when Rome accepted to conclude peace on a neutral ground, treating barbarians chiefs as « friends ». The effects of these peace talks were felt in 376, when Valens had to accept Wisigoths’s entry into the Roman Empire.
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Les pourparlers de paix entre Rome et les Barbares le long du limes rhéno-danubien de 337 à 375

Mbadinga, William Charlis 04 September 2012 (has links) (PDF)
Malgré le redressement accompli par les Tétrarques et Constantin, les relations avec les barbares restent un problème essentiel pour Rome. En témoignent les 25 séquences de pourparlers de paix engagés le long du limes rhéno-danubien entre la mort de Constantin (337) et celle de Valentinien (375). Après une typologie des circonstances dans lesquelles s'engagent ces pourparlers, la thèse analyse la façon concrète dont ils se déroulent. Ils s'organisent en deux étapes : premiers contacts par l'intermédiaire de délégués puis cérémonie de conclusion de la paix. Tout se passe en général dans le barbaricum, quand les barbares, impressionnés par l'adversaire, terrorisés par les ravages subis ou vaincus, envoient des délégués au camp romain pour solliciter la paix. Les sources les présentent en suppliants, mais loin de faire leur deditio, ils viennent discuter les clauses de la paix. Lors de la deuxième phase, chefs et guerriers doivent se livrer à une supplicatio, rappelant le rituel de deditio. Puis ils jurent de respecter la paix et fournissent des otages en garantie. En échange, Rome offre sa fides probablement par un traité (foedus), qui fait du chef barbare un " client ", à qui est sans doute remis un document écrit. Deux fois la cérémonie dérape et se termine par le massacre des barbares. Plus rarement, les pourparlers se déroulent dans l'Empire, alors que les barbares y sont encore. Rome se contente alors d'obtenir leur départ (sans conclure semble-t-il de foedus), ou accepte leur deditio et renonce à les expulser. Enfin, quand Rome accepte de conclure la paix en terrain neutre en 369 et en 374, et de traiter le barbare en " ami ", c'est le signe d'une détérioration du rapport de forces entre les deux parties, dont les effets se font sentir en 376 quand Valens doit accepter l'entrée des Wisigoths dans l'Empire.
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Styles céramiques et groupes régionaux dans le Néolithique ancien danubien occidental (bassins du Rhin, de la Meuse et de la Seine) : une approche systémique / The decorated pottery of the early Danubian Neolithic (Lbk) in the basins of the Rhine, the Meuse and the Seine (western Lbk) : a systemic approach

Houbre, Aurélie 27 September 2012 (has links)
Ce travail est consacré à la céramique décorée du Néolithique ancien danubien des bassins du Rhin, de la Meuse et de la Seine. L’application de la méthode systémique à l’ensemble des décors archéologiquement reconstituables découverts dans cette zone a permis d’élaborer une grammaire décorative du Rubané de la zone occidentale. L’analyse grammaticale ainsi appliquée à chaque groupe régional constitue un travail inédit.Au cœur de notre recherche se situe la question du morcellement du territoire. Dès le Rubané moyen, un bloc septentrional s’étend de l’Escaut jusqu’au Neckar, tandis qu’au sud, le Rubané Moyen de Haute-Alsace se développe de la vallée de la Marne au Hegau, en passant par l’extrémité sud de la plaine du Rhin supérieur. Seule la Basse-Alsace occupe, lors du Rubané moyen, une place isolée au sein de la zone occidentale. Dans la seconde moitié du Rubané (étapes IV et V), la zone occidentale est morcelée en trois complexes : le Rubané du Nord-Ouest qui s’étend de l’Escaut au Main, le Rubané du Centre qui regroupe les zones du Palatinat et du Neckar et le Rubané du Sud qui englobe le sud de la plaine du Rhin supérieur (Basse- et Haute-Alsace) et le Bassin parisien. / This work is dedicated to the analysis of the decorated pottery of the early Danubian Neolithic (Lbk) in the basins of the Rhine, the Meuse and the Seine (western Lbk). The application of a systemic approach to all the reconstructible decorations discovered in this area permitteded the elaboration of a decorative grammar for the western Lbk area. This grammatical analysis, which was applied to all the regional groups of this area, constitutes a totally new work.The center of our research focuses with the regionalisation process. In the middle Lbk phase, a northern block spreads over the Escaut to the Neckar, whereas in the south the “middle Lbk from Haute-Alsace” goes from the valley of the Marne to the Hegau via the southern part of the higher Rhine plain. Only the Basse-Alsace region occupies an isolated place within the western Lbk. In the second half of the Lbk (steps IV and V) this area is divided into three complexes: the Northwest Lbk, from the Escaut to the Main, the central Lbk, comprising the Palatinat and the Neckar regions and the southern Lbk, which includes the south of the higher Rhine plain (Basse- and Haute-Alsace) and the Paris basin.

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