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Inventing the barbarian : Ethnocentric interpretation of myth in Greek tragedyHall, E. January 1987 (has links)
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Cultures in collision : the barbarization of the Western Roman Empire in ideology and reality (c.370-530 A.D.)Hague, Barry John January 1987 (has links)
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Les Magistri Militum aux IVe et Ve siècles ap. J.-C. / The magistri militum of the fourth and fifth centuries A. D.Landelle, Marc 12 November 2011 (has links)
À partir du règne de Constantin Ier, la défense de l’Empire fut mise en œuvre par un corps de généraux qui récupérèrent les anciens pouvoirs militaires des préfets du prétoire : les magistri militum. Confrontés à des menaces militaires incessantes (pression barbare aux frontières et épisodes de guerre civile), ces officiers supérieurs furent la plupart du temps épargnés par les purges qui frappaient le personnel de cour, car ils constituaient une assise fondamentale du pouvoir de l’empereur. Au début du Ve siècle ap. J.-C., l’Empire romain unifié fit place à deux partes imperii indépendantes, voire rivales : un Empire byzantin replié sur l’Orient, et une partie occidentale qui tendit à se fragmenter en royaumes barbares. Comment le haut commandement militaire évolua-t-il dans chacune de ces régions ? Ce corps d’officiers a fait l’objet d’une étude prosopographique tenant compte des recherches les plus récentes, en vue de fournir une synthèse qui a été menée selon trois axes principaux : - en termes institutionnels, quelle était la place de ces généraux dans la chaîne de commandement ?- en termes d’histoire militaire, quel fut le rôle de ces généraux dans les transformations que connut l’armée romaine tardive ?- en termes d’histoire sociale, comment cette noblesse militaire, dont une partie avait des origines barbares, se définissait-elle par rapport à la romanité et à la société de cour tardo-antique ? / From the reign of Constantine the Great onward, the defence of the Empire was the responsibility of a group of generals who were trusted with the previous military responsabilities of the pretorian prefects : the magistri militum. Facing restless threats (barbarian pressure on the frontiers and episodes of civil war), these high officers were most of the time kept away from the regular revolutions that struck the court : they were one of the base of the imperial authority. At the beginning of the fifth century, the unified roman Empire had been replaced by two independent, sometimes even rival partes imperii : a byzantine Empire, limited to the East, and a western part which eventually collapsed to form barbarian kingdoms. How did the high military command evolve in each of these parts ?A prosopographical study, taking into account the most up-to-date research, has been made on this group of officiers, in order to provide a synthesis developing three main axis :- from an institutional point of view, what was the place of these generals in the chain of command ?- from a military point of view, which role did this generals play in the transformations that affected the Late roman army ?- from a social point of view, how did this military nobility, which included people with barbarian origins, defined herself with regard to romanity and the Late Antique court society ?
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Les pourparlers de paix entre Rome et les Barbares le long du limes rhéno-danubien de 337 à 375 / Peace Negotiations between Rome and Barbarians along the Rhine and DanubeMbadinga, William Charlis 04 September 2012 (has links)
Malgré le redressement accompli par les Tétrarques et Constantin, les relations avec les barbares restent un problème essentiel pour Rome. En témoignent les 25 séquences de pourparlers de paix engagés le long du limes rhéno-danubien entre la mort de Constantin (337) et celle de Valentinien (375). Après une typologie des circonstances dans lesquelles s’engagent ces pourparlers, la thèse analyse la façon concrète dont ils se déroulent. Ils s’organisent en deux étapes : premiers contacts par l’intermédiaire de délégués puis cérémonie de conclusion de la paix. Tout se passe en général dans le barbaricum, quand les barbares, impressionnés par l’adversaire, terrorisés par les ravages subis ou vaincus, envoient des délégués au camp romain pour solliciter la paix. Les sources les présentent en suppliants, mais loin de faire leur deditio, ils viennent discuter les clauses de la paix. Lors de la deuxième phase, chefs et guerriers doivent se livrer à une supplicatio, rappelant le rituel de deditio. Puis ils jurent de respecter la paix et fournissent des otages en garantie. En échange, Rome offre sa fides probablement par un traité (foedus), qui fait du chef barbare un « client », à qui est sans doute remis un document écrit. Deux fois la cérémonie dérape et se termine par le massacre des barbares. Plus rarement, les pourparlers se déroulent dans l’Empire, alors que les barbares y sont encore. Rome se contente alors d’obtenir leur départ (sans conclure semble-t-il de foedus), ou accepte leur deditio et renonce à les expulser. Enfin, quand Rome accepte de conclure la paix en terrain neutre en 369 et en 374, et de traiter le barbare en « ami », c’est le signe d’une détérioration du rapport de forces entre les deux parties, dont les effets se font sentir en 376 quand Valens doit accepter l’entrée des Wisigoths dans l’Empire. / Despite the recovery achieved by the Tetrachs and Constantine, relations with the barbarians remained an essential problem for Rome, as illustrated by the 25 sequences of peace talks within the Rheno-Danubian limes that happened between the death of Constantine (337) and Valentinian (375). After understanding the circumstances in which these negotiations were undertaken, the thesis analyzes in a concrete way the involvement of actors. These talks were held in two stages: the contacts with the envoys on the one hand; an ending ceremony on the other. In general, everything took place in barbaricum: impressed by the enemy, terrorized by the sustained ravages, or beaten, the barbarians sent their envoys to the Roman camp in order to solicit peace. The sources present the barbarians as supplicants, but far from doing their deditio, they came to discuss peace clauses. During the second phase, chiefs and warriors had to engage in a supplicatio, a procedure that reminds the deditio ritual. Then, they swore to respect peace clauses, supplying hostages as a guarantee. In exchange, Rome offered its fides likely in the form of a treaty (foedus) making barbarian chiefs "clients". A written document was probably given. It happened only twice in the given period that this ceremony ended with the massacre of the barbarians. Less often, the talks took place in the Roman Empire, while the barbarians were still present. In this case, Rome contented itself with getting their departure (apparently without concluding a foedus), or accepting their deditio and renouncing their expulsion. The sign of the deterioration of the balance of power between the two parties came finally in 369 and 374, when Rome accepted to conclude peace on a neutral ground, treating barbarians chiefs as « friends ». The effects of these peace talks were felt in 376, when Valens had to accept Wisigoths’s entry into the Roman Empire.
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Defining a Roman identity in the Res Gestae of Ammianus Marcellinus : the dialogue between "Roman" and "foreign"Williams, Guy January 2018 (has links)
This thesis argues that Ammianus is interested in, and attempts to define, a Roman identity applicable to his own multifarious world. It argues that Ammianus and some of his peers discern a clear increase in the number of foreigners and outsiders in the empire. While some of his peers lament this perception and adopt a hard-line approach, Ammianus has a much more nuanced view. It is argued that the model of Roman identity which he devises not only accounts for foreigners, but actually, in some cases, makes them exemplars of a flexible Roman identity based chiefly on the notion of appropriate behaviour. In this sense, his identity scheme is ultimately integrative and inclusive. As part of his definition of identity, Ammianus utilises an "outsider" perspective. This perspective is shown to dictate not only how he portrays his characters and their deeds, but even how he reflects on the substance of Romanness as a continual dialogue between "Roman" and "foreign", broadly conceived. It is finally argued that the historian's purpose in defining such an identity is to ensure that the eternity of the empire, in which he firmly believes, is safeguarded by future "Romans" who perhaps may never even see the City itself, but nevertheless remain committed to its protection.
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L'Afrique dans la poésie latine d'Ennius à Corippe / Pas de titre traduitDelattre, Aurélie 03 December 2011 (has links)
Cette thèse étudie l’image de l’Afrique dans la poésie latine, d’Ennius à Corippe. Dans la plupart des occurrences, l’Afrique n’est présente que pour son caractère connotatif et sert surtout l’amplification du discours. Nous pouvons néanmoins en déduire un certain nombre de caractéristiques qui participent d’une imagerie topique attachée à l’Afrique. Nous avons ensuite mis en évidence la manière dont les poètes traitent ce matériau africain, ainsi que les caractéristiques propres à l’Afrique, qui la distinguent des autres régions « barbares » de l’Empire. L’originalité de l’Afrique, enfin, vient de la place qu’elle occupe dans le genre épique, puisqu’elle est le théâtre de plusieurs oeuvres. L’amplification propre au genre, qui se nourrit des réalités et de l’imaginaire précédemment évoqués, lui confère une dimension mythique, au point qu’elle joue un rôle fondamental dans la construction de ces poèmes. Par un effet de retour, elle en vient à être évoquée, dans les genres dits mineurs, commemétaphore pour désigner le genre épique. / This thesis is devoted to the study of the representation of Africa in Latin poetry, from Ennius until Corippus. In most cases, allusions to Africa have a mere connotative value and fulfill an amplification purpose. Nonetheless, various characteristics of the stereotypes associated to Africa can be deduced from them. We also describe the methods used by the poets to deal with these stereotypes and we shed light on the characteristics that make Africa different from the other “barbarian” regions of the Roman Empire. The originality of Africa is related to the importance it takes in epic, since Africa is the scene of several poems. The amplification proper to epic, mainly based on these stereotypes, gives Africa a mythic dimension and it plays thus a fundamental role in the structure of epic poems. Consequently, it becomes the metaphor of epic in many other minor genres.
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Literary Depictions of Moors from Herodotus to ProcopiusRussell, Daniel 02 December 2022 (has links)
The Moors have been regarded by Graeco-Roman authors with a mixture of ambivalence and admiration. From the highly positive characterizations of Moorish giants like Masinissa (238-148 BCE) whose achievements the Romans lauded, to figures like Jugurtha (fl. 118-104 BCE) and Gildo (fl. 396-398 CE) whose hostilities with Rome earned them both scorn and ridicule, Moorish figures loom large in the pages of ancient historians from Herodotus to Procopius. This thesis examines the shifting portrayal of Moors from their earliest literary depictions in Greek literary sources to the late Roman literary portrayals of the sixth century CE. It argues that certain stereotypes regarding Moors, a problematic term that will be discussed in greater detail, continued relatively unchanged in Graeco-Roman authors, and that this was highly dependent on genre, political context, and intertextuality. It further argues that negative vs. positive portrayals of Moors can be understood better via an examination of the context of an author on an individual level, where political background was key to an historian’s evaluation of a certain Moorish figure or of Moors in general.
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Les Barbares dans le De gubernatione dei de Salvien de MarseilleL'Archer, Marie-Claude 08 1900 (has links)
Salvien de Marseille est un auteur incontournable pour l'histoire du Ve siècle ap. J.-C. Il s'est abondamment exprimé au sujet des Barbares, d'une façon si positive
que cela ne cesse de nous étonner, au vu des invasions qui s'étaient produites dans
sa Gaule natale peu avant la période où il rédigea le De gubernatione dei. Une
étude attentive de ce que Salvien affirma au sujet des Barbares démontre que
celui-ci utilisa souvent des topoï pour parler d'eux. Parfois aussi, il inversa ces
topoï, se plaçant ainsi en opposition avec la tradition littéraire romaine. Ce
mémoire s'attache à identifier ces topoï et voir comment Salvien de Marseille
s'accordait ou se détachait des idées reçues sur les Barbares dans chaque cas. / Salvianus is an important author when studying fifth century history. He
witnessed the barbarian invasion and destruction of his native Gaul, yet he
expressed positive evaluations of the Barbarians in this treaty De gubernatione
dei. A careful study of Salvianus’ analysis of these Barbarians reveals that he
often used topoï when discussing them. However, contrary to Roman literary
tradition, he also reversed these topoï and portrayed them in a positive light.
This Master’s thesis examines and identifies these topoï, and assesses the extent to
which Salvianus adhered to the Romans’ preconceived ideas on Barbarians in
each case. This research will demonstrate that although he used traditional literary
forms, Salvian was able to express original ideas through the manipulation of the
Roman literary tradition.
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Les Barbares dans le De gubernatione dei de Salvien de MarseilleL'Archer, Marie-Claude 08 1900 (has links)
Salvien de Marseille est un auteur incontournable pour l'histoire du Ve siècle ap. J.-C. Il s'est abondamment exprimé au sujet des Barbares, d'une façon si positive
que cela ne cesse de nous étonner, au vu des invasions qui s'étaient produites dans
sa Gaule natale peu avant la période où il rédigea le De gubernatione dei. Une
étude attentive de ce que Salvien affirma au sujet des Barbares démontre que
celui-ci utilisa souvent des topoï pour parler d'eux. Parfois aussi, il inversa ces
topoï, se plaçant ainsi en opposition avec la tradition littéraire romaine. Ce
mémoire s'attache à identifier ces topoï et voir comment Salvien de Marseille
s'accordait ou se détachait des idées reçues sur les Barbares dans chaque cas. / Salvianus is an important author when studying fifth century history. He
witnessed the barbarian invasion and destruction of his native Gaul, yet he
expressed positive evaluations of the Barbarians in this treaty De gubernatione
dei. A careful study of Salvianus’ analysis of these Barbarians reveals that he
often used topoï when discussing them. However, contrary to Roman literary
tradition, he also reversed these topoï and portrayed them in a positive light.
This Master’s thesis examines and identifies these topoï, and assesses the extent to
which Salvianus adhered to the Romans’ preconceived ideas on Barbarians in
each case. This research will demonstrate that although he used traditional literary
forms, Salvian was able to express original ideas through the manipulation of the
Roman literary tradition.
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Gli 'altri' al potere. Romani e barbari nella Gallia di Sidonio Apollinaire / The 'others' ruling. Romans and Barbarians in Sidonius Apollinaris' Gaul / Les "autres" au pouvoir. Romains et barbares dans la Gaule de Sidoine ApollinaireFascione, Sara 09 January 2018 (has links)
La thèse analyse, à travers l’examen de la correspondance de Sidoine Apollinaire, le rôle fondamental que ce dernier a joué lors de la grande crise et de l’effondrement de l’Empire Romain d’Occident et, surtout, sa position assumée dans le face à face avec des populations barbares. On considére les lettres de Sidoine principalement comme un témoignage de la manière dont la nobilitas de ce temps s’est adaptée à la nouvelle situation politique et sociale, mais aussi comme une source de références à valeur documentaire. À l’apogée du déclin des institutions impériales et devant le désintérêt de l’administration centrale pour les incursions continues et les dévastations, les représentants de la vieille nobilitas sénatoriale se font le rempart des communautés: c’est l’avènement de la figure de l’évêque-sénateur qui, par le biais de l’acquisition d’une charge épiscopale, obtient ce pouvoir d’action et ce suivi que les carrières politiques traditionnelles ne garantissent plus et, lors de la formation des royaumes barbares, se fait l’intermédiaire des exigences de la cité qui est sous sa juridiction. Sidoine est un exemple emblématique de ce phénomène: par le biais de la correspondance qu’il entretient avec les plus hauts personnages de la vie ecclésiastique et culturelle, on trace le cadre des évolutions de la société du temps ainsi qu’un témoignage sur sa façon de se colleter au barbare, senti comme une altérité menaçante qui nécessite pour s’en défendre non seulement qu’on participe activement à la résistance armée mais aussi qu’on s’adonne à l’étude inépuisable et consciente du patrimoine littéraire et culturel qui forme le fondement de cette Romanitas dans laquelle il se reflète.Sans négliger la partialité du point de vue de l’auteur et le caractère profondément littéraire de l’œuvre prise en considération, on les traite aussi comme des témoignages fondamentaux de l’ambiance culturelle à laquelle appartient l’évêque d’Auvergne, intellectuel raffiné ayant reçu une formation rhétorique et scolaire soignée et qui réussit à se tailler un champ d’action dans la réalité qui l’environne. / The thesis analyses Sidonius Apollinaris' Letters in order to shed light on his perception of the so-called 'Barbarians' during the period of transition from Roman imperial institutions to the Romano-barbarian Kingdoms. In the V century AD, due to imperial central administration's indifference to barbaric incursions and devastations, exponents of ancient senatorial nobilitas stood up for their communities by holding the episcopal seat; by so doing, senatorial bishops kept the authority which traditional political offices could not ensure anymore and defended the needs of their communities. Sidonius Apollinaris is the major symbol of this phenomenon. His letters, addressed to the main personalities of his time, depict a portrait of the social developments occurred in that period and of the approach of Gallo-Roman aristocracy towards the Barbarians; the armed resistance and the study of Roman literary and cultural heritage appear to Gallo-Roman aristocracy the only way to save the principle of identity, which lays under the label of Romanitas. The work determines which literary schemes Sidonius uses to interpretate his political and social environment; his letter collection is examined as a mirror of his time thanks to its literary dimension, not despite it, and the literary filter itself is seen as a primary source. This critical methodological approach has been adopted to answer to all research questions as far as 'Identity' and 'Otherness' are concerned, in order to give a definition of 'Barbarian' and 'Roman Citizen'.
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