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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogationSimoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogationSimoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogationSimoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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