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Le rayonnement international des gravures flamandes aux XVIe et XVIIe siècles : les peintures murales des églises Sainte-Bethléem et Saint-Sauveur à la Nouvelle-Djoulfa (Ispahan)

Eftekharian, Sarah Sâyeh 13 October 2006 (has links)
L’auteur inventorie les sources iconographiques de la plupart des quelque 250 peintures de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur de la cité arménienne de la Nouvelle-Djoulfa, dans les faubourgs d’Ispahan. Elle établit que ces sources, contrairement à la thèse qui faisait autorité depuis plus de cinquante ans, ne sont pas des xylographies du graveur Christoffel Van Sichem, mais des estampes de la Bible de Natalis, ouvrage jésuite publié pour la première fois à Anvers en 1593. L’auteur démontre qu’il existe également une autre source, à savoir l’album Thesaurus veteris et novi Testamenti de l’éditeur anversois de confession calviniste G. de Jode, dont la première publication date de 1579 et dont les planches furent reprises, entre autres, dans l’album Theatrum Biblicum publié à Amsterdam à partir de 1639 par l’éditeur C. J. Visscher. Une comparaison avec des miniatures de l’école de la Nouvelle-Djoulfa conservés au Matenadaran et à la BNF permet de confirmer que ces deux albums sont parvenus dans la cité arménienne. Enfin, la thèse recense plusieurs estampes isolées qui ont aussi servi de modèle aux peintures murales. Par une étude stylistique comparée mettant en évidence la transformation caractéristique de certains modèles utilisés, l’auteur établit que les peintres impliqués dans la décoration de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur sont des artistes de la cité, dont l’un au moins a une connaissance approfondie des techniques et des conventions de l’art pictural occidental. Dans le même temps, elle fait ressortir le fait que l’influence de la gravure flamande sur l’art pictural arménien se traduit à la fois par un renouvellement des formes et par une évolution de certains contenus et signale que le rayonnement de la Nouvelle-Djoulfa en prolonge les effets tant en Arménie que dans d’autres communautés de la diaspora arménienne. Enfin, en fournissant plusieurs exemples inédits témoignant de l’influence internationale de l’art flamand de cette époque – et tout particulièrement des œuvres de Maarten De Vos – par le truchement de la gravure, l’auteur ouvre des pistes de recherche tant en Perse que dans d’autres zones géographiques.
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Le rayonnement international des gravures flamandes aux XVIe et XVIIe siècles: les peintures murales des églises Sainte-Bethléem et Saint-Sauveur à la Nouvelle-Djoulfa, Ispahan

Eftekharian, Sâyeh 13 October 2006 (has links)
L’auteur inventorie les sources iconographiques de la plupart des quelque 250 peintures de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur de la cité arménienne de la Nouvelle-Djoulfa, dans les faubourgs d’Ispahan. Elle établit que ces sources, contrairement à la thèse qui faisait autorité depuis plus de cinquante ans, ne sont pas des xylographies du graveur Christoffel Van Sichem, mais des estampes de la Bible de Natalis, ouvrage jésuite publié pour la première fois à Anvers en 1593.<p><p>L’auteur démontre qu’il existe également une autre source, à savoir l’album Thesaurus veteris et novi Testamenti de l’éditeur anversois de confession calviniste G. de Jode, dont la première publication date de 1579 et dont les planches furent reprises, entre autres, dans l’album Theatrum Biblicum publié à Amsterdam à partir de 1639 par l’éditeur C. J. Visscher. Une comparaison avec des miniatures de l’école de la Nouvelle-Djoulfa conservés au Matenadaran et à la BNF permet de confirmer que ces deux albums sont parvenus dans la cité arménienne. Enfin, la thèse recense plusieurs estampes isolées qui ont aussi servi de modèle aux peintures murales.<p><p>Par une étude stylistique comparée mettant en évidence la transformation caractéristique de certains modèles utilisés, l’auteur établit que les peintres impliqués dans la décoration de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur sont des artistes de la cité, dont l’un au moins a une connaissance approfondie des techniques et des conventions de l’art pictural occidental. Dans le même temps, elle fait ressortir le fait que l’influence de la gravure flamande sur l’art pictural arménien se traduit à la fois par un renouvellement des formes et par une évolution de certains contenus et signale que le rayonnement de la Nouvelle-Djoulfa en prolonge les effets tant en Arménie que dans d’autres communautés de la diaspora arménienne.<p><p>Enfin, en fournissant plusieurs exemples inédits témoignant de l’influence internationale de l’art flamand de cette époque – et tout particulièrement des œuvres de Maarten De Vos – par le truchement de la gravure, l’auteur ouvre des pistes de recherche tant en Perse que dans d’autres zones géographiques. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Un Flamand à Florence : Van der Straet et la vie florentine à la fin du 16e siècle.

Bélanger, Stéphanie 27 January 2024 (has links)
Jan van der Straet (1523-1605) est un artiste flamand qui migre des Pays-Bas vers l'Italie pour s'accomplir en tant que peintre et graveur. Son parcours en tant qu'artiste immigré à Florence à la fin du 16e siècle est unique en son genre, alors qu'il adopte un style à mi-chemin entre ses origines anversoises et le maniérisme florentin, qu'il maîtrisera avec succès. Le regard externe qu'il pose sur sa communauté adoptive est très éclairant pour en apprécier les préceptes qui la régissent. Ce mémoire a pour but d'explorer la manière dont Van der Straet assume sa double identité à travers les Nova Reperta, une série de gravures que l'artiste réalisa à la fin des années 1590 pour l'érudit Luigi Alamanni (1495-1556). Membre de l'Accademia degli Alterati, une académie qui s'intéresse particulièrement à la littérature et à l'art italien, ce dernier désirait voir représentées les principales inventions et découvertes du 15e et du 16e siècles. Pour les besoins de notre étude, nous avons sélectionné plus précisément trois gravures, soit Color Olivi, qui représente l'invention de la peinture à l'huile, America, qui concerne la découverte du continent américain, et Vermis Sericus, qui fait référence à l'introduction du ver à soie en Europe et à l'industrie textile qui en découle. En analysant ces trois œuvres sur les plans iconographique et stylistique, nous tenterons de faire ressortir respectivement les contextes artistique, politique et économique qui caractérisent la ville de Florence, tels que les perçoit alors Van der Straet en tant qu'artiste à la fois étranger, indépendant et proche des érudits académiciens. À travers cette démarche, notre étude entend souligner la façon dont l'art de Van der Straet fait valoir simultanément ses origines flamandes et le rayonnement de sa ville d'adoption, Florence. Seront plus précisément abordées les questions du mouvement maniériste, de la gouvernance du duc de Toscane Cosme 1er de Médicis et de l'identité culturelle, politique et économique de la cité florentine qui se développe en accord avec celle-ci, puis enfin, de la contribution des Flamands à la culture artistique et artisanale occidentale.

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