41 |
Marraines de guerre rôles et représentations pendant la Grande Guerre /Ferron, Maxime January 1900 (has links)
Maîtrise d'histoire : Lettres, d'histoire et d'arts : Université catholique de l'Ouest d'Angers. Institut de lettres, d'histoire et d'arts : 2008. / Le cédérom contient le texte au format PDF. Titre provenant du conteneur.
|
42 |
La Décision suisse de satisfaire les exigences allemandes relatives aux incidents aériens de juin 1940 /Paroz, Jean-François. January 1988 (has links)
Mémoire--Genève--Institut universitaire de hautes études internationales, 1988. N°: 266. / Bibliogr. p. 130-137.
|
43 |
Ces enfants ont vécu la guerreBrauner, Alfred, January 1900 (has links)
Issued also as thesis, Paris, under title: Les répercussions psychiques de la guerre moderne sur l'enfance.
|
44 |
L'Arsenal canadien : les politiques canadiennes et la fabrication de munitions au Canada durant la Deuxième Guerre mondialeLabbé, Pierrick 08 November 2012 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la production de munitions au Canada durant la Deuxième Guerre mondiale dans le but d’exposer les politiques mises de l’avant par le gouvernement canadien pour répondre aux exigences matérielles de la guerre. Afin de combler les besoins du ministère de la Défense et de ses alliés, le ministère des Munitions et Approvisionnements réussit un tour de force en transformant une industrie munitionnaire insignifiante en un vaste programme qui employait plus de 103 000 personnes à son apogée. L’analyse des politiques à l’origine de cette production montre que le gouvernement fédéral géra autant que possible sa contribution matérielle de manière à fournir une aide considérable à ses alliés tout en poursuivant ses objectifs de relance économique à long terme. Le Comité de guerre du Cabinet tenta également de limiter l’impact négatif de ses décisions sur la vie des Canadiens.
La participation matérielle du Canada prit forme graduellement, restreinte par la volonté de limiter les dépenses militaires. Les projectiles ne figuraient pas parmi les priorités avant la chute de la France. À partir de l’automne 1940, les principaux ministères se montrèrent plus ouverts à la mise en place et au financement d’un vaste programme. Ils consolidèrent leur collaboration avec les gouvernements britannique et américain afin d’obtenir le soutien technique et financier nécessaire pour surpasser les faiblesses industrielles du pays, de manière à permettre une collaboration qui ne nuirait pas à long terme aux finances publiques. Ensuite, l’interventionnisme sans précédent pour stimuler ce secteur non traditionnel s’effectua, malgré l’ampleur des investissements, dans un esprit d’économie et mené par une volonté de ne pas disloquer inutilement les structures de l’économie civile. Le gouvernement misa sur une collaboration avec les entreprises compétentes qui dominaient déjà le marché. Les entrepreneurs jouèrent un rôle clé dans la stratégie fédérale de gestion des ressources humaines. L’élaboration d’une solution à la pénurie de travailleurs s’effectua autant que possible sans l’imposition de mesures coercitives, de manière à ne pas nuire à la relance de l’économie dans l’après-guerre et à ne pas saper le moral des citoyens. Le ministère des Munitions et Approvisionnements opta plutôt pour la mise en place d’un État-providence de guerre et d’un paternalisme industriel. Le secteur privé, appuyé par diverses initiatives du gouvernement fédéral, se devait d’imposer un encadrement strict du milieu de travail afin de maximiser la productivité, de diminuer l’absentéisme et de lutter contre les interruptions de production.
|
45 |
L'Arsenal canadien : les politiques canadiennes et la fabrication de munitions au Canada durant la Deuxième Guerre mondialeLabbé, Pierrick 08 November 2012 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la production de munitions au Canada durant la Deuxième Guerre mondiale dans le but d’exposer les politiques mises de l’avant par le gouvernement canadien pour répondre aux exigences matérielles de la guerre. Afin de combler les besoins du ministère de la Défense et de ses alliés, le ministère des Munitions et Approvisionnements réussit un tour de force en transformant une industrie munitionnaire insignifiante en un vaste programme qui employait plus de 103 000 personnes à son apogée. L’analyse des politiques à l’origine de cette production montre que le gouvernement fédéral géra autant que possible sa contribution matérielle de manière à fournir une aide considérable à ses alliés tout en poursuivant ses objectifs de relance économique à long terme. Le Comité de guerre du Cabinet tenta également de limiter l’impact négatif de ses décisions sur la vie des Canadiens.
La participation matérielle du Canada prit forme graduellement, restreinte par la volonté de limiter les dépenses militaires. Les projectiles ne figuraient pas parmi les priorités avant la chute de la France. À partir de l’automne 1940, les principaux ministères se montrèrent plus ouverts à la mise en place et au financement d’un vaste programme. Ils consolidèrent leur collaboration avec les gouvernements britannique et américain afin d’obtenir le soutien technique et financier nécessaire pour surpasser les faiblesses industrielles du pays, de manière à permettre une collaboration qui ne nuirait pas à long terme aux finances publiques. Ensuite, l’interventionnisme sans précédent pour stimuler ce secteur non traditionnel s’effectua, malgré l’ampleur des investissements, dans un esprit d’économie et mené par une volonté de ne pas disloquer inutilement les structures de l’économie civile. Le gouvernement misa sur une collaboration avec les entreprises compétentes qui dominaient déjà le marché. Les entrepreneurs jouèrent un rôle clé dans la stratégie fédérale de gestion des ressources humaines. L’élaboration d’une solution à la pénurie de travailleurs s’effectua autant que possible sans l’imposition de mesures coercitives, de manière à ne pas nuire à la relance de l’économie dans l’après-guerre et à ne pas saper le moral des citoyens. Le ministère des Munitions et Approvisionnements opta plutôt pour la mise en place d’un État-providence de guerre et d’un paternalisme industriel. Le secteur privé, appuyé par diverses initiatives du gouvernement fédéral, se devait d’imposer un encadrement strict du milieu de travail afin de maximiser la productivité, de diminuer l’absentéisme et de lutter contre les interruptions de production.
|
46 |
Die deutsch-sowjetischen Handelsbeziehungen 1939-1941 : ihre Bedeutung für die jeweilige Kriegswirtschaft /Blumenhagen, Karl Heinz. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Philosophie- und Sozialwissenschaften--Universität Hamburg, 1996. / Bibliogr. p. 423-462. Index.
|
47 |
"In den eigenen Umriss gebannt" : Kriegsaufzeichnungen, literarische Fragmente und Briefe aus den Jahren 1939 bis 1945 /Hartlaub, Felix, Ewenz, Gabriele Lieselotte. January 2002 (has links)
Diss.--Freie Universität--Berlin, 2000. / Notes bibliogr. p. 307-317 (vol. 2). Index.
|
48 |
Kriegsgeschichte und Geschichtspolitik : der Erste Weltkrieg : die amtliche deutsche Militärgeschichtsschreibung 1914-1956 /Pöhlmann, Markus, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophisch-historische Fakultät--Universität Bern, 2000. / Bibliogr. p. 388-417. Index.
|
49 |
Jüdische Intellektuelle im Ersten Weltkrieg : Kriegserfahrungen, weltanschauliche Debatten und kulturelle Neuentwürfe /Sieg, Ulrich, January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Fachbereich Geschichte und Kulturwissenschaften--Marburg--Philipps-Universität, 1999. / Bibliogr. p. 333-380. Index.
|
50 |
Spionage und Verrat : konspirative Kriegserzählungen und französische Innenpolitik, 1914-1917 /Bavendamm, Gundula. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Freiburg--Albert-Ludwigs-Universität, 2000. / Bibliogr. p. 349-362. Index.
|
Page generated in 0.0639 seconds