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La survie implantaire suite à une réhabilitation par mise en charge immédiate d’une prothèse totale mandibulaire reliée à deux implants non jumelés : une étude pilote expérimentale

Audy, Nicholas 04 1900 (has links)
Problématique : Les connaissances théoriques et pratiques au sujet de la mise en charge immédiate d’implants non jumelés chez les édentés sont limitées. Objectifs : Cette étude avait pour but de : (1) déterminer le taux de survie implantaire de 2 implants non jumelés supportant une prothèse totale mandibulaire suite à une mise en charge immédiate, (2) évaluer les changements des niveaux osseux et de stabilité implantaire survenus sur ces 2 implants durant une période de 4 mois et les comparer à un implant témoin, et (3) décrire les complications cliniques associées à ce mode de mise en charge. Méthodologie : Chez 18 individus édentés (âge moyen de 62±7 ans), cette étude de phase I avec un design pré/post a évalué les résultats cliniques suivant la mise en charge immédiate (<48 heures) de 2 implants non jumelés par une prothèse totale mandibulaire. À l’aide de radiographies périapicales, de sondages osseux et d’analyses de la fréquence en résonnance, les niveaux osseux péri-implantaires (en mm) et les niveaux de stabilité implantairte (en ISQ) de ces 2 implants insérés dans la région parasymphysaire ont été évalués à la chirurgie (T0) et au suivi de 4 mois (T1). Un implant non submergé et sans mise en charge inséré dans la région de la symphyse mandibulaire a été utilisé comme témoin. Les données ont été analysées avec des modèles mixtes linéaires, la méthode de Tukey ajustée, l’analyse de variance de Friedman et des tests de rang signés de Wilcoxon. Résultats : De T0 à T1, 3 implants mis en charge immédiatement ont échoué chez 2 patients. Le taux de survie implantaire obtenu était donc de 91,7% (33/36) et, par patient, de 88,9% (16/18). Aucun implant témoin n’a échoué. Les changements osseux documentés radiologiquement et par sondage autour des implants mis en charge immédiatement étaient, respectivement, de -0,2 ± 0,3 mm et de -0,5 ± 0,6 mm. Les pertes d’os de support implantaire n’ont pas été démontrées statistiquement différentes entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins. Les niveaux moyens de stabilité implantaire ont augmenté de 5 ISQ indépendamment de la mise en charge. Les niveaux moyens d’ISQ n’ont pas été démontrés statistiquement différents entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins à T0 ou T1. Cinq des 18 patients n’ont expérimenté aucune complication clinique, alors que 9 en ont eu au moins deux. Hormis les échecs implantaires, aucune de ces complications n’a entraîné de changements au protocole. Conclusion : Les résultats à court terme suggèrent que : (1) le taux de survie implantaire suite au protocole immédiat est similaire à ceux rapportés lors d’un protocole de mise en charge conventionnel (2) les changements d’os de support implantaire et de stabilité ne sont pas différents comparativement à ceux d’un implant témoin, (3) un niveau élevé d’expérience clinique et chirurgicale est requis pour effectuer les procédures et pour gérer les complications associées. Ces résultats préliminaires devraient être confirmés dans une étude clinique de phase II. / Problem: There is a theoretical and practice knowledge gap in regard to immediate loading of unsplinted implants in edentulous individuals. Objectives: This study aimed to: (1) determine the implant survival rate of 2 unsplinted implants supporting a mandibular complete overdenture following an immediate loading protocol, (2) assess marginal bone level and implant stability changes of these immediately loaded implants in a 4-month period and compared them to a control implant, and (3) describe the clinical complications associated with this mode of loading. Methods: In 18 edentate individuals (mean age 62±7 years), this phase-I trial with a pre/post design assessed the clinical outcomes following the immediate loading (<48 hours) of 2 unsplinted implants supporting a mandibular overdenture. Periapical radiograhs, bone probing measurements and resonance frequency analysis were used to assess marginal bone losses and implant stability changes of these two implants inserted in the mandibular parasymphyseal region, at baseline (T0) and 4-month follow-up (T1). A non-submerged and non-loaded implant inserted in the mandibular symphysis was used as a control. Data were analyzed using linear mixed models, adjusted Tukey tests, Friedman’s analysis of variance and Wilcoxon signed-ranks tests. Results: From T0 to T1, 3 immediately loaded implants failed in 2 patients. This resulted in an implant survival rate of 91.7% (33/36), and, per patient, of 88.9% (16/18). No control implant failed. The marginal bone losses around loaded implants were -0.2 ± 0.3 mm for radiographic measurements and -0.5 ± 0.6 mm for probing measurements. There was no statistically significant difference between immediately loaded and control implants in regard to the supporting marginal bone losses. The implant stability levels increased of 5 ISQ units regardless of loading. There was no statistically significant difference in the mean ISQ levels between immediately loaded and control implants at T0 or T1. Five out of 18 patients experienced no clinical complication, while 9 of them had at least two. Apart from implant failures, none of these clinical complications led to changes in the protocol. Conclusion: The short-term results suggest that: (1) the implant survival rate following the immediate protocol is similar to those reported during a conventional loading protocol, (2) marginal implant supporting bone and stability changes are not different compared to those of a control implant, (3) a high level of clinical and surgical experience is required to perform the procedures and to manage the associated complications. These preliminary results should be confirmed in a phase II clinical trial.
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Soil organic carbon (SOC) now and in the future. Effect of soil characteristics and agricultural management on SOC and model initialisation methods using recent SOC data / Le carbone du sol maintenant et dans le futur. Impact de gestion agricole et importance de l'initialisation des modèles

Nemoto, Rie 19 December 2013 (has links)
La concentration de Carbone organique de sol (COS) et les émissions de gaz à effet de serre (GES) ne sont pas uniformes à travers l’espace, mais se regroupent en “hotspots” dans des endroits spécifiques. Ces différences s’expliquent principalement par les activités anthropiques telles que la gestion agricole. 40-50% de la surface de la Terre est utilisé par l’agriculture, par exemple les terres cultivées, les prairies gérées et cultures permanentes, y compris l’agro-foresterie et de bio-cultures énergétiques. En outre, 62% du carbone globale est COS, et le sol conserve plus que 3 fois plus de C que l’atmosphère. Ainsi, la séquestration du carbone dans les sols agricoles joue un rôle potentiellement important dans l’augmentation de stockage de COS et l’atténuation des GES, et il y a un intérêt considérable pour comprendre les effets de la gestion agricole sur le COS et les flux de GES aux prairies et terres cultivées, afin de mieux évaluer l’incertitude et la vulnérabilité des réservoirs de COS. Afin de découvrir les pratiques de gestion agricole qui contribuent à la séquestration efficace et durable du carbone aux terres agricoles en Europe, il est essentiel de simuler les stocks futurs de carbone terrestriel et les budgets de GES par rapport aux systèmes de gestion agricole variés sur les grands écosystèmes européens. Dans ce contexte, la modélisation est une méthode utile, et la modélisation a déjà été utilisée dans beaucoup d’études. Cependant beaucoup de résultats de la modélisation n’ont pas encore été validés avec les données mesurées sur l’horizon long-terme, et d’ailleurs d’autres études ont constaté un fort impact de l’initialisation du modèle sur le résultat du modèle. Néanmoins, la variabilité des prévisions annuelles et décennales concernant le C et le GES en Europe dépendent des résultats du modèle. Par conséquence, il est important de trouver la meilleure méthode d’initialisation des modèles pour obtenir des résultats des modèles fiables, notamment pour les modèles d’écosystèmes dits “process-based”. Au cours des dernières années, Zimmermann et al. (2007) a réussit à initialiser le modèle de Rothamsted carbone (RothC) en utilisant une méthode (physique et chimique) de fractionation des sols. Pour cette raison, j’ai fait l’hypothèse que les données COS détaillées seraient utiles pour initialiser des modèles d’écosystème, et que cette hypothèse doit être testée avec les modèles différents par rapport aux gestions agricoles différentes. Les buts de cette thèse sont les suivants: i) évaluation des influences des gestions agricoles sur le stockage de COS, en utilisant des approches expérimentales et des approches de modélisation; et ii) déterminer la meilleur méthode d’initialisation des modèles. (...) / Soil organic carbon (SOC) concentrations and greenhouse gas (GHG) emissions are not uniform across the landscape, but assemble in “hotspots” in specific areas. These differences are mainly driven by human-induced activities such as agricultural management. 40-50% of the Earth’s land surface is under agricultural land-use, for instance cropland, managed grassland and permanent crops including agro-forestry and bio-energy crops. Furthermore, 62% of the global soil C stock is SOC and the soil stores more than 3 times more C than the atmosphere. Thus, C sequestration in agricultural soil has a potentially important role in increasing SOC storage and GHG mitigation, and there is considerable interest in understanding the effects of agricultural management on SOC and GHG fluxes in both grasslands and croplands, in order to better assess the uncertainty and vulnerability of terrestrial SOC reservoirs. For the sake of discovering the agricultural management practices relating to the effective and sustainable C sequestration in agricultural lands in Europe, simulating future terrestrial C stocks and GHG budgets under varied agricultural management systems in major European ecosystems is essential. Using models is a useful method with the purpose of this and abundant studies have carried out. However, many model results have not been validated with reliable observed long-term data, while other studies have reported a strong impact of model initialisation on model result. Nevertheless, predictions of annual to decadal variability in the European terrestrial C and GHG ressources largely rely on model results. Consequently, finding the most appropriate and comprehensive model initialisation method for obtaining reliable model simulations became important, especially for process-based ecosystem models. In recent years, Zimmermann et al. (2007) have succeed in initialising the Rothamsted Carbon model (RothC) using a physical and chemical soil fractionation method. For that reason, we hypothesised that measured detailed SOC data would be useful to initialise ecosystem models, and this hypothesis should be tested for different process-based models and agricultural land-use and management. (...)
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La survie implantaire suite à une réhabilitation par mise en charge immédiate d’une prothèse totale mandibulaire reliée à deux implants non jumelés : une étude pilote expérimentale

Audy, Nicholas 04 1900 (has links)
Problématique : Les connaissances théoriques et pratiques au sujet de la mise en charge immédiate d’implants non jumelés chez les édentés sont limitées. Objectifs : Cette étude avait pour but de : (1) déterminer le taux de survie implantaire de 2 implants non jumelés supportant une prothèse totale mandibulaire suite à une mise en charge immédiate, (2) évaluer les changements des niveaux osseux et de stabilité implantaire survenus sur ces 2 implants durant une période de 4 mois et les comparer à un implant témoin, et (3) décrire les complications cliniques associées à ce mode de mise en charge. Méthodologie : Chez 18 individus édentés (âge moyen de 62±7 ans), cette étude de phase I avec un design pré/post a évalué les résultats cliniques suivant la mise en charge immédiate (<48 heures) de 2 implants non jumelés par une prothèse totale mandibulaire. À l’aide de radiographies périapicales, de sondages osseux et d’analyses de la fréquence en résonnance, les niveaux osseux péri-implantaires (en mm) et les niveaux de stabilité implantairte (en ISQ) de ces 2 implants insérés dans la région parasymphysaire ont été évalués à la chirurgie (T0) et au suivi de 4 mois (T1). Un implant non submergé et sans mise en charge inséré dans la région de la symphyse mandibulaire a été utilisé comme témoin. Les données ont été analysées avec des modèles mixtes linéaires, la méthode de Tukey ajustée, l’analyse de variance de Friedman et des tests de rang signés de Wilcoxon. Résultats : De T0 à T1, 3 implants mis en charge immédiatement ont échoué chez 2 patients. Le taux de survie implantaire obtenu était donc de 91,7% (33/36) et, par patient, de 88,9% (16/18). Aucun implant témoin n’a échoué. Les changements osseux documentés radiologiquement et par sondage autour des implants mis en charge immédiatement étaient, respectivement, de -0,2 ± 0,3 mm et de -0,5 ± 0,6 mm. Les pertes d’os de support implantaire n’ont pas été démontrées statistiquement différentes entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins. Les niveaux moyens de stabilité implantaire ont augmenté de 5 ISQ indépendamment de la mise en charge. Les niveaux moyens d’ISQ n’ont pas été démontrés statistiquement différents entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins à T0 ou T1. Cinq des 18 patients n’ont expérimenté aucune complication clinique, alors que 9 en ont eu au moins deux. Hormis les échecs implantaires, aucune de ces complications n’a entraîné de changements au protocole. Conclusion : Les résultats à court terme suggèrent que : (1) le taux de survie implantaire suite au protocole immédiat est similaire à ceux rapportés lors d’un protocole de mise en charge conventionnel (2) les changements d’os de support implantaire et de stabilité ne sont pas différents comparativement à ceux d’un implant témoin, (3) un niveau élevé d’expérience clinique et chirurgicale est requis pour effectuer les procédures et pour gérer les complications associées. Ces résultats préliminaires devraient être confirmés dans une étude clinique de phase II. / Problem: There is a theoretical and practice knowledge gap in regard to immediate loading of unsplinted implants in edentulous individuals. Objectives: This study aimed to: (1) determine the implant survival rate of 2 unsplinted implants supporting a mandibular complete overdenture following an immediate loading protocol, (2) assess marginal bone level and implant stability changes of these immediately loaded implants in a 4-month period and compared them to a control implant, and (3) describe the clinical complications associated with this mode of loading. Methods: In 18 edentate individuals (mean age 62±7 years), this phase-I trial with a pre/post design assessed the clinical outcomes following the immediate loading (<48 hours) of 2 unsplinted implants supporting a mandibular overdenture. Periapical radiograhs, bone probing measurements and resonance frequency analysis were used to assess marginal bone losses and implant stability changes of these two implants inserted in the mandibular parasymphyseal region, at baseline (T0) and 4-month follow-up (T1). A non-submerged and non-loaded implant inserted in the mandibular symphysis was used as a control. Data were analyzed using linear mixed models, adjusted Tukey tests, Friedman’s analysis of variance and Wilcoxon signed-ranks tests. Results: From T0 to T1, 3 immediately loaded implants failed in 2 patients. This resulted in an implant survival rate of 91.7% (33/36), and, per patient, of 88.9% (16/18). No control implant failed. The marginal bone losses around loaded implants were -0.2 ± 0.3 mm for radiographic measurements and -0.5 ± 0.6 mm for probing measurements. There was no statistically significant difference between immediately loaded and control implants in regard to the supporting marginal bone losses. The implant stability levels increased of 5 ISQ units regardless of loading. There was no statistically significant difference in the mean ISQ levels between immediately loaded and control implants at T0 or T1. Five out of 18 patients experienced no clinical complication, while 9 of them had at least two. Apart from implant failures, none of these clinical complications led to changes in the protocol. Conclusion: The short-term results suggest that: (1) the implant survival rate following the immediate protocol is similar to those reported during a conventional loading protocol, (2) marginal implant supporting bone and stability changes are not different compared to those of a control implant, (3) a high level of clinical and surgical experience is required to perform the procedures and to manage the associated complications. These preliminary results should be confirmed in a phase II clinical trial.

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