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Le Kwansai étude géomorphologique d'une région japonaise ...

Ruellan, F. January 1940 (has links)
These--Universit́e de Paris. / "Bibliographie": p. [739]-801.
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”Metcha suki ya nen” : A sociolinguistic attitude survey concerning the Kansai dialect

Södergren, Susanne January 2014 (has links)
西日本にある関西弁はたくさん色々な形で標準語と異なる。関西弁は1970年代の後に、全国で人気を得た。この社会言語学の研究の目的は現在の関西弁に対する感情を調査することである。これは関西弁の話し手ではなくて日本語の母語話者に配ったアンケートで調査された。質的また量的な分析である。結果は一般的に関西弁に好意的であったが、人気がある理由もいろいろあり、それらをさぐるために歴史的なそして文化的な見方を通して議論する。
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To Evaluate and Study the relationship between employees’ commitment and individual performance : A Quantitative Approach- Case Study of Kansai Paints

Adnan, Sonia, Nhaily, Abir, Wang, Hongyu January 2018 (has links)
Nowadays the companies want to make sure that they have strong resources that can face the rapid changes in the environment. One of the most important resources is human resources. The interest of the companies to have committed employees have been increased because there is a big difference between the performance of committed employees and the rest of the employees. Committed employees perform well in the organization and help the organization to grow and face the competitive environment. Based on this, this research aims to evaluate and study the relationship between organizational commitment and individual performance.To do this one of the Multinational corporation(MNC) is selected, this MNC is the Japanese company Kansai Paint who has one subsidiary in Pakistan. The theoretical model of this study was formulated based on one dependent variable which is the individual performance and three independent variables which are an affective commitment, continuance commitment and normative commitment.The data of the research was collected by questionnaires which sent to 100 employees on Kansai Paint in Pakistan, and SPSS testing was used to analyze the data. The finding of the study exposed that the affective commitment, continuance commitment and normative commitment have a positive impact on the individual performance. At the end of the research, the conclusion of the research was drawn and several of recommendations were developed.
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Chansons folk dans la région du Kansai : émergence et diffusion d’une nouvelle « voix » musicale et citoyenne dans le Japon des années 1960

Liotard, Sylvain 06 1900 (has links)
Le présent travail se veut une analyse des enjeux jalonnant le développement du courant musical appelé « folk du Kansai ». Apparu au milieu des années 1960, ce genre incarne avec vigueur la contestation sociale qui traverse les pays, en proposant notamment des titres anti-guerre comme l’émouvant « Betonamu no sora » [« Le Ciel du Vietnam »] de Takaishi Tomoya ou l’ironique « Jieitai ni hairô » [« Entrons dans les forces d’autodéfense »] de Takada Wataru. Pourtant, la thèse que nous portons désire montrer toute la richesse d’un courant musical qui a jusqu’à aujourd’hui été largement réduit à sa facette engagée. Si la folk du Kansai réclame haut et fort la remise en question d’une société jugée belligérante et structurellement inégalitaire, elle reflète également de profondes interrogations quant à la place de l’art dans le quotidien, au rôle de l’artiste au sein de la société, ainsi qu’au sens donné à une musique dite populaire, pourtant modelée par une industrie en place au Japon depuis plus de 40 ans. A travers la reconstitution du développement de la scène de la folk du Kansai de ses début en 1966 à sa disparition à l’orée des années 1970, ainsi qu’une analyse de son répertoire composé d’une centaine de titres, ce travail s’attache à démontrer comment les artistes du genre ont rendu musicalement et scéniquement concrète une profonde aspiration à une indépendance artistique, source à la fois d’expressions individuelles créatives et de regards citoyens sur le monde. / The present work proposes an analysis of the musical genre called “Kansai Folk”. Born in the mid-1960’s, this musical genre embodies the japanese social movement, expliciting for exemple strong anti-war feelings, as Takaishi Tomoya’s moving “Betonamu no sora” or Takada Wataru’s ironic “Jieitai ni hairô” illustrate it. However, our dissertation aims to show that the Kansai folk was more than political protest put in music. If its artists indeed wanted to firmly question a society judged belligerent and unequal, their work also reflected on other questions such as the place of art in the everyday life, the role of the artists in their society and the meaning of a so-called popular music that has been shaped by an industry existing in Japan since the end of the 1920’s. Throught the reconstitution of the development of the Kansai folk musical scene, from its beginning in 1966 to its disparition in 1970, and an analysis of the hundred of tunes composing its repertoire, this works aims to show how these ambitious artists made real their aspiration toward a scenic independence, used as a musical plateforme to imagine and perform creative self-expressions and citizen’s critical views.
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Changement identitaire et revendications régionalistes du Kansaï au Japon

Kanzaki, Sachiyo 10 1900 (has links)
Depuis quelque temps, au Japon, on utilise de plus en plus le terme « Kansaï » pour désigner la région du Kinki (littéralement « le voisinage de la capitale »). Cette thèse propose d’analyser l’émergence de cette entité régionale et de son discours culturel dans le but de pallier le manque de recherches antérieures sur la diversité socioculturelle et le régionalisme au Japon. Il y existe, d’une part, une volonté de considérer le Japon comme une entité homogène, et d’autre part, un contexte dans lequel le Japon lui-même prône l’homogénéité de son peuple. Historiquement, ces énoncés ont été réfutés à plusieurs reprises par différents chercheurs et organismes. Entre-temps, sur le plan régional, la diversité devient de moins en moins clairement observable dû à l’urbanisation, aux moyens de transport, à la migration interne et au développement des médias de masse. Cette situation à l'époque post-industrielle a engendré aujourd’hui le discours régionaliste du Kansaï. Dans ce contexte, cette étude porte spécifiquement sur le discours culturel concernant la région et la population du Kansaï, c’est-à-dire la région Kinki, où étaient situés les anciennes capitales et le berceau de l’État japonais du Yamato. On observe une modification et une transformation de cette région depuis l’époque Tokugawa. À partir de l’époque Meiji, l'intégration spatiale de l’archipel japonais est devenue indissociable de l’émergence de l’État soi-disant « moderne ». En outre, une distinction existe toujours entre le Japon de l’Ouest (Kansaï) et le Japon de l’Est (Kantō) qui repose sur des différences de coutumes et de mentalités, ainsi que sur des variations linguistiques : une dichotomie mieux représentée de nos jours par l’opposition entre les villes d’Osaka et de Tokyo. Aujourd’hui, le Japon permettre une centralisation continuelle à Tokyo et l’équilibre du pouvoir sur le plan économique s’en trouve fragilisé. Dans cette thèse, j’examine l’émergence de l’entité Kansaï dans ce contexte socio-économique, depuis l’arrivée du phénomène que les Kansaïens appellent « l’affaissement de terrain » du Kansaï, le jibanchinka, jusqu’aux revendications récentes pour l’introduction d’un système quasi-fédéraliste, le dōshū-sei, dans le contexte du développement régional déséquilibré du pays. En m'appuyant sur mon enquête effectuée sur terrain auprès des gens du Kansaï, je soutiens que leur discours régionaliste est bel et bien existant, mais ne repose pas sur l’homogénéité de la région. Il repose plutôt sur la position du Kansaï en tant qu’antithèse à la tendance centralisatrice perçue par les Kansaïens comme étant plutôt de nature tokyoïte. Leur discours met l’accent sur la diversité existant à l’intérieur même de la région tout en soulignant que celle-ci constitue l’entité kansaïenne. Mots-clés : Japon, Kinki, Kansai, Osaka, Nihonjinron, région, villes, discours culturel, État-nation, multiculturalisme, Oda Sakunosuke, Tanizaki Jun’ichiro. / In recent times, we hear more and more the word "Kansai" to designate the Japanese region of Kinki (literally ‘the neighborhood of the capital’). This thesis proposes to analyze the emergence of this regional entity and its cultural discourse to compensate for the lack of previous research on the socio-cultural variety and the regionalism of Japan. In the current situation, on one hand, some wish to consider Japan as a homogenous entity, and on the other hand, Japan it-self considers its people as homogenous. Historically, these views were refuted several times by researchers and organisms. In the meantime, the regional variation becomes less and less clearly observable because of the urbanization, the progress made in transportation systems, the internal migration and the development of mass media. It is in this post-industrial era however that the regionalist discourse of Kansaï emerged. In this context, this study focuses on the cultural discourse regarding the region and the people of Kansai, that is the Kinki region, where were situated the old capitals and the cradle of the Yamato state, and on which one observes an alteration and a transformation of its description starting at the Tokugawa era. Since Meiji era, the spatial integration of the Japanese archipelago has become inseparable from the emergence of the so-called "modern" state. In addition, a division between Western Japan (Kansai) and Eastern Japan continues to exist for their differences in customs, linguistic variations and mentality: a dichotomy better represented by the current opposition between the cities of Osaka and Tokyo. Today, Japan experiences a continual centralization around Tokyo and the balance of power on the economic level is being undermined. I examine the emergence of the Kansai entity by analyzing its economic and social context, from the arrival of the phenomenon the Kansaï people call jibanchinka (the "land subsidence" of Kansaï) until the recent demands for the introduction of a quasi-federalism system called dōshū-sei in the context of unbalanced regional development of Japan. Resting on my investigation carried out in Kansai, I argue that their regionalist aspiration exists, but does not stand for the homogeneity of the region as a whole. Rather, they ground on its position as an antithesis to the centralizing approach they perceive as being rather Tokyoite in nature. Their discourse inevitably emphasizes the variety existing within the region itself, while underlining the fact that this is what constitutes the Kansai.
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Changement identitaire et revendications régionalistes du Kansaï au Japon

Kanzaki, Sachiyo 10 1900 (has links)
Depuis quelque temps, au Japon, on utilise de plus en plus le terme « Kansaï » pour désigner la région du Kinki (littéralement « le voisinage de la capitale »). Cette thèse propose d’analyser l’émergence de cette entité régionale et de son discours culturel dans le but de pallier le manque de recherches antérieures sur la diversité socioculturelle et le régionalisme au Japon. Il y existe, d’une part, une volonté de considérer le Japon comme une entité homogène, et d’autre part, un contexte dans lequel le Japon lui-même prône l’homogénéité de son peuple. Historiquement, ces énoncés ont été réfutés à plusieurs reprises par différents chercheurs et organismes. Entre-temps, sur le plan régional, la diversité devient de moins en moins clairement observable dû à l’urbanisation, aux moyens de transport, à la migration interne et au développement des médias de masse. Cette situation à l'époque post-industrielle a engendré aujourd’hui le discours régionaliste du Kansaï. Dans ce contexte, cette étude porte spécifiquement sur le discours culturel concernant la région et la population du Kansaï, c’est-à-dire la région Kinki, où étaient situés les anciennes capitales et le berceau de l’État japonais du Yamato. On observe une modification et une transformation de cette région depuis l’époque Tokugawa. À partir de l’époque Meiji, l'intégration spatiale de l’archipel japonais est devenue indissociable de l’émergence de l’État soi-disant « moderne ». En outre, une distinction existe toujours entre le Japon de l’Ouest (Kansaï) et le Japon de l’Est (Kantō) qui repose sur des différences de coutumes et de mentalités, ainsi que sur des variations linguistiques : une dichotomie mieux représentée de nos jours par l’opposition entre les villes d’Osaka et de Tokyo. Aujourd’hui, le Japon permettre une centralisation continuelle à Tokyo et l’équilibre du pouvoir sur le plan économique s’en trouve fragilisé. Dans cette thèse, j’examine l’émergence de l’entité Kansaï dans ce contexte socio-économique, depuis l’arrivée du phénomène que les Kansaïens appellent « l’affaissement de terrain » du Kansaï, le jibanchinka, jusqu’aux revendications récentes pour l’introduction d’un système quasi-fédéraliste, le dōshū-sei, dans le contexte du développement régional déséquilibré du pays. En m'appuyant sur mon enquête effectuée sur terrain auprès des gens du Kansaï, je soutiens que leur discours régionaliste est bel et bien existant, mais ne repose pas sur l’homogénéité de la région. Il repose plutôt sur la position du Kansaï en tant qu’antithèse à la tendance centralisatrice perçue par les Kansaïens comme étant plutôt de nature tokyoïte. Leur discours met l’accent sur la diversité existant à l’intérieur même de la région tout en soulignant que celle-ci constitue l’entité kansaïenne. Mots-clés : Japon, Kinki, Kansai, Osaka, Nihonjinron, région, villes, discours culturel, État-nation, multiculturalisme, Oda Sakunosuke, Tanizaki Jun’ichiro. / In recent times, we hear more and more the word "Kansai" to designate the Japanese region of Kinki (literally ‘the neighborhood of the capital’). This thesis proposes to analyze the emergence of this regional entity and its cultural discourse to compensate for the lack of previous research on the socio-cultural variety and the regionalism of Japan. In the current situation, on one hand, some wish to consider Japan as a homogenous entity, and on the other hand, Japan it-self considers its people as homogenous. Historically, these views were refuted several times by researchers and organisms. In the meantime, the regional variation becomes less and less clearly observable because of the urbanization, the progress made in transportation systems, the internal migration and the development of mass media. It is in this post-industrial era however that the regionalist discourse of Kansaï emerged. In this context, this study focuses on the cultural discourse regarding the region and the people of Kansai, that is the Kinki region, where were situated the old capitals and the cradle of the Yamato state, and on which one observes an alteration and a transformation of its description starting at the Tokugawa era. Since Meiji era, the spatial integration of the Japanese archipelago has become inseparable from the emergence of the so-called "modern" state. In addition, a division between Western Japan (Kansai) and Eastern Japan continues to exist for their differences in customs, linguistic variations and mentality: a dichotomy better represented by the current opposition between the cities of Osaka and Tokyo. Today, Japan experiences a continual centralization around Tokyo and the balance of power on the economic level is being undermined. I examine the emergence of the Kansai entity by analyzing its economic and social context, from the arrival of the phenomenon the Kansaï people call jibanchinka (the "land subsidence" of Kansaï) until the recent demands for the introduction of a quasi-federalism system called dōshū-sei in the context of unbalanced regional development of Japan. Resting on my investigation carried out in Kansai, I argue that their regionalist aspiration exists, but does not stand for the homogeneity of the region as a whole. Rather, they ground on its position as an antithesis to the centralizing approach they perceive as being rather Tokyoite in nature. Their discourse inevitably emphasizes the variety existing within the region itself, while underlining the fact that this is what constitutes the Kansai.
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What /r/ sounds like in Kansai Japanese: a phonetic investigation of liquid variation in unscripted discourse

Magnuson, Thomas Judd 27 April 2009 (has links)
Unlike Canadian English which has two liquid consonant phonemes, /ɹ, l/ (as in right and light), Japanese is said to have a single liquid phoneme whose realization varies widely both among speakers and within the speech of individuals. Although variants of the /r/ sound in Japanese have been described as flaps, laterals, and weak plosives, research that has sought to quantitatively describe this phonetic variation has not yet been carried out. The aim of this thesis is to provide such quantification based on 1,535 instances of /r/ spoken by four individuals whose near-natural, unscripted conversations had been recorded as part of a larger corpus of unscripted Japanese maintained by Dr. Nick Campbell of Advanced Telecommunications Research Institute International (ATR), Kyoto, Japan. Tokens of /r/ were extracted from 30-minute conversations between one pair of male speakers and one pair of female speakers. Each token was narrowly transcribed into the International Phonetic Alphabet, then categorized based on the author’s perception of: 1) the strength/narrowness of central oral articulatory stricture, and 2) the presence or absence of an auditory-perceptual lateral and/or rhotic sound quality. Transcription and category frequencies for each speaker averaged across all environments were then compared with frequencies in specific phonological environments to ascertain whether a particular environment was amenable to a ‘drift’ towards any particular category of variant, and whether patterns of ‘drift’ applied to all speakers or varied on an individual basis. Transcriptions of the 1,535 tokens of /r/ ranged widely among lateral and non-lateral flaps, raised (i.e. increased articulatory contact) non-lateral flaps akin to light voiced plosives (e.g. Hattori 1951, Kawakami 1977), as well as lateral approximants and rhotic approximants. While two of the four speakers, both males, patterned similarly by dividing their productions of /r/ chiefly among short lateral approximants and rhotic approximants, each speaker did vary considerably in their choice of variants in any given environment. Drift is considered in terms of physiological parameters which may be optionally exploited to maintain phonological salience.

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