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L'épidémie au-delà du discours médical : exploration du cadrage de la presse canadienne francophone de l'épidémie de Zika de 2016

Khouiyi, Al Hassania January 2020 (has links) (PDF)
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La médicalisation : concept, phénomène et processus : émergence, diffusion et reconfigurations des usages du terme médicalisation dans la littérature sociologique

Nader, Mélissa 10 1900 (has links) (PDF)
Les sociétés occidentales ont subi de profondes transformations depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et le champ de la santé n'y fait pas exception alors que ces sociétés doivent désormais répondre à des problématiques, aspirations et exigences auxquelles elles n'avaient jusqu'alors jamais été confrontées (Ewald, 1986; Guest, 1993, Bairoch, 1997; Ornran, 2005; Judt, 2007). Ce contexte d'après-guerre a fortement contribué à l'émergence du terme médicalisation dans la littérature sociologique à la fin des années 1960. Deux objectifs ont guidé notre démarche de recherche : clarifier, d'une part, les multiples significations mobilisées par le terme médicalisation et les transformations qu'elles ont subies, et saisir, d'autre part les différents cadres sociologiques qui investissent le champ sémantique de ce terme depuis son émergence dans le vocabulaire sociologique il y a maintenant quarante ans. Pour ce faire, nous avons analysé 96 ouvrages à caractère sociologique (livres, articles, éditoriaux, etc.) dont le propos était consacré en totalité ou en majeure partie à la compréhension des significations associées au terme médicalisation. Les ouvrages retenus ont tous été publiés entre 1968 et 2009 et devaient avoir été rédigés en français ou en anglais. L'exploration du champ sémantique du terme médicalisation nous a permis de constater, dans un premier temps, sa grande complexité et polysémie alors que le terme médicalisation fait à la fois ou alternativement référence à un processus et à un phénomène social tout autant qu'à un concept sociologique. Aussi, nous avons remarqué la prédominance d'une perspective critique largement véhiculée par plusieurs sociologues, notamment de la première génération, alors que plusieurs d'entres eux ont dépeint la médicalisation comme le résultat d'une colonisation constante de la profession médicale sur l'ensemble de la population vers laquelle elle oriente ses interventions (Zola, 1972; Illich, 1975; Conrad et Schneider, 1980; Gori et Del Volgo, 2004; Sanni Yaya, 2009). Inspirés par des approches constructiviste, marxiste et foucaldienne, nombreux sont les auteurs qui ont interprété la médicalisation à la lumière des processus sociaux et normatifs, et des mécanismes de contrôle social. Mettant l'accent sur le caractère contraignant, voire totalitaire, de la médecine, ces approches ont dénoncé la reconfiguration pathologique des réalités individuelles et collectives qui s'opérationnalise à travers notamment la création de maladies, l'expansion du champ de compétence de la médecine, la pathologisation généralisée de la vie et l'utopisation de la santé (Fox, 1977; Colucci, 2006; Szarsz, 2007). Si de nombreux sociologues défendent encore aujourd'hui une position fortement critique de la médicalisation, notre analyse nous a permis de constater la diversification des approches proposées. Des changements contextuels majeurs, tels que la démocratisation des informations relatives à la santé, les innovations biotechnologiques et le développement d'un complexe pharmaco-industriel, ont contribué à repositionner les forces mobilisées dans la médicalisation du social (Conrad, 2007). Par ailleurs, on assiste à l'apparition d'une nouvelle figure sur l'échiquier de la médicalisation, soit celle du patient. Partenaires dans les décisions thérapeutiques qui les concernent et consommateurs de produits et de services de santé, les patients exercent une grande influence sur ce qui peut ou doit être médicalisé, d'autant plus qu'ils sont mieux informés que jamais sur les plus récentes découvertes scientifiques, les diagnostics possibles et les traitements disponibles (Panese et Barras, 2009). Sans nier la présence d'imposants dispositifs de pouvoir, de structures et de normes sociales, nous avons pu constater que plusieurs auteurs ont envisagé la médicalisation entres autres à travers l'étude de l'action, des interactions sociales et des stratégies, faisant par le fait même appel à des référents théoriques inspirés de l'approche interactionniste, de l'individualisme méthodologique et des propositions de Giddens et Beek notamment (Riessman, 1983; Nye, 2003; Ballard et Elston, 2005; Furedi, 2006). À 1' issu de cet exercice de clarification du champ sémantique et de repérage des racines intellectuelles du terme médicalisation, nous avons dégagé trois phases de développement de ce terme, c'est-à-dire des phases d'émergence, de croissance et de reconfiguration. Par ailleurs, cette dernière phase nous a amenés, à l'instar de plusieurs auteurs, à souhaiter penser autrement le terme médicalisation (Fassin, 1998; Panese et Barras, 2009). Les travaux de Danilo Martuccelli (2005) sur les consistances du social et le caractère ontologiquement élastique de la vie sociale nous semble avoir la souplesse nécessaire pour jeter un éclairage contemporain sur les significations, mécanismes et enjeux de la médicalisation, entrevue à la fois comme un processus, un phénomène social et un concept sociologique. La mise en perspective de la complexité notamment des mécanismes de la médicalisation et de la diversité des acteurs impliqués devrait être mise à profit pour empêcher la cristallisation de cette expression et son utilisation doublement idéologique (apologique et apologétique), et révéler les dynamiques d'assujettissement et de subjectivation auxquelles elle contribue nécessairement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : médicalisation, santé, pathologisation, utopisation de la santé, action, structures sociales
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La quantification de la recherche scientifique et ses enjeux : bases de données, indicateurs et cartographie des données bibliométriques / The quantification of scientific research and its challenges : databases, indicators and bibliometric networks

Maddi, Abdelghani 03 December 2018 (has links)
La question de la productivité et de la « qualité » de la recherche scientifique est l’une des problématiques centrales du monde économique et social du 21e siècle. Car la recherche scientifique, source d’innovations dans tous les domaines, est considérée comme la clé du développement économique et de compétitivité. La science doit également contribuer aux défis sociétaux définis dans les programmes cadre européens (H2020) par exemple, tels que la santé, la démographie et le bien-être. Afin de rationaliser les dépenses publiques de recherche et d’innovation ou encore orienter les stratégies d’investissement des bailleurs de fonds, plusieurs indicateurs ce sont développés pour mesurer les performances des entités de recherche. Désormais, nul ne peut échapper à l’évaluation, à commencer par les articles de recherche, en passant par les chercheurs, jusqu’aux institutions et aux pays (Pansu, 2013, Gingras, 2016). Faute de manque de recul méthodologique, les indicateurs quantitatifs sont parfois mal utilisés en négligeant tous les aspects liés à leur méthode de calcul/normalisation, ce qu’ils représentent ou encore les insuffisances des bases de données à partir desquelles ils sont calculés. Cette situation risque d’avoir des conséquences désastreuses sur le plan scientifique et social. Notre travail envisage d’examiner les outils de la bibliométrie évaluative (indicateurs et bases de données) afin de mesurer les enjeux liés à l’évaluation quantitative des performances scientifiques. Nous montrons au travers de cette recherche que les indicateurs quantitatifs, ne peuvent jamais être utilisés à eux seuls pour mesurer la qualité des entités de recherche étant donnée les disparités des résultats selon les périmètres d’analyse, les problèmes ex-ante liés aux caractéristiques individuelles des chercheurs qui affectent directement les indicateurs quantitatifs, ou encore les insuffisances des bases de données à partir desquelles ils sont calculés. Pour une évaluation responsable, il est impératif d’accompagner les mesures quantitatives par une appréciation qualitative des pairs. Par ailleurs, nous avons également examiné l’efficacité des mesures quantitatives pour des fins de compréhension de l’évolution des sciences et la formation des communautés scientifiques. Notre analyse appliquée sur un corpus de publications traitant la thématique de la crise économique nous a permis de montrer à la fois les auteurs et courants de pensée dominants, ainsi que l’évolution temporelle des termes utilisés dans cette thématique. / The issue of productivity and the "quality" of scientific research is one of the central issues of the 21st century in the economic and social world. Scientific research, source of innovation in all fields, is considered the key to economic development and competitiveness. Science must also contribute to the societal challenges defined in the Framework Programmes for Research and Technological Development (H2020) for example, such as health, demography and well-being. In order to rationalize public spending on research and innovation or to guide the investment strategies of funders, several indicators are developed to measure the performance of research entities. Now, no one can escape evaluation, starting with research articles, researchers, institutions and countries (Pansu, 2013, Gingras, 2016). For lack of methodological comprehension, quantitative indicators are sometimes misused by neglecting the aspects related to their method of calculation / normalization, what they represent or the inadequacies of the databases from which they are calculated. This situation may have disastrous scientific and social consequences. Our work plans to examine the tools of evaluative bibliometrics (indicators and databases) in order to measure the issues related to the quantitative evaluation of scientific performances. We show through this research that the quantitative indicators, can never be used alone to measure the quality of the research entities given the disparities of the results according to the analysis perimeters, the ex-ante problems related to the individual characteristics of researchers who directly affect the quantitative indicators, or the shortcomings of the databases from which they are calculated. For a responsible evaluation, it is imperative to accompany the quantitative measures by a qualitative assessment of the peers. In addition, we also examined the effectiveness of quantitative measures for the purpose of understanding the evolution of science and the formation of scientific communities. Our analysis, applied to a corpus of publications dealing the economic crisis, allowed us to show the dominant authors and currents of thought, as well as the temporal evolution of the terms used in this thematic.

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