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Liturgy, Eucharist, and Holy Spirit : pneumatology in the Anglican liturgical tradition from the 16th to the 20th centuries

Dunlap, Daniel K. January 2000 (has links)
No description available.
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With angels and archangels : the background, form and function of the sanctus in the eucharistic prayer

Spinks, Bryan D. January 1988 (has links)
The origin of the sanctus as a constituent element in the eucharistic prayer is one of the unsolved mysteries of Christian liturgy. In a Prolegomena, certain specific older theories are rejected. The use of the qeduasah in Judaism, from its biblical setting to its use in Jewish liturgy and mysticism is examined, and the continuity of these usages in Christian non-eucharlstic contexts is illustrated. From this wider background, the study examines the setting and function of the sanctus in the anaphoras of East and West to the seventh century, showing that the earliest attestations and the most logical use of the sanctus both originate in Syria and Palestine. In the peculiar Egyptian anaphoral family, it is used within Intercessions, and at Rome it appears to be a late fourth century addition, which was never given a logical setting in the canon missae. Possible origins are the Jewish Synagogue berakot, the Jewish mystical tradition, or some biblically-minded celebrants. But these possible origins are better accounted for when a variety of models for early eucharistic prayers is accepted, rather than the single model of the Birkat ha-mazon. The development of the sanctus in later Eastern and Western traditions is examined, noting the proliferation of angelological speculation in West Syria, the innovatory uses of Luther and Cranmer, and the interesting nineteenth century Reformed usage. In modern anaphoral composition it appears to be a sine qua non. Finally, the sanctus is examined in a wider theological context, defending a variety of logical doxological usages, with more than one position in the anaphora, and possibly wider variations of the biblical/liturgical form.
3

Paradigmatic prayer-formulae in the early Irish church

O Dochartaigh, Caitriona January 1999 (has links)
No description available.
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Types, metaphors and symbols for baptism in the catechetical, artistic and liturgical genres of the early Church : a literary-aesthetic approach to the study of typology in early Christian hermeneutics

Lindsay, Karen Martin January 1999 (has links)
In the historico-critical paradigm typology was defined in terms of prefiguration and identified with corresponding events in `salvation history. ' In contrast, Frances Young identifies typology as a hermeneutic which has its roots in the literary structure of texts. The object of this thesis is to explore the phenomenon of typology within the hermeneutics of the early Church and to assess typology's contribution to the formation of Christian identity and culture. The thesis proposes an integrated approach to the study of type, metaphor and symbol across literary and aesthetic genres, and within a limited context, i. e., Christian initiation. The introduction to the thesis surveys typology within the historical and literary paradigms. Section one considers varied uses of typology in the catechetical homilies of the Fathers. Section two looks at typology in the artistic programmes of some early Christian baptisteries. Section three surveys uses of typology in some prayers of early baptismal liturgies. By redefining typology in terms of mimesis, multi-valence and multi-culturalism we are able to demonstrate the way in which early Christians forged imaginative links between their own worshipping community and the world of Scripture, through typology.
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L'encens et le luminaire dans le haut Moyen Age occidental. Liturgie et pratiques dévotionnelles/Incense and lighting in high Middle Ages. Liturgy and devotional uses.

Gauthier, Catherine 13 May 2008 (has links)
Cette recherche étudie l'importance de la liturgie et de la paraliturgie dans la société médiévale par le biais des utilisations et de la symbolique de l'encens et du luminaire dans la liturgie romano-gallicane (VIe-Xe s.)et dans les pratiques dévotionnelles du haut Moyen Age occidental. L’importance de l’Église dans tous les aspects de la vie au Moyen Âge est indéniable. Pourtant l’on connaît encore mal la place qu’y occupe la liturgie ; or, la liturgie est au cœur de l’Église puisque elle est définie comme l’ensemble des rites et principes mis en place par une religion – ici chrétienne – pour établir le déroulement des actes cultuels et de la relation au sacré. Elle est dès lors fondamentale à une époque où la majorité du corps social se reconnaît comme chrétien, elle est l’expression de la religion et rythme toute la société médiévale. Depuis plusieurs années, elle suscite l’intérêt justifié de quelques médiévistes. Ceux-ci ont souligné l’importance de considérer la liturgie dans sa globalité, c'est-à-dire de dépasser la simple étude des livres liturgiques pour s’intéresser également à la façon dont la liturgie était perçue, reçue et vécue par les fidèles notamment au travers de leurs pratiques dévotionnelles, c’est ce que l’on appelle la paraliturgie. La liturgie se caractérise par la récurrence des rites qui sont des suites ordonnées de gestes, de sons, d’objets mis en œuvre par un groupe social à des fins symboliques. À ce titre, l’étude des éléments constitutifs de la liturgie se justifie pleinement, puisque le rite ne s’accomplit et n’est efficace que dans la permanence de tous ses éléments. L’encens et le luminaire ont ceci de particulier que leurs fonctions utilitaires, pour éclairer et désodoriser, les rendent indispensables à la liturgie. Par ailleurs, le propre du rituel est de donner sens, or, l’encens et le luminaire, par leurs propriétés naturelles se sont vus conférer un sens symbolique dans toutes les cultures où ils sont utilisés. Ce sont des éléments bénéfiques utilisés particulièrement dans la religion car ils permettent de matérialiser la communication entre le monde terrestre et le monde céleste. Toutefois, dans la religion chrétienne, l’encens et le luminaire ont un statut inférieur ou secondaire par rapport au calice ou à l’hostie par exemple. L’ensemble de ces caractéristiques augurait de l’existence d’un rapport particulier entre ces objets et le fidèle ; leur étude constitue dès lors un outil efficace pour connaître l’impact de la liturgie sur la société médiévale. Sans compter que l’étude des éléments constitutifs de la liturgie n’en est qu’à ses débuts, et si le luminaire a suscité quelques publications récentes, l’encens n’a que peu été abordé ; l’étude de leur couple est, en tous les cas, inédite. Par ailleurs, l’étude de l’encens et du luminaire s’inscrit dans des débats historiographiques plus larges notamment celui des relations commerciales, puisque l’encens est un produit oriental et l’huile d’olive méditerranéen, ce qui en renforce encore l’intérêt. Pour connaître les utilisations de l’encens et du luminaire dans la liturgie, préalables indispensablse à la connaissance de leurs emplois dans la paraliturgie, il faut se tourner vers les sources liturgiques ce qui consitute la première partie du travail. L’analyse de ces différentes sources liturgiques a permis de mettre en évidence les usages officiels et les symboliques donnés à l’encens et au luminaire dans les différents rituels de la liturgie romano-gallicane (la messe, la liturgie pascale, la dédicace, l’office divin, le temps de Noël, les funérailles et les rituels d’admission). En définitive, l’encens et luminaire sont des médiateurs entre le monde terrestre et le monde céleste, ils matérialisent et réifient ce lien réciproque. Ils ont un caractère propitiatoire important, intimement lié à leurs vertus apotropaïques et basé sur leurs propriétés naturelles. Les sources liturgiques ne fournissent pas d’information sur le fonctionnement de l’encens et du luminaire, sur leur économie ou sur la façon dont ils étaient utilisés par les fidèles pour manifester leur dévotion ; même si elles laissent entrevoir de riches possibilités. Le champ des recherches à été élargi par l'étude de « dossiers ». Les recherches ont été focalisées autour de centres religieux bien connus dans l’historiographie grâce à des sources remarquables par leur qualité et/ou leur quantité qui ont suscité une bibliographie conséquente. Toutes les sources relatives au centre religieux ont ensuite été dépouillées et analysées systématiquement. Les dossiers de Tours,Reims, Auxerre et Saint-Riquier ont livré beaucoup d’éléments tant sur les questions de la fourniture et du fonctionnement que sur celles des pratiques dévotionnelles liées au luminaire. Les sources "non-liturgiques" de ces quatre dossiers ont ainsi révélé des pratiques communes pour assurer l’approvisionnement en luminaire, qui constitue une dépense importante. L’approvisionnement en encens est plus difficile à déceler. Les sources non-liturgiques, en particulier les récits hagiographiques, apportent de la densité et de l’atmosphère aux sources liturgiques particulièrement froides et factuelles. Elles donnent incidemment des informations sur la forme et le fonctionnement du luminaire principalement, et elles complètent et corroborent les éléments de la première partie. Les éléments concernant le culte des saints sont nombreux. Les pratiques dévotionnelles relevées (culte des saints, donations pour le luminaire, offrandes de cierges, utilisations apotropaïque du luminaire et de l'encens, etc.) témoignent donc que les symboliques du cierge, plus largement du luminaire, et de l'encens sont communes aux pratiques liturgiques et dévotionnelles. Le travail montre que la cire, l’huile et l’encens sont utilisés de façon régulière par les églises et qu’ils étaient disponibles sur les marchés locaux pour les ecclésiastiques. Il faut vraisemblablement distinguer plusieurs niveaux de qualité conditionnant l’utilisation de ces matières. L’encens et le luminaire sont des outils pertinents pour apprécier la façon dont la liturgie était vécue dans la société médiévale, notamment grâce à leurs usages dans les pratiques paraliturgiques.
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The theological implications of recent liturgical revision in the Church of Ireland

Kennedy, M. C. January 1987 (has links)
No description available.
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The Eucharistic theology of Nicholas Cabasilas

Mantovanis, P. C. January 1984 (has links)
No description available.
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The secular liturgical office in late medieval England

Cheung Salisbury, Matthew R. January 2014 (has links)
This thesis challenges existing preconceptions about the textual uniformity of the late medieval English Office liturgy. The received narrative is that all breviaries of the same liturgical Use are in large part identical. This study demonstrates that all complete, surviving manuscript breviaries and antiphonals of each secular liturgical Use of medieval England (dating from s.xiii – s.xvi) do share a common textual ‘fingerprint’ particular to each Use. But this is in large part restricted to the proper texts of universal or popular observances. Other features of these service books, even within the sources of the same Use, are subject to significant variation, influenced by local customs and hagiographical and textual priorities, and also by varying reception to liturgical prescriptions from ecclesiastical authorities. Distinct regional patterns, especially in the kalendar, are a principal result. Rubrics (giving details of ritual) and lessons (at Matins) in particular suggest that the manuscripts are witnesses to textual subfamilies, and that these represent succeeding stages of the promulgation of the major Uses across England. The identification of the characteristic features of each Use and the differentiation of regional patterns have resulted from treating each manuscript as a unique witness, a practice which is not common in liturgical studies, but one which gives the manuscripts greater value as historical sources. The unique character of each allows it to be situated in its temporal and intellectual context and indeed to illuminate that context. For instance, properties of individual manuscripts can be compared with other evidence for the prescription of liturgy in England in order to assess the efficacy of ecclesiastical orders of this nature. A descriptive catalogue of 115 manuscripts and transcriptions of their liturgical kalendars provide both a resource for further research and a proof of concept of the methodology.
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The economy of mercy : the liturgical preaching of Saint Leo the Great

Armitage, Jonathan Mark January 1997 (has links)
No description available.
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Prince of Life: An Anthem Cycle for Christian Year

Yap, teck chong 23 May 2012 (has links)
Prince of Life: An Anthem Cycle for the Christian Year is a work for soprano, tenor, and baritone soloists, congregational hymns, mixed chorus, piano, and organ. The purpose of this work is to retell the story of God's redemption to Christian believers in local church worship through hymns and music. This work consists of two cycles: "Cycle of Light" and "Cycle of Life." "The Cycle of Light" consists of Advent, Christmas and Epiphany, and Jesus' Teaching. It tells the story of Jesus as the Light as He incarnates into human form to save the world, whereas the "Cycle of Life" includes Lent, Palm Sunday, Maundy Thursday, Passiontide, Eastertide, Ascensiontide, and Trinity. They tell the crucifixion of Jesus Christ, who gave His life to the world, so that the world might gain life. The music is written in functional harmony; however, there are cluster chords, dissonant harmonic intervals, and unconventional vocal leaps. There are symmetrical and asymmetrical musical phrases. Musical forms are mostly structured in modified strophic.

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