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La magnanimité, vertu oubliéeBeaulieu, Réjean 13 November 2024 (has links)
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Magnanimité et humilitéVadnais, Éric 18 January 2022 (has links)
Ce mémoire comporte trois parties consacrées à la pusillanimité, la magnanimité et l'humilité. Après avoir résumé les traits principaux de chacune de leur typologie respective, nous serons en mesure d'évaluer la place qu'occupe la vertu d'humilité au sein du concept de magnanimité qui, à première vue, paraît l'exclure. troisième lieu, résultat au moins de nos réflexions.
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Égoïsme, sacrifice et magnanimité dans les théories de l'amitié de Platon et d'AristotePelletier, Manuel January 2010 (has links)
De nombreux commentateurs se sont aventurés sans succès à qualifier d'égoïsme ou d'altruisme les travaux de Platon et d'Aristote sur l'amitié. Ce questionnement est pourtant le fruit d'une intuition valable : il serait intéressant de réactiver notre compréhension des théories de l'amitié de Platon et d'Aristote afin d'évaluer si elles répondent de manière satisfaisante à nos soucis contemporains en matière d'éthique des relations interpersonnelles. Ce mémoire a comme objectif d'entreprendre une lecture et une interprétation en profondeur de ces théories, spécifiquement à travers le Lysis et l'Éthique à Nicomaque, puis d'aborder les principaux problèmes soulevés par les théories contemporaines qui se réclament de l'altruisme ou de l'égoïsme afin de trouver les outils et les concepts qui nous permettront de clarifier notre compréhension des premières. Nous verrons en fin de parcours comment les théories antiques se rapprochent de ce que nous connaissons aujourd'hui comme l'égoïsme normatif, mais seulement en apparence. Les théories antiques formulent une éthique des relations personnelles complètement originale, qui part toujours de la perspective individuelle mais qui cherche à s'étendre vers l'extérieur, vers un souci authentique ou noble de ses amis. Elles reconnaissent et acceptent la part d'autoréférentialité inhérente à toute bienveillance envers les personnes chères, tout en balisant cette autoréférentialité, délimitant ainsi un modèle de ce qu'est l'amitié réussie, ou pour ainsi dire, un modèle de ce qu'est une relation personnelle éthique.
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La magnanimitéNadeau, Jean, Nadeau, Jean. 27 November 2024 (has links)
La présente thèse se propose d'examiner et d'illustrer la vertu de magnanimité en s'appuyant principalement sur l'Ethique à Nicomaque d'Aristote et sur le commentaire qu'en fit s. Thomas d'Aquin. A partir de réactions fort opposées qu'avait suscitées la description de cette vertu, nous avons indiqué dans l'introduction, outre les buts visés et la méthode employée, les diverses étapes que nous entendions franchir. D'abord nous avons porté notre examen sur l'honneur en tant qu'il constitue la matière de la magnanimité ; nous avons dégagé les significations qu'il revêt depuis les temps aristocratiques jusqu'à nos jours pour nous tourner ensuite vers sa nature véritable, les éléments qui le composent, ce qui le distingue de la louange et de la gloire. Ensuite, dans le chapitre suivant, nous avons abordé les tout premiers traits que le Philosophe trace du magnanime: le magnanime se juge digne et de grandes choses et de grands honneurs. Ce faisant, nous avons, d'une part, fait ressortir le discernement et les conditions que doit rencontrer celui qui prétend à de grandes choses; nous avons fait ressortir les vices qui s'y opposent avec les facteurs qui les font naître ou qui les accompagnent; nous avons insisté sur quelques exemples, afin de montrer à quel point le magnanime ne craint pas d'affirmer la pleine conscience qu'il a de sa valeur. D'autre part, nous avons montré, en conformité avec ses grandes aspirations et le sentiment de sa valeur, comment le magnanime aspire non seulement aux grands honneurs, mais encore à ceux qu'on accorde en récompense pour une grande vertu. L'ambition qui s'y oppose avec ses funestes effets, l'importance que revêt l'honneur vis-à-vis les autres biens et vis-à-vis le bonheur, les récompenses accordées au chef d'Etat et les séquelles d'une poursuite exclusive de la gloire sont autant d'éléments qui ont permis d'éclairer les visées et les prétentions du magnanime. Suit une analyse du comportement de ce dernier en ce qui a trait aux honneurs et aux richesses. Nous avons mis l'accent sur son dédain et sur sa négligence à l'égard de tout ce qui importe aux autres hommes, sur son attitude face aux honneurs petits et grands, sur son égoïsme de bon aloi, sur ses réactions devant les injustices subies et devant les caprices de la fortune, sur sa modération devant ses réussites ou ses échecs, sur son peu d'empressement et son peu d'admiration, sur les biens, enfin, qui l'inclinent à agir avec promptitude. Au chapitre quatrième, il s'agit de la spécificité de la vertu de magnanimité, de sa dépendance et de son rôle à l'égard des autres vertus, de sa ressemblance avec la magnificence, de l'importance des biens extérieurs pour le meilleur exercice de la grandeur d'âme, des traits inusités de la générosité du magnanime et des motifs qui l'incitent à pareil comportement. A l'avant-dernier chapitre, nous avons tenté de dissiper l'impression d'avoir à assister davantage aux manifestations du vice qu'à celles de la vertu. Cette impression repose, pensons-nous, sur trois facteurs: la personnalité du magnanime, qui répond aux exigences de son naturel et à celles de sa vertu; l'influence qu'exerce le christianisme, qui incline certains à considérer la conduite du magnanime comme empreinte d'un orgueil méprisant; l'influence prépondérante de l'esprit démocratique. Le dernier chapitre traite de la vertu de force, de sa nature et des conditions de sa réalisation, pour faire ressortir le courage singulier du magnanime, les dangers qu'il affronte et les motifs qui l'aiguillonnent, l'espoir qui l'anime, la confiance et la persévérance qui lui donnent sa vertu propre. En conclusion, nous avons avancé l'idée que la magnanimité, en tant que vertu morale, se retrouvait d'abord chez ceux qui vaquaient aux affaires militaires et politiques, pour se retrouver ensuite chez ceux qui s'adonnent à la vie spéculative tant celle-ci exige de la grandeur d'âme de quiconque s'y consacre.
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