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Stabilité de l'expansion palatine assistée chirurgicalement comparée à une ostéotomie Le Fort 1 multisegmentée /

Chamberland, Sylvain, January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 53-55. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Stabilité de l'expansion palatine assistée chirurgicalement comparée à une ostéotomie Le Fort 1 multisegmentée

Chamberland, Sylvain 13 April 2018 (has links)
Ce projet visait à comparer deux traitements chirurgicaux d'expansion palatine pour la correction des déficits transverses des maxillaires. Dans une étude prospective, les données de 22 sujets ayant terminé leur traitement orthodontique et ayant eu une expansion palatine assistée chirurgicalement (EPRAC) sont comparées à un groupe contrôle historique traité avec une ostéotomie Le Fort 1. L'expansion et la récidive dentaire et squelettique obtenue avec l'EPRAC ainsi que la récidive ont été mesurées sur des modèles d'étude et des radiographies céphalométriques postéro-antérieures standardisées à cinq moments durant le traitement. Dans le groupe EPRAC, l'expansion dentaire moyenne est 7,48 ± 1,39 mm. La récidive est 2,22 ± 1,69 mm (30%). À la fin de la distraction osseuse, 3,49 ± 1,37 mm d'expansion squelettique ont été obtenus. Lors d'une EPRAC, il faut anticiper la perte du tiers de l'expansion dentaire alors que l'expansion squelettique est stable. La récidive postchirurgicale de l'EPRAC semble similaire aux changements de l'arcade dentaire après une expansion à l'aide d'une ostéotomie maxillaire segmentée (3,06 ±1,31 mm)
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Effets de l'expansion maxillaire sur les dimensions transversales des cavités nasales et sur leur perméabilité

Valle, Boris Deniaud, Joël. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Adhérence d'une prothèse totale au maxillaire supérieur.

Pinoli, Arielle, January 1900 (has links)
Th.--Chir. dent.--Reims, 1980. N°: 44.
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Aménagement du secteur antérieur maxillaire en chirurgie pré-implantaire techniques actuelles et perspectives d'avenir /

Tournoux, Pascal Hoornaert, Alain. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Identification, caractérisation et fonction des transporteurs du glucose dans les glandes sous-maxillaires / Endocrown versus tenon en fibre de verre et couronne: quelle réhabilitation est la plus fiable?

Cetik, Sibel 14 March 2017 (has links)
Les glandes sous-maxillaires sécrètent au repos la majorité de la salive totale. Parmi ses principales substances la constituant, la salive contient également du glucose. Le but de ce travail de recherche est de tenter de comprendre le mécanisme de transport du glucose dans la salive. Des études immunohistochimiques ont été menées sur tissus sous-maxillaires humains. GLUT1, GLUT4 et SGLT1 ont été détectés au niveau des cellules ductales des glandes sous-maxillaires alors que les cellules acinaires semblent équipées principalement de GLUT1 et SGLT1. GLUT2, dans les cellules ductales humaines, semble présent de manière peu importante.Sur glandes sous-maxillaires de rats, les études d’immunohistochimie, de Western blot et de qRT-PCR ont révélé la présence de GLUT1, de GLUT4 et de SGLT1 au niveau des cellules ductales. Les cellules acinaires, quant à elles, révèlent la présence de GLUT1 et de SGLT1. Les études concernant la capture de glucose et le métabolisme de glucose sur glandes sous-maxillaires de rats ont indiqué que le glucose était transporté par les cellules ductales et les cellules acinaires. Cependant, les cellules ductales transportent plus rapidement le glucose et le métabolisent 2 à 3 fois plus que les cellules acinaires. Les cellules ductales, en présence d’agents inhibiteurs tels que la cytochalasine B ou la phloridzine, capturent moins de glucose par le biais de GLUT1 et SGLT1, respectivement. Dans les cellules acinaires, seule la cytochalasine B inhibe le transport du glucose. SGLT1 semble très peu fonctionnel au niveau des cellules acinaires. L’une des originalités de ce travail repose également sur la mise en évidence de la présence du transporteur GLUT4, insulino-dépendant, dans les cellules ductales de glandes sous-maxillaires. Sur anneaux ductaux, l’insuline a démontré sa capacité à stimuler la capture de glucose. Eu égard à leur localisation préférentiellement basolatérale, la présence de 3 transporteurs (GLUT1, GLUT4 et SGLT1) dans les cellules ductales et de 2 transporteurs (SGLT1 et GLUT1) dans les cellules acinaires devrait permettre à ces cellules de subvenir à leurs besoins métaboliques. Ceci est particulièrement important au niveau des cellules ductales où un remaniement majeur des flux ioniques nécessite un soutien métabolique conséquent, surtout en période prandiale. / Doctorat en Sciences dentaires / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Tumeurs des maxillaires avec anomalies du développement : à partir des modèles de tumeurs kératokystiques odontogènes et du chérubinisme / Developmental disease associated to jaw bone tumors : from 2 models keratocystic odontogenic tumor and Cherubism

Kadlub, Natacha 25 September 2015 (has links)
Afin de mieux comprendre les bases physiopathologiques des tumeurs osseuses des mâchoires, nous avons étudié deux modèles de tumeurs associées à des mutations génétiques connues : la tumeur kératokystique odontogène (TKO), liée à la mutation de PTCH1, et le chérubinisme, lié à la mutation de SH3BP2. Au regard des travaux d’oncogénétique, nous formulons l’hypothèse que le développement des tumeurs ostéolytiques bénignes des mâchoires de l’enfant et leur agressivité repose sur un mécanisme génétique. Nous avons montré que la présence d’une mutation de PTCH1 (germinale avec syndrome de Gorlin) dans les TKO était un facteur de mauvais pronostic, stimulant un centre tumoral secondaire, responsable de lésions à distance, mais que cette agressivité pouvait aussi être liée à des mécanismes inflammatoires. Dans le chérubinisme, nous avons montré que la mutation était responsable du phénotype, mais que le type de mutation n’influençait pas le pronostic ni l’agressivité. L’agressivité tumorale est liée au phénotype des cellules géantes multinucléées (cellules myéloïdes à différenciation macrophagique ou ostéoclastique). Nous avons montré, que le modèle murin ne pouvait pas s’appliquer à la pathologie humaine, avec notamment un rôle très secondaire du TNF-α. Enfin nous avons démontré le rôle important de NFATc1 dans la physiopathologie du chérubinisme qui nous a permis de proposer, le tacrolimus, comme le premier agent thérapeutique efficace. Nos résultats suggèrent que les mutations induisent la pathologie et que les changements du microenvironnement (liés à la flore buccale ou à l’éruption dentaire) entretiennent la pathologie. / To determine pathophysiological bases of jawbone tumors, we studied two genetic models of jawbone tumors: keratocystic odontogenic tumors (KOT) associated to PTCH1 mutation and cherubism associated to SH3BP2 mutation. From oncogenetic theory, we postulate that genetic background controls the development of benign children jawbone tumors. From our work, we demonstrated that PTCH1 mutation (germline mutation in Gorlin syndrome) was an unfavorable prognosis factor for KOT, leading to distant and independent daughter tumors. Moreover, we showed, that chorionic inflammation was associated with a high recurrence rate. In cherubism, SH3BP2 mutation produced cherubism phenotype, but the type of mutation did not affect the aggressiveness of the disease. Cherubism aggressiveness was determined by the phenotype of giant multinucleated cells (whether osteoclasts or macrophages). Furthermore, we showed that murine model could not be transposed to human pathology; indeed it appeared that TNF- α did not play a critical role in human cherubism. On the other side, we showed that NFATc1 played a crucial role in cherubism pathophysiology; this observation allowed us to propose, the tacrolimus, as an effective treatment for this disease. Our results suggest that genetic background induced tumor development, and that microenvironment changes (due to flora of the oral cavity and to teeth eruptions) are responsible to the maintenance and the progression of the disease.
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Tumeurs des maxillaires avec anomalies du développement : à partir des modèles de tumeurs kératokystiques odontogènes et du chérubinisme / Developmental disease associated to jaw bone tumors : from 2 models keratocystic odontogenic tumor and Cherubism

Kadlub, Natacha 25 September 2015 (has links)
Afin de mieux comprendre les bases physiopathologiques des tumeurs osseuses des mâchoires, nous avons étudié deux modèles de tumeurs associées à des mutations génétiques connues : la tumeur kératokystique odontogène (TKO), liée à la mutation de PTCH1, et le chérubinisme, lié à la mutation de SH3BP2. Au regard des travaux d’oncogénétique, nous formulons l’hypothèse que le développement des tumeurs ostéolytiques bénignes des mâchoires de l’enfant et leur agressivité repose sur un mécanisme génétique. Nous avons montré que la présence d’une mutation de PTCH1 (germinale avec syndrome de Gorlin) dans les TKO était un facteur de mauvais pronostic, stimulant un centre tumoral secondaire, responsable de lésions à distance, mais que cette agressivité pouvait aussi être liée à des mécanismes inflammatoires. Dans le chérubinisme, nous avons montré que la mutation était responsable du phénotype, mais que le type de mutation n’influençait pas le pronostic ni l’agressivité. L’agressivité tumorale est liée au phénotype des cellules géantes multinucléées (cellules myéloïdes à différenciation macrophagique ou ostéoclastique). Nous avons montré, que le modèle murin ne pouvait pas s’appliquer à la pathologie humaine, avec notamment un rôle très secondaire du TNF-α. Enfin nous avons démontré le rôle important de NFATc1 dans la physiopathologie du chérubinisme qui nous a permis de proposer, le tacrolimus, comme le premier agent thérapeutique efficace. Nos résultats suggèrent que les mutations induisent la pathologie et que les changements du microenvironnement (liés à la flore buccale ou à l’éruption dentaire) entretiennent la pathologie. / To determine pathophysiological bases of jawbone tumors, we studied two genetic models of jawbone tumors: keratocystic odontogenic tumors (KOT) associated to PTCH1 mutation and cherubism associated to SH3BP2 mutation. From oncogenetic theory, we postulate that genetic background controls the development of benign children jawbone tumors. From our work, we demonstrated that PTCH1 mutation (germline mutation in Gorlin syndrome) was an unfavorable prognosis factor for KOT, leading to distant and independent daughter tumors. Moreover, we showed, that chorionic inflammation was associated with a high recurrence rate. In cherubism, SH3BP2 mutation produced cherubism phenotype, but the type of mutation did not affect the aggressiveness of the disease. Cherubism aggressiveness was determined by the phenotype of giant multinucleated cells (whether osteoclasts or macrophages). Furthermore, we showed that murine model could not be transposed to human pathology; indeed it appeared that TNF- α did not play a critical role in human cherubism. On the other side, we showed that NFATc1 played a crucial role in cherubism pathophysiology; this observation allowed us to propose, the tacrolimus, as an effective treatment for this disease. Our results suggest that genetic background induced tumor development, and that microenvironment changes (due to flora of the oral cavity and to teeth eruptions) are responsible to the maintenance and the progression of the disease.
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Évaluation de la stabilité de l'ostéotomie de type LeFort I multisegmentaire

Engel, Hélène 06 1900 (has links)
Introduction : Cette étude vise à évaluer la stabilité de la chirurgie LeFort I multisegmentaire à moyen (fin du traitement orthodontique) et à long termes dans les trois plans de l'espace (transversal, antéro-postérieur et vertical). Matériel et méthodes : L'échantillon étudié est composé de 31 patients traités en clinique privée, ayant eu une chirurgie LeFort I multisegmentaire en deux, trois ou quatre morceaux, et ayant terminé leur traitement orthodontique. Parmi eux, 17 patients ayant terminé leur traitement orthodontique depuis plus de deux ans (moyenne de trois ans post-traitement) ont permis d'évaluer la stabilité de la procédure chirurgicale à long terme. La collecte des données a été réalisée sur des modèles et des radiographies céphalométriques latérales pris à des temps précis tout au long du traitement orthodontique, ainsi que pendant la période de contention. Concernant l'analyse statistique, des T-tests et des corrélations de Pearson ont été utilisés. Le test de Bland-Altman et le coefficient de corrélation intra-classe ont permis d'analyser les fiabilités intra-examinateur et inter-examinateurs. Résultats : Une récidive transverse significative, mais très faible cliniquement, est constatée aux niveaux prémolaires et molaires entre la chirurgie et la fin du traitement orthodontique. Elle est corrélée avec l’expansion totale réalisée. Cette récidive transverse est non significative suite au traitement orthodontique. Aucune corrélation statistiquement significative n'est mise en évidence entre le nombre de segments et la récidive transverse postchirurgicale. Une variation de certaines mesures antéro-postérieures et verticales statistiquement significative, mais faible cliniquement, est notée entre la chirurgie et la fin du traitement orthodontique (avancement et impaction postérieure). Pour les mesures antéro-postérieures et verticales, aucun changement n'est statistiquement significatif suite au traitement orthodontique. Conclusion : Pour l'échantillon étudié, la stabilité de l'ostéotomie de type LeFort I multisegmentaire est très bonne, dans les trois plans de l'espace étudiés. / Introduction : The aim of this study was to evaluate the medium and long term stability of segmented LeFort I surgery in all three planes of space (transverse, sagittal and vertical). Materials and methods : The sample consisted of 31 private practice patients that received a two, three, or four-piece segmented LeFort I surgery and who had finished their orthodontic treatment. Study models and cephalometric radiographs were analyzed before treatment, before surgery, after surgery, and at the end of the orthodontic treatment for the 31 patients as well as a minumum two years into retention for 17 patients (mean of 3 years post-treatment). T-tests and Pearson correlation tests were used. Intra and inter-examiner reliability were verified with Bland Altman and intraclass coefficient tests. Results : A statistically significant transverse relapse was seen at the premolars and molars between surgery and the end of orthodontic treatment, that has little clinical significance. The relapse is correlated with the effective expansion. There was no significant relapse after orthodontic treatment was completed. There was no correlation between the amount of relapse observed and the amount of segments. Statistically significant changes were measured in the post surgical phase for maxillary advancement and impaction cases, but were shown to be of limited clinical significance. After removal of fixed appliances, no significant changes were noted. Conclusion : Multisegmented Lefort I surgery appears to have good stability in all three planes of space in the studied sample.
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Tumeurs des maxillaires avec anomalies du développement : à partir des modèles de tumeurs kératokystiques odontogènes et du chérubinisme / Developmental disease associated to jaw bone tumors : from 2 models keratocystic odontogenic tumor and Cherubism

Kadlub, Natacha 25 September 2015 (has links)
Afin de mieux comprendre les bases physiopathologiques des tumeurs osseuses des mâchoires, nous avons étudié deux modèles de tumeurs associées à des mutations génétiques connues : la tumeur kératokystique odontogène (TKO), liée à la mutation de PTCH1, et le chérubinisme, lié à la mutation de SH3BP2. Au regard des travaux d’oncogénétique, nous formulons l’hypothèse que le développement des tumeurs ostéolytiques bénignes des mâchoires de l’enfant et leur agressivité repose sur un mécanisme génétique. Nous avons montré que la présence d’une mutation de PTCH1 (germinale avec syndrome de Gorlin) dans les TKO était un facteur de mauvais pronostic, stimulant un centre tumoral secondaire, responsable de lésions à distance, mais que cette agressivité pouvait aussi être liée à des mécanismes inflammatoires. Dans le chérubinisme, nous avons montré que la mutation était responsable du phénotype, mais que le type de mutation n’influençait pas le pronostic ni l’agressivité. L’agressivité tumorale est liée au phénotype des cellules géantes multinucléées (cellules myéloïdes à différenciation macrophagique ou ostéoclastique). Nous avons montré, que le modèle murin ne pouvait pas s’appliquer à la pathologie humaine, avec notamment un rôle très secondaire du TNF-α. Enfin nous avons démontré le rôle important de NFATc1 dans la physiopathologie du chérubinisme qui nous a permis de proposer, le tacrolimus, comme le premier agent thérapeutique efficace. Nos résultats suggèrent que les mutations induisent la pathologie et que les changements du microenvironnement (liés à la flore buccale ou à l’éruption dentaire) entretiennent la pathologie. / To determine pathophysiological bases of jawbone tumors, we studied two genetic models of jawbone tumors: keratocystic odontogenic tumors (KOT) associated to PTCH1 mutation and cherubism associated to SH3BP2 mutation. From oncogenetic theory, we postulate that genetic background controls the development of benign children jawbone tumors. From our work, we demonstrated that PTCH1 mutation (germline mutation in Gorlin syndrome) was an unfavorable prognosis factor for KOT, leading to distant and independent daughter tumors. Moreover, we showed, that chorionic inflammation was associated with a high recurrence rate. In cherubism, SH3BP2 mutation produced cherubism phenotype, but the type of mutation did not affect the aggressiveness of the disease. Cherubism aggressiveness was determined by the phenotype of giant multinucleated cells (whether osteoclasts or macrophages). Furthermore, we showed that murine model could not be transposed to human pathology; indeed it appeared that TNF- α did not play a critical role in human cherubism. On the other side, we showed that NFATc1 played a crucial role in cherubism pathophysiology; this observation allowed us to propose, the tacrolimus, as an effective treatment for this disease. Our results suggest that genetic background induced tumor development, and that microenvironment changes (due to flora of the oral cavity and to teeth eruptions) are responsible to the maintenance and the progression of the disease.

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