Überarb. Diss. Norwegian Lutheran School of Theology, Oslo, 2005.

Thesis (doctoral)--Universität, Münster (Westfalen), 2003.

Les occurrences du terme hypsistos dans le NT montrent que sur un total de 13 références, Lc en compte à lui seul 9 (Lc 1,32.35.76 ; 2,14 ; 6,35 ; 8,28 ; 19,38 ; Ac 7,48 ; 16,17) tandis que le reste du NT n’en présente que 4 (Mt 21,9 ; Mc 5,7 ; 11,10 et He 7,1). Aussi peut-on affirmer que le prédicat joue dans la double œuvre lucanienne (Évangile de Luc-Actes des Apôtres) un rôle de premier plan, surtout lorsqu’il s’adresse aux milieux païens. Mais comment comprendre ces références lucaniennes lorsque l’on sait que, dans le monde païen, hypsistos est utilisé principalement dans des inscriptions comme titre usuel pour désigner le dieu suprême du panthéon identifié dans un bon nombre de cas à Zeus ? S’il est aisé de reconnaître dans les inscriptions païennes de hypsistos l’allusion à un dieu considéré comme « le plus haut » au sens hénothéiste, il est en revanche évident que dans des passages comme Lc 1,32.35 ou Ac 7,48, la désignation de Yahvé comme hypsistos ne peut se traduire que par « le Très-Haut » au sens strictement monothéiste. Quelques passages posent cependant de véritables problèmes d’interprétation comme Lc 8,28 ou Ac 16,17 où il n’est pas toujours aisé de savoir s’il s’agit de véritables confessions de foi monothéistes ou de déclarations ambivalentes oscillant entre l’hénothéisme païen et le monothéisme chrétien. À travers la distinction entre "internes" et "externes" qui s’inspire du livre de Daniel, ce travail de recherche essaie d’analyser les nuances parfois subtiles que revêt la conception lucanienne de Dieu comme hypsistos et propose, à partir de ce prédicat divin, une relecture de la visée théologique de quelques passages du troisième évangile et du livre des Actes. / Zählt man die Belege, in denen Gott als der Höchste bzw. als der höchste Gott" adressiert wird, nimmt das lukanische Doppelwerk (Lukasevangelium-Apostelgeschichte) unter den neutestamentlichen Schriften eindeutig die Spitzstellung ein. Von den insgesamt 13 Belegen für das griechische Adjektiv hypsistos, das auch substantiviert verwendet werden kann, bietet Lk-Apg allein 9 (Lk 1,32.35.76; 2,14; 6, 35; 8,28; 19,38; Apg 7,48; 16,17), die übrigen neutestamentlichen Belege verteilen sich auf Mt 21,9; Mk 5,7; 11,10 und Hebr 7,1. Diese Dissertationsarbeit beschäftigt sich mit dem lukanischen Gebrauch des Prädikats hypsistos und vertritt die These, dass Lukas sich nicht erst am Sprachgebrauch der heidnischen Umwelt, sondern der Septuaginta orientiert, wenn er Gott mit der absoluten Form „der Höchste“ bezeichnet (vgl. Lk 1.32.35; Ac 7,48). Die Stellen, an denen die relative Form „der Höchste Gott“ bei Exorzismen verwendet wird (vgl. Lk 8,28; Apg 16,17), zeigen eine Ambivalenz, die diese Dissertationsarbeit versucht, zu erkennen und aufzulösen.

Zugl.: Oslo, Norwegian Lutheran School of Theology, Diss., 2005

Zugl.: Fribourg, Univ., Univ., Diss., 2004

Thesis (doctoral)--Universität, Göttingen, 2007. / Includes bibliographical references (p. [411]-435) and indexes.

Texte remanié de: Diss.--Princeton--Theological seminary, 1993. / Bibliogr. p. [284]-316. Index.

Zugl.: Bonn, Univ., Diss., 2005

Habilitation - Universität, Bonn, 2004.