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Le TNP de Vilar : une expérience de démocratisation de la culture /

Fleury, Laurent. January 2006 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Paris 9, 1999. Titre de soutenance : Le TNP et le Centre Pompidou : deux institutions culturelles entre l'État et le public : contribution à une sociologie des politiques publiques de la culture en France après 1945. / TNP = Théâtre national populaire. Bibliogr. p. 245-265. Index.
2

Roger Planchon i jego program teatru narodowego /

Olkusz, Piotr. January 2007 (has links)
Rozprawa doktorska--Dramat i Teatr--Uniwersytetu Lódzkiego, 2007. / Bibliogr. p. 497-502.
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Kollaboration in Frankreich im Zweiten Weltkrieg : Marcel Déat und das Rassemblement national populaire /

Brender, Reinhold. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Freiburg i. Br.--Albert-Ludwigs-Universität, 1989.
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Grito vagabundo : el exilio como alegoría de un trauma histórico en tres novelas latino-canadienses

Henriquez, Luis 02 1900 (has links)
Cette thèse étudie la façon dont trois romans latino-canadiens utilisent le trope de l’exil comme allégorie d’un trauma historique qui comprend plus que l’expérience individuelle de ses protagonistes : la transition forcée de l’État vers le Marché en Amérique latine effectuée par les dictatures. Cobro revertido (1992) de José Leandro Urbina; Le pavillon des miroirs (1994) Sergio Kokis; et Rojo, amarillo y verde (2003) de Alejandro Saravia, explorent divers aspects de ce processus à travers les exercices de mémoire de leurs personnages. L’exil oblige les protagonistes de ces oeuvres à se confronter aux limites des structures sémiotiques par lesquelles ils essaient de donner un fondement idéologique à leur existence sociale. Ils découvrent ainsi qu’il n’est pas possible de reproduire des hiérarchies, des valeurs, ni des relations de pouvoir de leur pays d’origine dans leur pays d’accueil, non seulement à cause des différences culturelles, mais aussi à cause d’un changement historique qui concerne la relation du sujet avec la collectivité et le territoire. Ces œuvres abordent l’expérience de ce changement par un dialogue avec différents genres littéraires comme le roman de fondation, la méta-fiction historique du Boom, le roman de formation et le testimonio, mis en relation avec divers moments historiques, de la période nationale-populaire aux transitions, en passant par les dictatures. Cela permet aux auteurs de réfléchir aux mécanismes narratifs que plusieurs œuvres latino-américaines du XXème siècle ont utilisé pour construire et naturaliser des subjectivités favorables aux projets hégémoniques des États nationaux. Ces exercices méta-narratifs comprennent le rôle de l’écriture comme support privilégié pour l’articulation d’une identité avec le type de communauté imaginaire qu’est la nation. Ils servent aussi à signaler les limites de l’écriture dans le moment actuel du développement technologique des médias et de l’expansion du capitalisme transnational. Ainsi, les auteurs de ces œuvres cherchent d’autres formes de représentation pour rendre visibles les traces d’autres histoires qui n’ont pas pu être incorporées dans le discours historique officiel. / This thesis studies how three Latino-Canadian novels use the trope of exile as an allegory of a trauma that goes beyond the individual experience of their protagonists: the transition from State to Market led by the dictatorships in Latin-America. José Leandro Urbina’s Cobro revertido (1992), Sergio Kokis’s Le pavillon des miroirs (1994), and Alejandro Saravia’s Rojo, amarillo y verde (2003) explore different aspects of this process through the memory of their characters. Exile forces these characters to confront the limits of the different semiotic structures that they try to use as an ideological foundation for their social lives. They discover that it is not possible to recreate the same hierarchies, values and power relations of their home countries in their host country, not only because of cultural differences, but also because of a historical turn that has changed the relationships between the subject, the community and the territory. These novels work-through the experience of this change by entering a dialogue with different genres, such as the foundational romance, the Boom’s historical meta-fiction, the Bildungsroman and the testimonio, covering various historical periods, from the national-popular to the dictatorships and the democratic transitions. Thus, these authors reflect on the mechanisms used in several works of 20th century Latin-American fiction to create and naturalize subjectivities aligned with the hegemonic projects of the nation-states in the region. These meta-narrative exercises also cover the role of writing as the privileged media for the articulation of an identity based on the type of imagined community that is the nation. They point to the limits of writing in the present state of media’s technological development and the expansion of transnational capitalism. This allows these authors to explore other forms of representation that make visible the traces of other stories that could not be dialectically incorporated into the official historical discourse. / Esta tesis estudia la manera en que tres novelas latino-canadienses utilizan el tropo del exilio como alegoría de un trauma que va más allá de la experiencia individual de sus protagonistas: la transición forzada del Estado al Mercado operada por las dictaduras en América Latina. Cobro revertido (1993) de José Leandro Urbina; Le pavillon des miroirs (1994) de Sergio Kokis; y Rojo, amarillo y verde (2003) de Alejandro Saravia exploran diversos aspectos de este proceso a través del ejercicio de memoria de sus personajes. El exilio obliga a los protagonistas de estas obras a confrontar los límites de las matrices semióticas con las que intentan dar un sustento ideológico a su existencia en sociedad. Ellos descubren que no es posible reproducir las jerarquías, valores y relaciones de poder de sus países de origen en el país de acogida, no solo por las diferencias culturales, sino también a causa de un cambio histórico que atañe a la relación entre el sujeto, la colectividad y el territorio. Estas obras elaboran la experiencia de este cambio a través de un diálogo con distintos géneros literarios como los romances fundacionales, la meta-ficción histórica del Boom, la novela de formación y el testimonio, abarcando diversos momentos históricos, desde el periodo nacional-popular hasta las transiciones, pasando por las dictaduras. De este modo, sus autores reflexionan sobre los mecanismos narrativos con los que muchas obras del siglo XX latinoamericano han servido para construir y naturalizar subjetividades favorables a los proyectos hegemónicos de los Estados nacionales. Este ejercicio metanarrativo se extiende al papel de la escritura como medio de articulación de una identidad con el tipo de comunidad imaginada que es la nación, señalando sus límites en momento actual del desarrollo tecnológico de los medios de comunicación y la expansión del capitalismo transnacional. De este modo, los autores de estos textos exploran otras formas de representación que hagan visibles los residuos de otras historias que no pueden ser incorporadas por la dialéctica del discurso historiográfico oficial.
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Théâtres en voyage : les grandes tournées internationales de la Comédie-Française, du Théâtre national populaire et de la Compagnie Renaud-Barrault, 1945-1969 / Theatres on the road : the international grand tours of the Comédie-Française, the National Popular Theatre of Jean Vilar, and of the Renaud-Barrault Company, 1945-1969

Falcon, Cécile 12 December 2011 (has links)
Après la Seconde Guerre mondiale, la France, affaiblie politiquement et économiquement, développe une politique culturelle extérieure qui utilise les manifestations artistiques, et en particulier les tournées théâtrales, pour assurer le rayonnement de sa culture et de sa langue. Par l’intermédiaire de l’Association française d’action artistique (AFAA), elle envoie de par le monde ses plus grandes compagnies, la Comédie-Française, le Théâtre national populaire de Jean Vilar, et la Compagnie Renaud-Barrault qui devient théâtre national en 1959. Dans un monde façonné par la Guerre Froide, les tournées les plus prestigieuses ont lieu aux États-Unis, en Union Soviétique et en Amérique latine. Le but de cette thèse est de déterminer dans quelle mesure les compagnies théâtrales, instrumentalisées par la diplomatie culturelle française, utilisent aussi ces tournées pour leur propre statut dans le champ culturel français, pour leur économie, ou pour l’affermissement de leur propre identité. La première partie explore les origines et le développement du cadre politique et institutionnel qui a permis la naissance de tournées théâtrales subventionnées et fait du théâtre français un produit d’exportation. Le deuxième mouvement se concentre sur la caractérisation de ce théâtre envoyé à l’étranger, sur son économie et son répertoire. Le troisième temps analyse les différents impacts du déplacement du théâtre à l’étranger. Quelles sont les conséquences possibles de cette situation sur la représentation elle-même et les attentes du public étranger ? Au-delà de la question de la réception, c’est la dimension politique, l’impact esthétique et le rôle symbolique des tournées qui seront mis en lumière. / After World War II, a politically and economically weakened France develops a cultural foreign policy that uses artistic manifestations, and in particular theatrical tours, in order to ensure the influence of its culture and language. Thanks to the French Association for Artistic Action (AFAA), which was directly supported by the ministry of Foreign Affairs, France sends its greatest theatre companies all over the world, the Comédie-Française and the National Popular Theatre of Jean Vilar, as well as the Renaud-Barrault Company that becomes a national theatre in 1959. In a world shaped by the Cold War, the most prestigious tours take place in the United States, the Soviet Union, and Latin America. This thesis aims at determining to what extent these theatrical companies are not only exploited by the French government for cultural diplomacy, but manage themselves to benefit from the touring system, be that for their own status within the French cultural field, for their own economic solvency, or for the strengthening of their own identity. The first part explores the origins and development of the political and institutional frame that enabled the birth of this system of subsidized, international theatrical tours that made an export out of French theatre. The second part focuses on the characterization of French theatre abroad, on its economy and its repertory. The third section analyses the different impacts of the displacement of theatre abroad. What are the possible consequences on the performance itself and on the expectations of the international audience? Beyond the question of reception, the thesis will shed light on the political consequences, the aesthetic impact and the symbolic role of the tours.

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