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Studies of cytotoxic T lymphocytes and natural killer cells in relation to MHC class I presented peptides /Franksson, Lars, January 1900 (has links)
Diss. (sammanfattning) Stockholm : Karol. inst. / Härtill 6 uppsatser.
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Natural killer cell receptors and their MHC ligand interactions in innate resistance to mouse cytomegalovirusKielczewska, Agnieszka. January 2007 (has links)
Le premier but de mon projet de doctorat a ete la caracterisation moleculaire de l'interface entre les recepteurs activateurs des cellules Natural Killer (NK) et de leurs ligands exprimes dans les cellules infectees ainsi que l'implication de cette interaction sur la reponse a l'infection par le cytomegalovirus (MCMV). / J'ai tire un avantage de la variation naturelle au sein des membres lies aux recepteurs Ly49C ainsi que de la disponibilite des structures cristallines des Ly49 afin de comprendre les determinants moleculaires des interactions Ly49H-m157 et egalement identifier les residus des acides amines qui permettent de discriminer entre les recepteurs qui se lient et ceux qui ne se lient pas a m157. Mes decouvertes suggerent que le "site 2" du contact entre le CMH de classe I et Ly49 n'est visiblement pas implique dans la liaison avec m157. Au contraire, les residus localises au niveau de l'interface homodimere-recepteur seraient probablement critiques a la reconnaissance fonctionnelle de la glycoproteine m157. Notre approche fonctionnelle et de modelisation tridimensionnelle suggerent que l'architecture du dimere Ly49H est cruciale pour l'accessibilite de m157 mais non pour les molecules de CMH de classe I et relient la variabilite dans l'homodimerisation des Ly49 a la reconnaissance directe des produits pathogeniques. / Un autre mecanisme de la reponse de l'hote contre MCMV provient de l'etude de la souche de souris MA/My, laquelle, malgre l'absence du gene Ly49h ainsi que la proteine pour laquelle il code, y est hautement resistant. Des etudes anterieures ont demontre qu'une interaction epistatique entre un gene issu du groupe des genes Ly49 sur le chromosome 6 et le CMH (H2) sur le chromosome 17 est associee avec la resistance au virus. Utilisant une methode de co-culture de cellules reportrices NFAT-GFP exprimant les recepteurs activateurs Ly49 et de fibroblastes primaires infectes, j'ai montre que le recepteur activateur Ly49P des cellules NK reconnait specifiquement les cellules infectees par MCMV et que cette reconnaissance depend de la presence de l'haplotype H2k. Ce signal etait bloque par l'utilisation des anticorps anti-H2-D k mais non par anti-H2-Kk. Ces resultats indiquent l'existence d'un nouveau mecanisme des cellules NK implique dans la resistance au MCMV, lequel depend de l'interaction fonctionnelle entre le recepteur Ly49P et la molecule du MHC de classe I, H2-Dk, dans les cellules infectees par MCMV. Comme contribution directe de ce travail, nous avons demontre que la resistance chez MA/My est au moins partiellement dependante des interactions entre le recepteur Ly49P et la molecule H2-Dk modifiee par le virus dans les cellules infectees. Comme MCMV regule negativement l'expression des molecules du CMH de classe I, j'ai confirme la presence de H2-Dk dans les cellules infectees par l'utilisation d'un virus MCMV recombinant portant un gene rapporteur GFP. En permutant la plateforme peptidique de liaison, les domaines transmembranaires et intracellulaires entre les molecules H2-Db et H2-D k, j'ai demontre que la plateforme peptidique de liaison est critique pour la reconnaissance des cellules infectees. Par le criblage d'un panel de mutants MCMV portant des genes impliques dans l'evasion immune, j'ai demontre que l'infection de fibroblastes par le MCMV depourvu du gene m04 (Deltam04) abolit totalement l'activation de Ly49P. (Abstract shortened by UMI.)
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Natural killer cell receptors and their MHC ligand interactions in innate resistance to mouse cytomegalovirusKielczewska, Agnieszka. January 2007 (has links)
No description available.
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Trained Immunity: An Overview and the Impact on COVID-19Brueggeman, Justin M., Zhao, Juan, Schank, Madison, Yao, Zhi Q., Moorman, Jonathan P. 01 January 2022 (has links)
Effectively treating infectious diseases often requires a multi-step approach to target different components involved in disease pathogenesis. Similarly, the COVID-19 pandemic has become a global health crisis that requires a comprehensive understanding of Severe Acute Respiratory Syndrome Corona Virus 2 (SARS-CoV-2) infection to develop effective therapeutics. One potential strategy to instill greater immune protection against COVID-19 is boosting the innate immune system. This boosting, termed trained immunity, employs immune system modulators to train innate immune cells to produce an enhanced, non-specific immune response upon reactivation following exposure to pathogens, a process that has been studied in the context of and clinical studies prior to the COVID-19 pandemic. Evaluation of the underlying pathways that are essential to inducing protective trained immunity will provide insight into identifying potential therapeutic targets that may alleviate the COVID-19 crisis. Here we review multiple immune training agents, including Bacillus Calmette-Guérin (BCG), β-glucan, and lipopolysaccharide (LPS), and the two most popular cell types involved in trained immunity, monocytes and natural killer (NK) cells, and compare the signaling pathways involved in innate immunity. Additionally, we discuss COVID-19 trained immunity clinical trials, emphasizing the potential of trained immunity to fight SARS-CoV-2 infection. Understanding the mechanisms by which training agents activate innate immune cells to reprogram immune responses may prove beneficial in developing preventive and therapeutic targets against COVID-19.
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