Mine haul road maintenance is traditionally done at scheduled intervals or after regular inspection. Both these methods can lead to unwarranted expenditure, either through over-maintaining the road, or failure to recognise significant deterioration, resulting in an increase in vehicle operating costs. Predictive maintenance management models for unpaved roads have been developed in recent years. These methods work well in a trivial environment where variables such as traffic volume can be predicted. However, many mining systems are too complex for such models to be effective. This work investigates the possibility of using haul truck response to aid haul road maintenance management. The approach adopted for the study was twofold: Firstly, can truck response data be used to recognise specific road defects, in terms of location, type and size? This is important since different defect types require different road maintenance strategies. Secondly, can road roughness be measured on a qualitative basis? With the emphasis on road defect reconstruction, a mathematical modelling approach was adopted. The truck was characterised in terms of its suspension and tyre properties. Dynamic truck response data was acquired during field measurements in which the vehicle was driven over defects of known dimensions. With these data sets available, mathematical modelling and simulation was possible. Quarter vehicle and seven degree of freedom vehicle models played a vital role in this work by laying a foundation in the use of haul truck response for the purpose of road defect reconstruction. A modelling methodology that is based on dynamic equilibrium of an independent front unsprung mass of the truck is proposed in which the vertical dynamic tyre force and eventually the road geometry is calculated. It is shown that defects can be reconstructed from measured truck response data with an accuracy sufficient to fulfil the requirements of defect recognition for road maintenance management purposes. Secondly, a preliminary investigation into the qualitative assessment of road condition via truck response measurements was conducted. The inherent response properties of the truck pertaining to road roughness measurement were studied and some correlation between measured suspension motion and road roughness measured with a high speed profilometer was found. / Dissertation (MEng (Mechanical))--University of Pretoria, 2005. / Mechanical and Aeronautical Engineering / MEng / Unrestricted

Le développement récent des Loisirs Motorisés Hors Route (LMHR) suscite une controverse et de vives réactions dans les milieux du sport et de la protection de l'environnement. Le phénomène est encore peu étudié, à la fois du fait qu'il est récent, que l'argumentation relève de plusieurs disciplines et que les loisirs motorisés, s'ils font partie sans problème de l'outdoor recreation nord-américaine, sont rejetés en France par les autres sportifs et ne sont pas reconnus de façon évidente comme relevant du domaine d'une discipline particulière.<p>Afin de combler un manque dans la littérature scientifique française, cette thèse vise à apporter une connaissance fine de la dynamique de la controverse – en tant qu'échange d'arguments génériques – et des conflits dont les LMHR font l'objet. Elle présente deux originalités majeures : sa thématique et son approche combinant les théories de l'acteur-réseau avec les outils de visualisation et d'analyse de réseau basés sur la théorie des graphes. Cette construction théorique et méthodologique visait à interroger les interrelations entre la controverse portée par des collectifs présents sur la scène nationale et les conflits et interactions sur le terrain. Pour cela, nous avons mené des enquêtes sur quatre scènes : la scène nationale (composée de collectifs pro et anti-motorisé, de Fédérations, de constructeurs, de gestionnaires et décideurs et d'élus) ; deux scènes locales conflictuelles où des démarches de gestion sont en cours (le PNR du Pilat et les Chambarans) ; une scène locale où aucun conflit n'est visible sur la scène publique (le canton de La Grave – Villar d'Arène).<p>Nos résultats montrent, que bien que la controverse trouve ses racines dans des conflits sur le terrain, il n'existerait pas de coprésence entre acteurs qui s'opposent. D'abord, en l'absence de conflit, la scène de La Grave apparaît déconnectée du reste du réseau. Ensuite, les détracteurs des LMHR se mobilisent dans la controverse mais ne cherchent pas directement à agir sur le terrain. Par contre, les défenseurs de la pratique s'impliquent, eux, aux deux niveaux. Enfin, les gestionnaires et agents de la police de l'environnement confrontés à la gestion des activités, nouent des liens sur le terrain et au niveau national, à la fois avec les défenseurs et les détracteurs des LMHR ; devenant parfois des acteurs-passerelles.<p>D'un point de vue théorique et méthodologique, les outils de visualisation et d'analyse de réseau ont montré leur intérêt dans le cadre d'une approche par l'acteur-réseau ; les perspectives apparaissent riches. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished