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Etude stratigraphique et structurale dela liaison Séolanes-Morgon (Ubaye) : son rôle dans la genèse de la zone subbriançonnaise

Maury, Patrick 01 February 1984 (has links) (PDF)
Le long de l'arc alpin, les relations du Subbriançonnals avec le Briançonnais ne sont pas toujours clairement établies en ce qui concerne lestransitions de faciés et la tectonique. On se propose donc d'étudier la paléogéographie subbriançonnaise , du Trias à l'Eocène , dans le secteur de l'Ubaye . Cette région présente trois groupes structuraux : l'un, "autochtone ", est constitué par lapartie arrière de la nappe de Digne, les deux autres sont des groupes de nappes: le groupe inférieur se compose des unités subbriançonnaises , auxquelles on s'intéresse, et de la nappe de l'Autapie; le groupe supérieur correspond à la nappe du Parpaillon. Tout d'abord, on caractérise la transition des faciès Séolanes (S) aux faciès Morgon (N) au sein d'une même unité tectonique: l'unité repère Cap-Peisséou. Les périodes - clefs sont le Dogger et le Malm. En y ajoutant les données recueillies dans l' unité des Séolanes au S et celles du Morgon au N, on peut mettre en évidence le caractère majeur de cette transition, par opposition d'une partie N où les séries sont fréquemment complètes et à caractère pélagique, à une partie S beaucoup plus lacunaire et d' ambiance de plate-forme néritique. L' histoire stratigraphique et paléotectonique permet un découpage en 4 étapes : - Trias-Lias moyen: sédimentation de plate-forme carbonatée à paléogéographie peu contrastée. - Lias supérieur-Oxfordien : opposition d 'un bassin septentrional et d'une zone lacunaire méridionale (noter un épisode néritique. au Jurassique moyen). - Malm-Néocomien: sédimentation carbonatée, mettant indéniablement en évidence le contraste morphologique créé à l' étape précédente par des différences de faciès. - Crétacé supérieur-Tertiaire : épisode détritique généralisé, puis sédimentation planctonique n'obéissant plus aux paléogéographies précédemment existantes. Au Tertiaire, nouvelle opposition entre le N (calcschistces gréseux) et le S (grès à grandes Nummulites) scellant une histoire tectonique complexe. On compare ensuite cette unité-repère à d'autres régions ,connues dans la Littérature, pour présenter des transitions de faciès analogues, en particulier les Préalpes Médianes (passages Plastiques Externes-Plastiques Internes), le secteur Gesso-Stura (passage Mt. Salé- C.Piconiera-Mt. Giordano) et la transition Provence-Dauphinois au niveau de la couverture du massif de l' Argentera-Mercantour. Ces trois secteurs, comparés étape par étape, à la zone-repère, ont montré des analogies (répartition des faciès et des zones d'érosion, enregistrement de paléotectoniques) telles qu'il est possible de prolonger la transition Dauphinois-Provence de l'Argentera aux Préalpes Médianes par l'intermédiaire d'une zone correspondant aux unités subbriançonnaises italiennes et de l'Ubaye. La nécessité d'événements géodynamiques pour obtenir le schéma actuel imposait qu'on se penchât sur l'histoire tectonique. Une analyse structurale a donc été effectuée dans la zone repère et son intégration dans l'histoire tectonique régionalc a permis de proposer une place dans le calendrier tectonique, pour deux événements majeurs : - un décrochement senestre subméridien actif du Crétacé (?) au Priabonien, avec une phase paroxysmale au Lutétien; - une phase de charriage oligocène (?). Ainsi présenté, le Subbriançonnais n'apparaît pas dans la paléogéographie alpine du Mésozoique. Sa répartition arquée serait issue d'une tectonique en vigueur dès l e Crétacé supérieur. Dans ces conditions, on peut se demander si la configuration arquée des domaines briançonnais et piémontais est fortuite ou bien en liaison avec une dynamique similaire.
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Etude du poinçonnement d'une série stratifiée par le déplacement d'une écaille chevauchante : exemples expérimentaux et naturels

Bonnet, Jean Luc 19 April 1983 (has links) (PDF)
La modélisation analogique effectuée consiste à déformer une couverture stratifiée (représentée par des feuillets de paraffine calibrés : niveaux compétents, séparés par un enduit degraisse aux silicones = niveaux incompétents) qui peut glisser sur son socle rigide, par un poinçon simulant une écaille (représentée par un bloc indéformable) et agissant soit par son déplacement dans le plan des couches, soit par son poids, perpendiculairement à celles-ci. Par nécessité de schématisation le rôle tangentiel du poinçon est séparé de son rôle gravitaire en deux expériences distinctes. Des règles de répartition des structures obtenues sont déduites de ces modèles contrôlés. Les résultats de la modélisation sont ensuite testés sur deux exemples de terrain. L'arc du front pennique valaisan, qui parait, cartographiquement, dû à un ecoulement entre les deux poinçons passifs du Mont Blanc et de l'Aar, ne peut pas en fait être interprété en termes de poinçonnement horizontal. C'est la surrection tardive des massifs bordiers qui provoque la forme arquée du front des nappes. L'arc du Jura correspond mieux aux résultats expérimentaux. Les structures analysées dans cette région semblent tout à fait compatibles avec un glissement et une déformation contrastée en zones concentriques, de la couverture sédimentaire sur son socle. La mise en mouvement serait due à la poussée vers le NW du Bassin molassique suisse, lui-même indéformé et déplacé sous l'influence des schevauchement crustaux alpins plus méridionaux. La confrontation des données expérimentales et de terrain permet de donner les règles utilisables pour déterminer si un ensemble de structures est bien le résultat du déplacement d'une écaille chevauchante agissant par poinçonnement de son avant pays. Les deux tests effectués sur le terrain montrent que ces règles sont réellement pratiques et discriminantes. Il en ressort qu'il est surtout important de distinguer entre les déformations situées au front du poinçon (forte amplitude des plis, déversements et chevauchements, structures imbriquées, extension perpendiculaire aux directions structurales axiales) et celles qui sont situées à son flanc (moindre amplitude des plis, extension parallèle aux axes, décrochement...) .

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