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La fonction de l'essai dans la demarche poetique de Fernand Ouellette /

Brassard, Denise, 1963- January 2001 (has links)
Focusing on the entire literary works of Fernand Ouellette, that is to say all the writings published in collections from 1953 to 2000, the present thesis studies the evolution of his poetical writing in comparison with his writing of the essay, from a perspective both philosophical (development and evolution of concepts) and rhetorical (poetics and the form of thought). A chronological approach allows to draw three stages within the evolution of his works: (1) the period of lightning (1955--1973), which is linked to the poetics of revelation; (2) the period of wandering (1974--1986), when the poetics of relation is developed; (3) the mask of the augur (1987--2000), when occurs the meeting of the poetics of revelation and relation. / Fernand Ouellette is one of the most important writers of his generation (the so-called generation of l'Hexagone) as well as of Quebec's literary history. Owing to romanticism and existentialism, he belongs to a humanistic and idealistic movement which advocates the total commitment of the artist. Alternately poet, essayist, autobiographer, biographer, literary critic and novelist, his production is remarkable not only because of its literary quality but also because of its intellectual and spiritual requirements. His works foster a filiation relationship with many artists and philosophers, mostly European. / Centered between the desire of unity which sees an absolute in poetry, and the need of uniqueness which commands to take part in history, Ouellette's literary production, from the very first titles, is articulated on a dynamics, initially dual and then dialogical, establishing a relation between the lyrical subject, literally poetic, and the dialectical subject, corresponding to the figure of the essayist. By his commitment to fiction and self-portrait, two forms that are both privileged not only in autobiography but also within the novel and literary criticism, a dialectic is gradually developed, putting side by side poetry and essay without confusing them; it is through this dialectic that the figure of the subject is allowed to take shape. The result is an open literary production in which the function of the essay is essential to the poetical drive forward, while writing, based on movement, is both present to the World and oriented towards a mystical quest.
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Action et errance : les essais de Fernand Ouellette

Bilodeau, François. January 1984 (has links)
No description available.
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La fonction de l'essai dans la demarche poetique de Fernand Ouellette /

Brassard, Denise, 1963- January 2001 (has links)
No description available.
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Action et errance : les essais de Fernand Ouellette

Bilodeau, François. January 1984 (has links)
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Roman postcolonial et quête identitaire du sujet féminin : l'exemple de Madeleine Monette et de Madeleine Ouellette-Michalska /

Lévesque, Cynthia, January 2006 (has links) (PDF)
Mémoire (M.A.) - Université du Québec à Trois-Rivières, 2006. / Comprend des réf. bibliogr. : f. [103]-108. Également disponible en formats microfiche et PDF. CaQTU
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La tentation de la lumière chez Fernand Ouellette /

Lever, Denise. January 1981 (has links)
No description available.
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La tentation de la lumière chez Fernand Ouellette /

Lever, Denise. January 1981 (has links)
No description available.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.

Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.

Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.

Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.

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