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Reconstitution dendroécologique de la fréquence et de l'amplitude des avalanches dans un vallon du Massif des Écrins, Alpes françaises

Lafond Desrosiers, Marianne 13 April 2018 (has links)
Dans. les régions montagneuses, les avalanches de neige exercent une influence majeure sur la structure et la composition du couvert végétal résultant en une fragmentation de l'espace forestier. En France, la dendrochronologie est encore peu utilisée pour la reconstitution du régime passé des avalanches, la plupart des études s'appuyant sur des données .cl' archive. Cette étude présente une chronologie des avalanches sur un versant forestier d'un vallon du Massif des Écrins (Alpes françaises) depuis 1880. Cette reconstitution repose sur l'étude de cinq couloirs d'avalanche. Elle -montre que 27 avalanches de grande amplitude ont affecté le versant depuis 1880, dont 23 entre 1950 et 2006. L'activité des avalanches a été la plus forte lors des hivers 1951, 1991 et 2001. Les arbres (mélèze d'Europe (Larix decidua Mill.)) ont colonisé l'ensemble du versant au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, autant dans les zones forestières que dans les couloirs actuels. L'analyse des conditions météorologiques locales met en évidence le rôle des précipitations de neige des mois de décembre et janvier dans l'activité des avalanches. Les avalanches ont contribué à la fragmentation de la forêt le long de trajectoires préférentielles. Le mélèze d'Europe se caractérise par une grande plasticité lui permettant de se maintenir dans les trajectoires d'avalanche. Les dommages répétés, comme le basculement ou la cassure de la tige, l'abrasion locale de la tige causant la destruction locale du cambium ou encore le déracinement des arbres, résultent en une diversité de formes de croissance . . Une classification a été développée dans le but d'illustrer la relation existant entre ces formes et le nombre d'avalanches ayant endommagé les arbres.
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Contribution à l'étude des laves spilitiques du massif du Pelvoux

Tane, Jean Louis 14 June 1962 (has links) (PDF)
Ce travail aborde l'étude des laves spilitiques du massif du Pelvoux ( Alpes françaises) à partir de la description de quelques gisements : - Rochail Grand Renaud - Grand Clot - Pic vert- têtes des Chétives - Rocher de palets-Neyrarel - Rocheray.
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Etude pétrographique de la partie orientale du massif des Ecrins-Pelvoux: le socle ancien - Alpes françaises.

Pecher, Arnaud 01 February 1970 (has links) (PDF)
Cette thèse fait partie d'un ensemble de 4 thèses réalisées en commun et consacrées à la géologie de la partie orientale du Haut Dauphiné cristallin. Elle traite de la pétrographie des gneiss et de la tectonique de la partie SE du Massif, et complète les thèses de C. Gillot-Barbiéri, A. Barbiéri et J.C. Lacombe traitant respectivement des gneiss très migmatitiques de la partie NE du massif, des granites intrusifs hercyniens et des faciès moins métamorphiques du Combeynot. Après une introduction sur l'état des connaissances sur le massif au moment du début de ce travail (partie commune avec les 3 autres thèses citées), la thèse aborde dans la deuxième partie la description pétrographique des gneiss et migmatites de la région Ailefroide-Pelvoux-Bans. Sur des critères cartographiques et pétrographiques trois ensembles sont distingués : les gneiss de Peyre Arguet, où un petit massif d'amphibolite à grenat est inséré au seins d'une série de gneiss "granulitique"; l'ensemble de Claphouse, comprenant des niveaux peu étendus d'amphibolites et des gneiss biotitiques passant localement à des faciès plus ou moins oeillés; l'ensemble Ailefroide-Pelvoux, se différenciant surtout du précédent par son épaisse couverture d'amphibolites rubanées. Un dernier chapitre traite des filons acides ou basiques tardi-heryniens, abondants dans cette zone. La troisième partie apporte des informations sur la chimie (éléments majeurs) et le métamorphisme de ces gneiss. Le métamorphisme apparaît comme polyphasé, l'empreinte métamorphique la plus forte étant marquée par l'association FK-sillimanite (quelques reliques de disthène dans les gneiss de Peyre-Arguet) et la migmatisation. La dernière partie concerne la tectonique de cette bordure Est du massif : tectonique post migmatitique hercynienne, pour laquelle les amphibolites de l'Ailefroide constitue un ensemble marqueur important; tectonique alpine, avec ses chevauchements et fractures bien visibles dans le socle cristallin, et ses plis dans la couverture. La conclusion propose une histoire du massif, qui aurait commencé dès le précambrien Note (2010) : Dans ce travail, fait avec les moyens et idées de l'époque, la cartographie et la description des différents ensembles semblent rester pertinentes. Certaines interprétations sont maintenant caduques ou dépassées, en particulier la signification des gneiss de l'ensemble de Peyre-Arguet (des éclogites rétromorphosées (?) et des blastomylonites à quartz en rubans), des gneiss des Bans (des orthogneiss que l'on peut rattacher aux massif de gneiss oeillés de Crupillouse), les hypothèses sur l'âge du métamorphisme et de la migmatisation, la signification des reliques trouvées ça et là de roches ultrabasiques serpentinisées, la sous estimation de la tectonique ductile post-hercynienne dans le socle,...
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L’orogenèse varisque dans les massifs cristallins externes de Belledonne et du Pelvoux (Alpes occidentales françaises) : rôle de la fusion partielle et du plutonisme dans la structuration de la croûte continentale / The variscan orogeny in the external crystalline massifs of Belledonne and Pelvoux (French Western Alps) : the role of partial melting and plutonism on the structuration of the continental crust

Fréville, Kévin 12 December 2016 (has links)
Dans le but de déchiffrer l’évolution tectono-métamorphique des massifs de Belledonne, des Grandes Rousses et du Pelvoux nous avons effectué une étude multidisciplinaire (Structures, pétrologies, géochronologies, géochimies, et isotopes radiogéniques). Les résultats obtenus permettent de reconnaitre six évènements tectono-métamorphiques responsables de la structuration de ce segment de la chaîne varisque. Le premier événement, Dx, correspond à un épisode de collision précoce et se produit vers ca.380 Ma. Il est responsable de l’obduction vers l’E du complexe ophiolitique de Chamrousse, ainsi que d’un métamorphisme de MP-BT. Vers 350 Ma, un évènement magmatique permet la formation de l’unité magmatique bi-modal de Rioupéroux-Livet. Entre 350 et 330 Ma, la mise en place de nappes vers l’E (D₁) se caractérisé par un métamorphisme barrovien. Cet événement est également responsable de la mise en place de nombreux granites liés à la fusion partielle de la croûte. L’évènement transpressif senestre D₂ se produit immédiatement après, vers 320-300 Ma. Il se caractérise par le plissement de la pile de nappes non migmatitiques, et par le développement d’une foliation verticale S₂. Dans la croûte partiellement fondue, il est marqué par une fabrique verticales (S₂), par des zones de cisaillements (C₂ et C’₂), qui s’organisent en structure de type S-C-C’. Synchrone à la déformation tardi-D₂ (305-300 Ma), l’événement D₃ est responsable de la formation d.une foliation plate (S₃) à la transition entre les migmatites et les roches non fondues. Les structures D₂ et D₃ sont interprétées comme étant relatives au fluage latéral de la croûte partiellement fondue. L’événement D₂ s’accompagne également de la mise en place de nombreux granites peralumineux, formés lors de la fusion partielle de la croûte. Enfin, l’intrusion d’un granite à cordiérite au Permien constitue le dernier évènement observé dans cette portion de la chaîne varisque. / In order to decipher the Variscan tectono-thermal evolution of the Belledonne-Pelvoux area we perform a multidisciplinary study (structural, petrology, geochronology, geochemistry and radiogenic isotopes). The results allow us to recognize six tectono-thermal events responsible for the building of the studied portion of the Variscan orogen. The first, Dx corresponds to an earlier collisional event at ca. 380 Ma that was responsible for the obduction of the Chamrousse ophiolitic unit toward the East and MP-BT metamorphism. At ca. 350 Ma, a magmatic event is responsible for the formation of the bi-modal magmatism of the Rioupéroux-Livet unit. Between ca.350-330 Ma an eastward nappe-staking event (D₁) responsible of a barrovian metamorphism occurred. It is coeval with the emplacement of numerous continental crust derived plutons. This event is followed at ca. 320-300 Ma by a D2 NW-SE directed shortening in a sinistral transpressive regime. This event is characterized by folding of the unmolten nappe pile and development of a subvertical S₂ foliation. In the partially molten crust, the D₂ event is characterized by the formation of steeply dipping S₂ and shear zones (C₂ and C’₂) organized as S-C-C’-like pattern. Coeval with the late-D₂ deformation (ca. 305-300Ma) a D₃ event responsible for the development of a flat laying S₃ foliation at the boundary between the molten and unmolten domains is documented. The late-D₂ and D₃ events are interpreted to be relative to the lateral flow of the partially-molten crust. The D₂ event is coeval with the emplacement of the manly Stephanian peraluminous granitoids, formed by melting of the continental crust. Finally, a Cordierite- bearing granite indicate the existence of a Permian magmatism.
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Etude pétrographique des schistes cristallins et des granites de la haute vallée du Vénéon (Massif du Pelvoux) - Alpes françaises

Özocak, Ramiz 01 July 1965 (has links) (PDF)
Ce travail descit les formations granitiques, gneiss de la vallée du Vénéon . Il en fait aussi une description tectonique ( 1965).
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Etude pétrographique de la partie orientale du massif des Ecrins- Pelvoux : les granites : aperçu sur la géochronométrie du massif. - Alpes françaises.

Barbieri, Alain 01 February 1970 (has links) (PDF)
Cette étude s'attache à étudier les granites du massif du Pelvoux , à les situer dans l'ensemble orogénique alpin .
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Les rapports des terrains cristallins et de leur couverture sédimentaire, dans les régions orientale et méridionale du massif du Pelvoux

Gidon, Paul 16 March 1954 (has links) (PDF)
Cette thèse comporte deux parties principales, intitulées respectivement Stratigraphie et Tectonique, la seconde étant volumétriquement et thématiquement la plus importante. 1/ Dans la partie Stratigraphie sont décrites les caractéristiques des terrains d'âge triasique, liasique, jurassique moyen, callovo-oxfordien et nummulitique. De nombreux affleurements y sont étudiés : des trouvailles paléontologiques permettent de préciser, voire de changer l'âge d'attribution de certains faciès, notamment de celui des "schistes jurassiques" qui s'avèrent être souvent oxfordiens. Les diverses modalités locales de la reprise de sédimentation du Nummulitique sont analysées et les causes de leur variabilité sont explorées. 2/ Dans la partie tectonique l'auteur commence par analyser, en deux brefs chapitres, consacrés respectivement aux failles et aux plis, les données antérieurement publiées sur ces types d'accidents tectoniques en les confrontant avec ses propres observations. Il critique notamment diverses vues d'auteurs antérieurs qui se basaient sur des indices tirés du relief pour en tirer des conclusions sur le rôle prédominant, selon eux, des failles verticales. Dans un troisième chapitre, de loin le plus important, intitulé "les synclinaux sédimentaires et la structure en écailles" l'auteur développe ensuite ses propres vues et ses interprétations. Il y expose les observations qui le portent à considérer que les terrains sédimentaires ne se contentent pas de garnir une surface du socle cristallin, supposée peu inclinée et dénivelée par les failles sub-verticales. Au contraire ces terrains sont souvent engagés dans d'étroites pincées descendant plus ou moins profondément, et avec des pendages plus ou moins forts, dans la profondeur du socle cristallin du massif et recouverts par de lames de socle cristallin chevauchantes, qualifiées d'"écailles". Pour ce faire il passe en revue, selon un plan géographique, les principaux secteurs sur lesquels ont porté ses recherches en détaillant les données nouvelles qu'il y a mises en évidence. l comporte deux parties principales, intitulées respectivement Stratigraphie et Tectonique, la seconde étant volumétriquement et thématiquement la plus importante. 1/ Dans la partie Stratigraphie sont décrites les caractéristiques des terrains d'âge triasique, liasique, jurassique moyen, callovo-oxfordien et nummulitique. De nombreux affleurements y sont étudiés : des trouvailles paléontologiques permettent de préciser, voire de changer l'âge d'attribution de certains faciès, notamment de celui des "schistes jurassiques" qui s'avèrent être souvent oxfordiens. Les diverses modalités locales de la reprise de sédimentation du Nummulitique sont analysées et les causes de leur variabilité sont explorées. 2/ Dans la partie tectonique l'auteur commence par analyser, en deux brefs chapitres, consacrés respectivement aux failles et aux plis, les données antérieurement publiées sur ces types d'accidents tectoniques en les confrontant avec ses propres observations. Il critique notamment diverses vues d'auteurs antérieurs qui se basaient sur des indices tirés du relief pour en tirer des conclusions sur le rôle prédominant, selon eux, des failles verticales. Dans un troisième chapitre, de loin le plus important, intitulé "les synclinaux sédimentaires et la structure en écailles" l'auteur développe ensuite ses propres vues et ses interprétations. Il y expose les observations qui le portent à considérer que les terrains sédimentaires ne se contentent pas de garnir une surface du socle cristallin, supposée peu inclinée et dénivelée par les failles sub-verticales. Au contraire ces terrains sont souvent engagés dans d'étroites pincées descendant plus ou moins profondément, et avec des pendages plus ou moins forts, dans la profondeur du socle cristallin du massif et recouverts par de lames de socle cristallin chevauchantes, qualifiées d'"écailles". Pour ce faire il passe en revue, selon un plan géographique, les principaux secteurs sur lesquels ont porté ses recherches en détaillant les données nouvelles qu'il y a mises en évidence.
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Dynamique actuelle et récente des Alpes occidentales internes. Approche structurale et sismologique

Sue, Christian 05 November 1998 (has links) (PDF)
La tectonique récente et actuelle de l'arc des Alpes occidentales internes est étudiée ici d'un point de vue structural et sismologique. L'approche pluridisciplinaire de ce sujet a permis de caractériser un régime tectonique tardi-alpin extensif à grande échelle dans les zones internes. L'analyse structurale et morphotectonique d'une zone cible, au sud-est du massif du Pelvoux, montre qu'une fracturation tardi-alpine extensive s'y exprime suivant un réseau de failles longitudinales et transverses à l'arc alpin. Cette déformation cassante est postérieure à la mise en place des nappes de charriage, à leurs plissements et aux schistosités associées, la dernière se développant au cours du Miocène. Elle se poursuit au Plio-Quaternaire, comme le montre un faisceau d'indices néotectoniques. Un jeu décrochant est postérieur au jeu normal ; il s'exprime par des mouvements dextres suivant les failles longitudinales et sénestres suivant les failles transverses. Le calcul des champs de contraintes associés (inversion des données microtectoniques) montre que les jeux normaux et décrochants correspondent à une seule « phase » tectonique globalement transtensive au cours de laquelle il y a permutation des axes de contraintes principaux. La zone cible fait partie de l'arc sismique briançonnais. Le calcul des mécanismes au foyer dans ce secteur établit que l'extension cassante tardi-alpine se poursuit actuellement. L'amélioration des localisations par l'utilisation de modèles de vitesses élaborés (1D/3D) a permis de montrer que plusieurs failles reconnues par l'analyse structurale sont sismiques. L'étude de la fracturation et les coupes sismotectoniques en arrière du front pennique crustal montrent que les failles normales se branchent sur cette discontinuité majeure de l'arc alpin, et suggère sa réactivation en détachement extensif. Les résultats d'une campagne de mesures GPS de 1996 dans la zone cible, comparés à des données IGN de 1972, sont compatibles avec les analyses sismotectonique et structurale. Ils mettent en relief une déformation plutôt décrochante, avec des vitesses de l'ordre de 3 à 4 mm/an. La déformation asismique dépasse 90% de la déformation totale déduite de ces mesures, durant le laps de temps considéré. L'élargissement de l'approche sismotectonique à l'ensemble des zones internes de l'arc alpin occidental montre que l'extension se développe au nord jusqu'au massif de l'Aar, et à l'est dans l'arc sismique piémontais. L'activité de ce dernier se localise à la bordure occidentale du corps d'Ivrée, laquelle fonctionne actuellement en faille normale. Le calcul du champ de contraintes actuel (inversion des solutions focales) permet de caractériser une extension radiale à l'arc alpin occidental dans une grande partie de ses zones internes. Elle entraîne la réactivation en extension des structures crustales majeures (front pennique crustal et bordure ouest du corps d'Ivrée). De part et d'autre de la zone en extension, le champ de contraintes est compressif (à l'est sous la plaine du Pô ; à l'ouest au front des massifs cristallins externes). L'extension affecte donc une zone de 400 km de long et de 50 km de large au coeur d'une chaîne en convergence. Une compétition entre des forces de volume dans la racine lithosphérique alpine et les forces aux limites de la chaîne (translation et rotation du poinçon apulo-adriatique) pourrait être à l'origine du contraste de régimes tectoniques mis en évidence dans l'arc alpin occidental. Nous proposons deux modèles dynamiques dans lesquels l'extension s'explique par le détachement ou le retrait d'un panneau lithosphérique plongeant sous la racine alpine.
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Tectonic and microfabric studies along the Penninic Front between Pelvoux and Argentera massifs (Western Alps, France)

Trullenque, Ghislain 02 February 2005 (has links) (PDF)
pas de résumé
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Les spilites potassiques triasiques de la bordure occidentale du massif des Ecrins Pelvoux ( Alpes françaises) : aspect volcanologique et problèmes de carbonatation.

Adline, Ghilaine 28 April 1982 (has links) (PDF)
le volcanisme alcalin triasique du massif des Ecrins Pelvoux est très ponctuel et se met en place dans un environnement marin sous forme de coulées et de pyroclastites ; l'activité volcanique se poursuit jusqu'à l' Hettangien inférieur en milieu marin plus profond. Les pipes et les dykes d'alimentation N 10 et N ont été observés dans des secteurs recouvrant les sédiments. L'absence de déformation aux épontes des dykes témoigne de l'ascension rapide d'un magma fluide dans des fissures largement ouvertes. Ce volcanisme typiquement alcalin présente un caractère hyperpotassique franc et sa spilitisation est marquée par les minéraux habituelsde la paragenèse basse température. Les seuls minéraux ferromagnésiens-relique sont des olivines, qui par leurs déformations internes et leurs inclusions de spinelles chromifères laissent supposer une origine à partir d'un magma issu de foyers de fusion partielle sous- jacents au niveau de la zone péridotitique . On note en revanche l'absence de reliques de pyroxène ;celle -ci pourrait être attribuée à une fusion congruente ou à tout autre déséquilibre dans les conditions physicochimiques du magma. Le caractère hyperpotassique de ce volcanisme est assez voisln de celui des laves shoshonitiques, mais il n'en a pas la même signification: il est à rattacher à un mécanisme de contamination lors de la traversée d'une épaisse croûte sialique, et en aucun cas à un mécanisme de subduction. Des variations irrégulières du chimisme sont observables à l'intérieur des coulées ; elles évoquent la vidange progressive, mais en un seul épisode d'un réservoir magmatique profond. Les dosages isotopiques réalisés sur des carbonates des sédiments , sur ceux inclus dans les coulées contaminées par les sédiments, et sur les carbonates disséminés dans les filons intrusifs permettent d'observer deux lignées évolutives convergentes depuis des pôles totalement opposés. On peut émettre par conséquent l'hypothèse de deux types de carbone d'origine différente dont l'une serait d'origine mantélique ; ce qui n'exclut pas une mobilisation hydrothermale posterieure. En conclusion. ce volcanisme est géodynamiquement à relier. - soit à la période de prerifting précédant l'ouverture de la future Téthys. - soit à des fissures d'extension résultant d'un système de décrochement dans une compression Nord-Sud, liée à un rejeu de fractures hercyniennes.

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