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Die Brüder Grimm und der Beginn der deutschen Philologie : eine Studie zu Kommunikation und Wissenschaftsbildung im frühen 19. Jahrhundert /

Bluhm, Lothar. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Sprach- und Literaturwissenschaften--Wuppertal--Universität-Gesamthochschule, 1996. / Bibliogr. p. 387-419. Index.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila January 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.

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