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Etude géologique de la suture tethysienne dans les Alpes franco-italiennes Nord-Occidentales de la Doire Ripaire (Italie) à la région de Bourg Saint-Maurice .(France)

Fudral, Serge 01 July 1996 (has links) (PDF)
Les matériaux des zones de sutures et des nappes ophiolitiques représentent les témoins essentiels des différents stades d'évolution des anciennes aires océaniques et de leurs marges. Cette étude présente l'analyse lithostratigraphique et structurale des divers constituants de la suture téthysienne d'une partie des Alpes franco-italiennes nord-occidentales. Il s'agit plus précisément de l'étude du complexe des Schistes lustrés le long de la chaîne frontière franco-italienne dans la région du Mont Cenis (régions de Suse, Italie et de Lanslebourg, France). Une partie du massif péridotitique de Lanzo (Nord de Turin), dans ses limites avec le massif de Sesia notamment, la klippe des Schistes lustrés du Mont Jovet (région de Moûtiers, France) ainsi que la zone valaisanne à la latitude de Bourg Saint Maurice ont aussi été analysées. Ce travail, essentiellement qualitatif, tient compte des données pétrologiques, métamorphiques et radiochronologiques connues. Les Schistes lustrés appartiennent à trois ensembles distincts d'unités lithostructurales. Les deux ensembles inférieurs, issus de la paléomarge européenne pour le plus bas et du paléodomaine océanique pour l'autre, comportent des calcschistes et des marbres caractérisés par un détritisme syn-orogénique d'origine mixte, océanique et continentale. L'importance de ce détritisme, en volume et en taille des éléments remaniés, ophiolitique ou non, décroît notamment des unités océaniques les plus basses vers les unités hautes. Bien qu'encore sujettes à discussion, les datations des vestiges fossiles ainsi que les intervalles radio chronologiques des métamorphismes convergent tous vers une seule conclusion: ces schistes lustrés appartiennent au Crétacé supérieur. Nous avons donc affaire à des flyschs néocrétacés. L'unité la mieux connue de l'ensemble supérieur, non reconnue sur notre secteur d'étude, est constituée exclusivement de métasédiments terrigènes dépourvus de clastes ophiolitiques, datés du Crétacé terminal [Deville, 1986]. Ces dépôts du Crétacé supérieur sont interprétés comme les conséquences sédimentaires de deux épisodes essentiels de la fermeture de l'océan téthysien, à partir du Crétacé moyen et durant le Crétacé supérieur. Les Schistes lustrés de la région de Lanzo et le massif péridotitique de Lanzo d'une part, les Schistes lustrés de la Klippe du Jovet d'autre part, s'intègrent sans difficulté dans le schéma précédent. Les premiers s'apparentent à ceux des unités océaniques les plus basses structuralement, les seconds à ceux des unités océaniques les plus hautes. Un modèle lithosphérique du massif de Lanzo est par ailleurs proposé, dans lequel ce massif n'est plus en relation avec le manteau apulien, comme cela était présenté jusqu'à maintenant. La zone valaisanne en France, dans la région de Bourg-Saint-Maurice est en dernier lieu réexaminée. Le Flysch valaisan repose stratigraphiquement sur les Roches vertes du Versoyen. Les microfaunes découvertes, qui complètent celles connues, imposent d'attribuer à ce Flysch un âge post-barrêmo-aptien. En outre, les Roches vertes sont considérées comme issues d'un domaine cratonique aminci et partiellement océanisé, localisé sur la bordure occidentale du domaine briançonnais. Si ce complexe essentiellement volcanogènique se met en place pendant le Crétacé, si l'âge du métamorphisme qui l'affecte, calé vers 60-70 Ma, est confirmé et si le Flysch a connu au même moment ces mêmes conditions métamorphiques, alors ce dernier est post BarrêmoAptien et aussi anté-Tertiaire, c'est-à-dire en définitive Crétacé supérieur. En conclusion, un modèle d'évolution de la suture téthysienne est proposé, tenant compte des données de la transversale étudiée.
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Etude Géologique du Massif du Ruitor ( Alpes Franco-italiennes) : évolution structurale d'un socle briançonnais.

Baudin, Thierry 08 July 1987 (has links) (PDF)
Cette étude structurale est fondée sur la cartographie au 1/10 000 du massif du Ruitor qui constitute le socle de la zone houillère briançonnaise (Alpes franco-Italiennes). Ce socle est constitué par une série gréso-pélitique à tendance grauwackeuse très proche de celle du Grand-Saint-Bernard, de Vanoise méridionale et d' Ambin. Dans ces métasédiments, sont tnterstratifiés ou injectés suivant les cas un complexe de roches vertes rubanées de nature tholéitique, une population d'orthogneiss oeillés d'origine anatectique et de rares niveaux kératophyriques. L'ensemble de ces roches a subi avant le carbonifère supérieur (« Houil[er ») une déformatlon et un métamorphisme de faciès amphibolitique puis schiste vert HT ou amphibolite BT bien que la paragenèse des roches acides, stable dans ces faciès, puisse être magmatique. Au Carbonifère supérieur, le Ruitor était sans doute très proche de la bordure orientale du bassin Houiller et soumis à une tectonique distensive qui a permis l'intrusion de filons ovarditiques stéphano-permiens. Pendant l'orogenèse alpine, outre le charriage des Sçhistes lustrés directement sur le socle, la tectonique se décompose en 5 phases majeures qui sont: D1, le pincement des Schistes lustrés, D2,D3 et D4. - D1 s'est déroulée sous des conditions de hautes pressions et a développé une forte structure linéo-planaire F1/L1 à glaucophane-clinozoïte jusqu'ici, uniquement repérable dans le socle. F1 est postérieur à une première génération de glaucophane. L1 est orienté NW-SE. L'âge de D1 par rapport au charriage et au pincement des Schistes lustrés demeure inconnu. Il pourrait être Crétacé sup. ou Eocène. - Le pincement des Schistes lustrés (synclinal d'Avise) entre deux blocs de socle résulte d'un rêtrochevauchement précoce (anté-mésoalpin) montrant un rejet minimum de 8 km. La pincée de Schistes lustrés a une forme en biseau ouvert vers l'Est dont l'axe de fermeture était initialement orienté N-S. Les pincées de Schistes lustrés du Val de Rhèmes et du Valsavaranche pourraient bien avoir une origine analogue. - La déformatlon plicative et cisalliante D2 a affecté l'ensemble des unités du Ruitor (y compris la pincée de Schistes lustrés) et a transposé tous les contacts et foliations antérieures. Le plissement P2, d'échelle plurihectométrique d'axe NNE-SSW et de vergence WNW a développé une structure linéo-planaire très pénétrative F2/L2 (L2 = WNW) qui constitue le débit principal de la roche. D2 s'est déroulée dans un faciès schiste vert, probablement mésoalpin (Eocène-Oligocène). Il est possible que D1 et D2 ne forment qu'une seule et même phase progressive sous des pressions sans cesse décroissantes. - Le plissement P3 ayant pour plan axial une crénulatlon S3, s'inscrit dans la structure d'un grand pli régional. Le Ruitor en forme le flanc supérieur et l'amorce de la charnière. L'axe général de P3 est NE-SW et la vergençe NW, mais certains plis mineurs P3 montrent dans l'Est du massif une orientation WNW. P3 est antérieur aux dernières cristallisations d'albite et serait par conséquent tardi-mésoalpin (Oilgocène inf.), Des structures d'extension (ECC) tardi-D3 indiquent un déplacement de matière vers le WNW et pourrait être associé à un dernier chevauchement majeur repéré dans le Houiller du col du Petit Saint Bernard. Le plissement P4, très tardif, ne forme qu'une vaste ondulation d'axe ESE-WNW à plan axial subvertical. Dans un dernier chapitre, on considère l'hypothèse ou, malgré les apparences, P3 constituerait le flanc Inverse d'un vaste pli de rétrocharriage. L'orientation initiale des structures antérieures serait alors : P2: ENE-WSW et vergence NNW et l'axe de fermeture des Schistes lustrés E-W ; la pincée serait ouverte vers le Nord, ce qui éliminerait l'hypothèse développée dans ce travail, du rétrochevauchement précoce (anté-D2).
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Etudes géologiques dans les zones internes des Alpes cottiennes méridionales

Michard, André 07 June 1966 (has links) (PDF)
Les pages qui suivent présentent une étude de géologie régionale. - Aussi bien, cette étude comporte-t-elle des aspects variés: stratigraphie - avec quelques études paléontologiques, personnelles ou en collaboration; pétrographie débouchant, d'une part, sur la sédimentologie, d'autre part, sur l'analyse du métamorphisme; tectonique enfin ou plutôt, en même temps. En effet, dans une telle zone, il est nécessaire d'aborder le système d'équations par tous ses aspects à la fois, pour espérer en éliminer quelques inconnues. Etude de géologie régionale, elle a été abordée avec les moyens classiques de la géologie, et avant tout, par un lever au 1/ 10000 (sur agrandissement-de l'excellent 1/25 000 topographique italien). Quelques 400 lames minces ont été étudiées, dont la moitié pour leurs Dasycladacées. Des fossiles ont été dégagés à l'acide de leur gangue dolomitique et déterminés, d'autres confiés à des collègues paléontologistes. Les minéraux ont été étudiés optiquement - sauf quelques-uns} confiés à des spécialistes. Donc, étude mixte, ayant abordé des domaines variés et réclamant encore, j'en suis conscient, bien des compléments (minéralogie approfondie et micro-structurologie, notamment). Son objet? Une parcelle des Alpes occidentales internes et, à travers elle, une partie un peu plus vaste de la Zone la plus interne des Alpes Cottiennes, ou Zone piémontaise. La carte schématique permettra au lecteur non familier de ces régions de localiser immédiatement le sujet: le sud de la Zone piémontaise, dans ses rapports avec la Zone briançonnaise s. L, en province de Cuneo. La zone relevée, qui s'étend dans les Vals Varaita, Maira et Grana, essentiellement, présente des privilèges et des tares, par rapport aux autres parties de la Zone piémontaise (Nord des Alpes Cottiennes, Alpes Graies). Ses privilèges découlent, d'abord, de la présence d'une forte semelle de Trias calcarodolomitique sous les "Schistes lustrés" de la zone piémontaise. Elle a déterminé un style structural relativement lisible, d'une part. D'autre part, contre les méfaits du métamorphisme alpin, elle a protégé les fossiles qu'elle contenait et, peut-être même, ceux des terrains susjacents. Cette dernière idée est, sans doute, hypothétique : toujours est*il que c'est le seul endroit où les " Schistes Lustrés " contiennent tant d'Ammonites (abondance, on le verra, très relative !). Ses tares lui ont été infligées, au contraire, par les évènements de la fin du Néogène: je veux parler des effondrerments plio-quaternaires qui tronquent les unités vers l'Est - désastre déjà amorcé au Néogène inférieur et, même, à l'Oligocène supérieur et qui obscurcit à jamais, ici, les rapports Alpes-Apennins. En outre, les Interglaciaires quaternaires virent se réaliser la couverture terreuse alluviale et l'altération si gênantes dans toutes les basses vallées.
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Evolution métamorphique et structurale des métapelites océaniques dans l'orogène alpin : l'exemple des schistes lustrés des Alpes occidentales (Alpes Cottiennes)

Agard, Philippe 18 January 1999 (has links) (PDF)
Cette étude s'est interessée à l'évolution tectono-métamorphique des schistes lustrés dans le cadre de l'orogène alpin, et à l'évolution pétrographique de détail de ces métapélites. Les conditions métamorphiques déterminées croissent de manière régulière d'ouest en est sur le secteur étudié de 13-14 Kbar / 350\c a 20-21 Kbar / 450-500\c, respectivement. Deux étapes principales d'exhumation, de vergence opposée, sont distinguées. La première, responsable de l'essentiel de l'exhumation des schistes lustrés, est une phase de déformation ductile à vergence est, s'effectuant du faciès schiste bleu au faciès schiste vert. La deuxième phase se marque par la présence de bandes de cisaillement à vergence ouest, espacées à l'échelle du terrain, témoins d'une extension en regime ductile-cassant dont l'intensitè croit vers l'est tout en perturbant peu la zonation métamorphique - elle resulterait des grands bouleversements tertiaires se produisant à l'arrière de la chaine vers 40-35 ma. Une approche integrée des paramètres p-t / deformation / interaction fluide-roche à l'echelle métrique est developpée grâce au référentiel pétrographique que constitue la carpholite. Lors du chemin rétrograde, il est en particulier possible de rendre compte de manière conjointe de l'adaptation de la composition des phengites (contenu en k de 0.9 a 0.6 pfu), des bilans de matière déduits des réactions rétrogrades (20 a 30 mol% d'eau libérée), de la variation de composition de la phase fluide (de 15 a 4 WT% NaCl). L'évolution pétrographique résulterait ainsi au premier ordre d'une équilibration à l'échelle locale, et souligne la validité d'indicateurs métamorphiques tels que les phengites, les pseudomorphoses ou les veines syn-métamorphiques. La quantité d'eau stockée à haute pression et leur position centrale dans l'orogène, suggèrent par ailleurs que ces métapélites ont pu jouer le rôle de tampon et d'échangeur de fluides à grande échelle.
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Etude géologique de la partie française du massif du Grand Paradis ( Région de Bonneval sur Arc, Vanoise orientale)

Bertrand, Jean Michel 02 February 1966 (has links) (PDF)
Ce travail concerne la géologie de de la région de Bonneval sur Arc replacée dans l'ensemble du massif du Grand Paradis. Les éléments structuraux, la pétrographie, le métamorphisme , la tectonique sont abordés.
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La lithosphère océanique de la Téthys ligure : etude du magmatisme et des minéralisations associées dans les ophiolites du Queyras ( zone piémontaise des Alpes occidentales)

Saby, Patrick 09 December 1986 (has links) (PDF)
Les unités ophiolitiques du Queyras (zone Alpes occidentales) représentent des petits massifs de roche vertes dispersées dans les Schistes lustrés piémontais à l'Ouest du Mont Viso. Leur étude permet de reconstruire la structure du substratum d'une partie du segment ligure de la Téthys. Bien que de nombreuses observations de terrain conduisent à envisager une coupure majeure entre la mise en place des ultramafites et gabbros associés et l'épanchement des basaltes, l' analyse pétrographique et géochimique permet de conclure à un assemblage cohérent et comparable avec d'autres massifs ophiolitiques de l' Apennin et de la Corse. Les résultats obtenus soulignent le caractère tholéïtique de la lignée magmatique à l'origine des matériaux basiques, intermédiaires et acides des différentes unités. La typologie des zircons conforte cette hypothèse au niveau des roches acides. La répartition des éléments inertes, Y, Ti, Zr, Nb, montre les liens cogénétiques entre les matériaux basiques et les différenciats acides. La nature du fractionnement ainsi que l'estimation du degré de fusion partielle suggèrent une mise en place dans un environnement géotectonique à caractère transitionnel avec océanisation à proximité de marges continentales passives, ainsi qu'un magmatisme analogues à ceux à l'origine des ophiolites de la Méditerranée occidentale (magmatisme de type I). Les éléments de granitoïdes d'une brèche sédimentaire localisée à l' interface ultramafites-laves, se caractérisent par un cachet calcoalcalin et permettent d'envisager la proximité d'une croûte continentale dont le démantèlement a vraisemblablement été contemporain des stades précoces de l'ouverture de l'océan ligure. Les circulations hydrothermales liées à ce contexte océanique sont responsables des processus de spilitisation et des minéralisations localisées à l'interface substratum océanique / sédiments: le gîte Fe/Cu de Viafiorcia (Val Germanasca, Italie) en est un exemple.
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Contribution à l'étude de la déformation de la paléomarge téthysienne dans les Alpes occidentales. Analyses tectoniques et microtectoniques dans la zone des brèches de Tarentaise ( région de Moutiers) et dans les schistes lustrés du Mont Jovet . Alpes françaises

Lu, Chia Yu 03 September 1985 (has links) (PDF)
Ce travail intéresse la zone des Brèches de Tarentaise, ainsi que la klippe des Schistes lustrés du Mont Jovet, dans la région de Moûtiers (Alpes occidentales françaises du Nord). Il repose sur l'utilisation simultanée de trois méthodes d'étude: l'analyse géométrique des structures,l'analyse quantitative de la déformation et la modélisation expérimentale. 1- analyse géométrique des structures A l'échelle de la carte géologique à 1/25.000, on montre que: - d'une part la"zone des Brèches de Tarentaise", dans la région de Moûtiers, appartient à un couloir de fracturation, tardif par rapport aux structures plicatives générales polyphasées. Ainsi le découpage paléogéographique ne peut en aucun cas être superposable au compartimentage tectonique actuel ; - d'autre part, la klippe des schistes lustrés du Mont Jovet, ainsi que son coussinet gypseux de base, sont conservés à I'intérieur d'une zone effondrée, orientée sensiblement N-NE - S-SW et faite de plusieurs blocs juxtaposés. A l'échelle des méso et des micro-structures: - l'analyse des stries (par la méthode des dièdres droits) essentiellement développées sur les failles des niveaux gréseux du Carbonifère de la zone houillère briançonnaise, autochtone relatif de la klippe du Jovet, révèle des diagrammes en raccourcissement par décrochement. La direction de contraction s'avère sub-horizontale et proche de N 120° Est. On notera que le sens de mouvement des failles de la région de Moûtiers est compatible avec cette direction ; - l'analyse des figures d'interférence de plis, dans les deux régions, met en évidence trois phases de plissements synschisteux et le caractère progressif de la déformation en regime de cisaillement, de la phase (2) à la phase (3). Des plis en fourreau peuvent s'individualiser au çours de la phase (2). 2 - L'analyse quantitative de la déformation. Dans le flysch de la zone des Brèches de Tarentaise de la region de Moûtiers, l'étude de la croissance des fibres développées dans les fractures d'extension pendant ou juste après la déformation synschisteuse (2 et 3), indique un taux d'extension variant entre 40 et 45% selon la direction N 30°. Dans les schistes verts et violets du Permien de la même zone, l'ellipsoïde de déformation correspondant à la phase (2), est allongé en forme de cigare selon la direction XZ, parallèlement aux axes de plis P2, et la déformation est de type constrictif. Par la méthode de Fry on obtient les rapports suivants, pour cet éllipsolde : X/Z = 9,8 et Y/Z = 1,5. 3°/ La modélisation analogigue. Les essais réalisés en régime de cisaillement simple global, et en regime de cisaillement pur, confirment les processus de la déformation progressive et la formation des plis actifs.
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Etude métallogénique du val d'Aoste (Italie) : essai de valorisation des ressources minières par les méthodes de prospection géophysique, géochimique ou alluvionnaire

Dousset, Pierre Edouard, Tollardo, Jean Yves 25 September 1981 (has links) (PDF)
Depuis 1946 aucun travaux de géologie minière ne furent entrepris dans le Val d'Aoste en dehors des gisements de fer de Cogne (Val Grand Eyvia) et d'anthracite de La Thuile (Val Ruitor) . Aussi nous pouvons espérer apporter dans notre étude régionale des résultats nouveaux susceptibles d'interesser la Région sur ses ressources minières. Les moyens techniques dont nous disposons actuellement permettent de pousser les investigations plus loin que cela n'était possible jusqu'à ces dernières années . Notre rôle est d'adapter ces moyens aux conditions alpines . L'emploi des méthodes géophysiques légères (polarisation spontanée et magnétométrie) permet de localiser les prolongements possibles de l'ancien gisement stratiforme de plomb-zinc de Promise (Val Ruitor) La géochimie intégrée dans plusieurs orientations permet : - de mettre en évidence les différences métallogéniques entre les gisements de fer de la zone du Combin (Cogne) et de la zone Zermatt-Saas-Fee ; - de rechercher les métaux rares (or, platinoïdes .,. ) dans les roches vertes et ses gisements associés ( Petit-Monde, . .. ) ; ' de déceler des amas minéralisés cachés par l'étude des sols (Promise) - d'établir un inventaire minéralogique par l'étude des stream sediments accompagnée de l'étude des batées. Cet inventaire minier appuyé par une reconnaissance des anciens gisements, s'accompagne de l'étude des conditions qui leur ont donné naissance. Elle devrait servir à la valorisation des indices connus et à la découverte d'autres gisements
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Géologie de la bordure SW du massif d'Ambin (Alpes occidentales) : lithostratigraphie des séries mésozoïques, analyse tectonique et modélisation de la déformation

Allenbach, Bernard 26 November 1982 (has links) (PDF)
A la bordure SW du massif d'Amnin, six séries lithostratigraphiques mésozoïques sont différenciées : - la couverture autochtone des terrains siliceux antétriasiques (ulbrabriançonnaise), - deux séries parautochtonesriches en brêches chaotiques (affinités ultrabriançonnaises), - deux séries de Schistes lustrés contenant à la base des brèches dolomitiques, terminées par des olistolites de roches vertes (piémontaises externes), - des Schistes lustrés ophiolitifères (piémontais internes), L'individualisation nouvelle des séries parautochtones précise la transition paléogéographique entre les domaines briançonnais interne et piémontais externe. L'évolution tectonométamorphique est reconstituée à partir du dénombrement des générations de structures synschisteuses et de la géométrie des contacts anormaux successifs, Afin de quantifier la déformation de ces séries dépourvues de marqueurs classiques, une modélisation mathématique (sous forme matricielle) de la déformation des linéations autour des plis mineurs, est simulée par ordinateur.
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Géologie des unités de Vanoise septentrionale et méridionale de Pralognan à Tignes (Alpes de Savoie)

Broudoux, Bruno 28 May 1985 (has links) (PDF)
Cette étude lithostratigraphique, géochimique,et structurale est basée sur la cartographie à 1/10 000 des unités briançonnaises de la limite Vanoise septentrionale et méridionale, et des nappes de la Grande Motte, des gypses et des Schistes Lustrés, entre Pralognan-la-Vanoise et Tignes. LITHOSTRATIGRAPHIE - Les unités de Vanoise septentrionale contiennent selon les cas 1) des séries exclusivement triasiques. carbonatées, adhérentes ou non sur leur substratum; 2) des séries pour l'essentiel triasiques et carbonatées, avec des termes post-triasiques très réduits; 3) des séries carbonatées complètes ou réduites allant des cargneules du Werfénien supérieur aux schistes de Pralognan éocènes ; 4) des séries de type Acceglio MaIm transgressif sur Werfénien). - Les unités de Vanoise méridionale renferment : 1) des séries carbonatées, complètes ou réduites 2) des séries de type Acceglio. En Vanoise méridionale et Vanoise septentrionale, une sédimentation de plateforme carbonatée s'installe, lors du Trias moyen, sur la pénéplaine épivarisque. Ces dépôts sont interrompus par une tectonique cassante distensive soit au Carnien inférieur, soit au Lias-Dogger inférieur. L'érosion plus ou moins importante des panneaux basculés précède la transgression généralisée du Jurassique moyen à supérieur, et la subsidence conduit à des faciès pélagiques à la fin du Malm. Après lacune du Crétacé inférieur, la sédimentation pélagique. condensée et lacuneuse, donne des dépôts actuellement représentés par les marbres chloriteux. entrecoupés de hardground (encroutement). A l'Eocène moyen - supérieur, des apports détritiques notables (ce sont les schistes calcaro-qréseux de Pralognan) clôturent les dépôts sédimentaires en Vanoise. - La nappe de la Grande Motte (des dolomies noriennes aux schistes éocènes) se caractérise par la présence d'un Rhétien - Hettangien d'affinité prépiémontaise s'amincissant d'Est en Ouest, et par celle d'un Lias moyen à supérieur dit prépiémontais , constitué de calcschistes à zones siliceuses. - Surmontant une semelle riche en gypses et cargneules (nappe des Gypses) , la nappe des Schistes Lustrés débute par des métabasites jurassiques s.l. et peut monter dans le Crétacé moyen-supérieur ? TECTONIQUE - L'édifice structural est très complexe, avec une tectonique polyphasée et polymétamorphique. On peut schématiquement distinguer quatre événements tectoniques : pré D1 : déplacements majeurs des nappes au N, ou NW, avec écaillages localisés D1 : grands plis couchés transverses, synmétamorphiques, d'axes E-W qui localement seraient à vergence sud sur la limite Vanoise septentrionale - méridionale ; D2 : plis méridiens synmétamorphiques, déversés généralement à l'Est (et rarement A l'Ouest), marquant la phase de rétrocharriage. Le métamorphisme est plus faible et se marque par une rétromorphose D3 : plis NE-SW synschisteux déversés au SE ou au SSE. Des bombements tardifs dus à la remontée du socle, et des fractura tians achèvent l'édifice. En conclusion, une reconstitution paléogéographique est proposée et l'on tente d'en montrer l'évolution par étapes du Trias à l'Eocène.

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