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"Nous sommes tous rebelles syriens" : l'indexation médiatique des quotidiens Le Monde, Libération et Le Figaro dans le cas du conflit syrien

Rembert, Mélanie 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux liens qui existent, en France, entre les médias et les autorités politiques, et cherche à savoir si la presse française, représentée par Le Monde, Libération et Le Figaro, a ajusté son discours à celui de ces autorités dans le cas du conflit syrien. Il transpose l’hypothèse de l’indexation de Bennett (1990) aux médias français pour déterminer si elle aurait pu prédire leur comportement quant à ce conflit. Partant du postulat que les autorités françaises ont toujours adopté un discours unique positif envers l’opposition modérée et négatif envers le régime syrien, les hypothèses testées via une analyse du contenu de ces quotidiens sur la Syrie entre 2011 et 2014 ont fait ressortir deux conclusions : la couverture médiatique analysée a été très homogène et similaire au discours des autorités françaises; généralement, les quotidiens se sont plus inspirés des témoins directs du conflit que des autorités françaises.
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La résurgence de la Russie dans la région du Moyen-Orient : le cas de la crise syrienne de 2011

Andrieux, Thomas 09 August 2019 (has links)
Ce projet traite du rôle joué par la Russie dans le conflit syrien. Il a comme objectif principal de documenter les diverses raisons qui motivent la Russie à s’être impliquée politiquement et militairement dans un conflit pourtant loin de ses frontières. En outre, il permettra aussi de renseigner sur la place qu’occupe la Russie au sein de la dynamique géopolitique du Moyen-Orient. Ce projet de maîtrise met en relation plusieurs thématiques rarement abordées dans le cadre de recherches en sciences géographiques, lui donnant un degré d’originalité fort pertinent du point de vue scientifique. La Russie s’est toujours positionnée du côté du régime depuis le début des protestations et a catégoriquement condamné toute intervention extérieure, perçue comme de l’ingérence visant à déstabiliser un régime souverain et légitime. Trois thématiques évoquées à de multiples reprises dans les médias de masse ainsi que dans certaines publications comme étant les facteurs qui expliqueraient les motivations de Moscou ont été reprises et analysées. Historiquement parlant, la Russie et la Syrie n’ont pas des liens assez forts pour expliquer un soutien aussi important tout au long du conflit. Le commerce de l’armement n’est pas non plus un facteur d’importance car Moscou vend ses armes en quantités beaucoup plus importantes à la Chine, au Vietnam et à l’Algérie. La base navale de Tartous, souvent citée dans la presse, n’est qu’un héritage soviétique et à peine en état de fonctionner. Ne disposant pas de la capacité de gérer des opérations navales depuis Tartous, Moscou se sert de cette base comme d’un simple point de ravitaillement. Le terrorisme en Russie existe depuis longtemps mais le conflit syrien aura une faible incidence sur l’intégrisme domestique. L’effet à en fait été contraire, dans le sens que l’exode de combattants russes vers la Syrie a fait chuté le degré de violence dans certaines régions du Caucase du Nord. La Russie se serait plutôt positionnée de la sorte en Syrie pour rétablir son influence dans la région et paver la voie vers un multilatéralisme intégrant des États influents au sein de la dynamique régionale du Moyen-Orient. / This project analyses the role played by Russia in the Syrian conflict. This project primary objective is to investigate the various reasons that motivates Russia to be implicated militarily and politically in a conflict that is far away from its own borders. In addition, this project will allow the reader to be better informed about Russia’s present place in middle eastern geopolitical dynamics. This master’s degree project puts in relation many themes that are rarely addressed in geographical studies, giving it a degree of originality that is highly relevant in contemporary scientific studies. Russia has always positioned itself besides the Syrian regime since the beginning of the population uprising in 2011. It has also condemned any exterior intervention, perceived as a way to destabilize a legitimate and sovereign regime. Three main recurring themes, described as explaining Russia’s actions in Syria, found many times in mass medias and in certain publications, were analyzed. Historically speaking, Russia and Syria don’t have strong enough relations that could explain why Moscow is showing such a strong support for the regime in place. The Russian weapon’s trade with Syria isn’t important enough either; Russia sells bigger volumes of weaponry to China, Vietnam and Algeria. The Russian naval base located in Tartus, cited many times in the medias, is nothing else but a soviet heritage that can only manage to maintain basic resupply functions. As it has no command and control capabilities, Moscow is only using these floating piers as a logistical asset in the conflict. Terrorism in Russia exists since a long time but the Syrian conflict will have a reduced impact on domestic radicalism. The effect was quite the opposite of what was expected; the migration of Russian fighters towards Syrian battlefields lowered the percentage of violent and armed crimes in certain regions of the North Caucasus. Russia adopted its stance in Syria to re-establish its influence in the region and to pave the road for a dynamic of multilateralism in the Middle East that would integrate key states that are influent in the region.
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Migration et classe sociale : trajectoires d'exil de réfugiés syriens réinstallés au Canada

Ouellet, Myriam 22 October 2018 (has links)
Depuis sa violente éruption en mars 2011, le conflit syrien a généré près de 12 millions de sinistrés, ces derniers ayant quitté leur foyer dans l’espoir de trouver refuge ailleurs. Parmi eux, 6,3 millions de déplacés internes et 5,3 millions enregistrés hors de la Syrie ; la majorité étant toujours présente dans les pays frontaliers incluant la Turquie, la Jordanie et le Liban. Ce mémoire porte sur les trajectoires migratoires de ces réfugiés syriens exilés au Moyen - Orient et ayant pu accéder à une réinstallation au Canada. Bien que certains travaux s’étant intéressés aux trajectoires d’exil de réfugiés aient mobilisé la notion de classe sociale, très peu se sont directement intéressés à l’influence de cette dernière sur le processus migratoire en lui-même. Or, des travaux récents ont réitéré l’importance de la prise en compte de la classe sociale dans l’analyse des trajectoires migratoires en démontrant comment celles-ci s’avéraient largement dépendantes des ressources mobilisables par les migrants – notamment économiques et sociales. Ainsi, ce projet s’intéresse à l’influence de la classe sociale sur les trajectoires d’exil de réfugiés syriens réinstallés au Canada et propose d’analyser dans quelle mesure l’appartenance à une certaine classe sociale, en termes d’accès différencié aux divers types de capital – économique, social, culturel et symbolique — influence ces trajectoires. Les résultats de notre étude démontrent, dans un premier temps que, lors de la migration vers le premier pays d’accueil, l’accès aux ressources influence positivement les trajectoires d’exil de manière à favoriser la classe privilégiée. Cependant, lors du processus de réinstallation vers le Canada, les résultats supposent une logique divergente, alors que contrairement à ce qui fut observé au préalable, uneplus grande vulnérabilité, caractérisée par un accès limité aux ressources, influence inversement les trajectoires d’exil de manière à favoriser la classe précarisée. / Since its outbreak in March 2011, the Syrian conflict has displaced more than 12 million individuals, who found themselves leaving their homes to seek refuge elsewhere. Among these people, 6.3 million are internally displaced and 5.3 million have left Syria, mostly for Turkey, Jordan and Lebanon. This paper explores the migration trajectories of Syria n refugees exiled in the Middle East and granted access to a resettlement program in Canada. Although some studies on refugee trajectories have mobilized the notion of social class, very few have taken a direct interest in its influence on the migratory process itself. Recent research reiterated the importance of considering social class as a variable in the analysis of migration trajectories by showing how the choice of itinerary seems to be dependent on the migrants’ resources, notably their economic and social resources. Thus, this project is looking at the impact of social class on the exile trajectories of Syrian refugees that resettled in Canada and proposes to introduce the analysis of social class in terms of access to different forms of capital — economic, social, cultural and spatial — and how belonging to a certain social class influences these trajectories. The results of our study show that, initially, during the migration to the first host country, access to resources influences positively the trajectory and experience of Syrians in exile in such a way that it favors individuals belonging to more privileged social classes. However, with regard to the process of resettlement in Canada, the results suggest the opposite. In fact, it is a greater vulnerability, characterized by limited access to resources, that inversely influences the trajectories of exile so as to favor the individual belonging to a more precarious class.

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