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Le fonctionnement social et les stratégies d’adaptation utilisées par les adultes ayant un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité

Vaillancourt, Madeleine January 2015 (has links) (PDF)
La majorité des études réalisées en ce qui concerne le Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ont été menées auprès d’enfants et d’adolescents aux prises avec cette problématique. Alors que nous avons longtemps pensé que le TDAH était spécifique aux enfants, on sait maintenant que ce trouble perdure dans la vie adulte chez une bonne proportion d’individus. Si les conséquences du TDAH ont été bien documentées en ce qui concerne les enfants, elles le sont beaucoup moins pour les adultes touchés. Dans le cadre de ce mémoire, nous nous sommes préoccupés de ces conséquences. Cette étude s’est intéressée au fonctionnement social, de même qu’aux stratégies d’adaptation utilisées par les adultes ayant un TDAH. De façon plus spécifique, cette étude visait à : 1. Décrire les principales répercussions du TDAH au plan du fonctionnement conjugal, familial, scolaire, social et socioprofessionnel. 2. Décrire les facteurs qui facilitent et nuisent au fonctionnement conjugal, familial, scolaire, social et socioprofessionnel. 3. Décrire les défis auxquels les adultes ayant un TDAH sont confrontés au quotidien. 4. Décrire les stratégies d’adaptation utilisées par les adultes ayant un TDAH pour faire face aux difficultés de fonctionnement rencontrées. Pour ce faire, une étude qualitative exploratoire, menée auprès d’un échantillon de huit personnes atteintes du TDAH a été menée. Ces volontaires, qui devait être âgé de plus de 25 ans et avoir un diagnostic du TDAH ont été recrutés à travers divers organismes communautaires de la région du Saguenay—Lac-St-Jean. Ils ont par la suite été conviés à participer à une rencontre, d’une durée approximative de 120 minutes, à l’intérieure de laquelle : a) trois questionnaires ont été administrés et b) une entrevue semi-dirigée a été menée. Les résultats de l’étude démontrent jusqu’à quel point le TDAH a des répercussions sur le fonctionnement social des participants, et ce, sur l’ensemble des sphères de vie concernées (conjugale, familiale, sociale et socioprofessionnelle). La connaissance et la compréhension du TDAH ont été des facteurs importants pour l’acceptation et la divulgation dans les réseaux sociaux et la coopération pour faire face aux difficultés dans les sphères de vie. Les participants dont le TDAH était plus sévère ont rencontré davantage de difficultés de fonctionnement dans la gestion de la maisonnée, la gestion des finances, l’encadrement et l’établissement des routines. Le soutien du conjoint a été la stratégie, le moyen, le plus efficace pour compenser les déficits des participants. Nos principales conclusions sont : 1) l’importance de la connaissance et la compréhension de la problématique du TDAH pour l’acceptation et la divulgation du TDAH ; 2) l’importance du faire avec l’autre (et non du faire à la place de l’autre) pour la prise en charge du TDAH par la personne atteinte ; 3) la sévérité du TDAH est un important facteur du dysfonctionnement familial ; 4) la conscience intériorisée des éléments sous-jacents au TDAH est l’un des principaux facteurs dans l’applications des stratégies efficaces pour compenser les déficits du TDAH.
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Outils d’encadrement et règles parentales de contrôle de l’usage des nouvelles technologies par les adolescents

Maltais, Nicolas 10 1900 (has links) (PDF)
La place que prennent les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) au sein du tissu social contemporain est un élément d’une grande complexité à mesurer en raison de sa présence désormais banale dans une infinie variété de domaines. Chez les jeunes, groupe utilisant le plus les NTIC, cette omniprésence soulève les inquiétudes des parents, intervenants et chercheurs dans les domaines socio-éducatifs. Les NTIC bouleversent le développement des enfants et des adolescents et les parents, utilisant leur propre expérience pour élever leurs jeunes, ont peu de points de repère pour encadrer l’utilisation de ces technologies. Cette étude qualitative dresse un portrait actuel et localisé dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, des connaissances et de l’utilisation des NTIC par les parents ainsi que des règles et outils d’encadrement qu’ils utilisent pour contrôler l’usage qu’en font leurs adolescents. Pour ce faire, des entretiens semi-dirigés ont été effectués auprès de dix parents d’adolescents âgés de 12 à 17 ans. Pour la recherche de résultat, la perspective systémique a été utilisée tandis que la théorie des styles parentaux a permis d’examiner les règles et outils énumérés par les parents. Dans un premier temps, cette recherche s’est attardée à explorer les problématiques pouvant survenir lors de l’utilisation des NTIC, la connaissance des parents par rapport à celles-ci et leur présence ou absence dans la vie des jeunes. Si les parents ont connu dans leur jeunesse l’intimidation et l’hypersexualisation, force est de constater que ces problématiques ont évolué drastiquement entre hier et aujourd’hui. En revanche, d’autres comme la cyberdépendance et les brèches de sécurité informatiques sont complètement nouvelles. Les parents rencontrés ont pour la plupart une connaissance au moins superficielle des problématiques, et bien que celles-ci apparaissent parfois chez les jeunes, la situation est sous-contrôle à une exception près. L’absence de problématiques sérieuses semble être une conséquence directe des règles et outils utilisés par les parents. Dans leur majorité, de style parental autocratique, ceux-ci contrôlent, parfois sévèrement, l’accès et le temps réservés aux NTIC, surveillent les conversations privées, l’historique du contenu visionné et les pages de médias sociaux de leurs jeunes. Bien qu’une approche plus démocratique ait des résultats tout aussi positifs, les parents appartenant à cette catégorie doutent constamment à propos de leurs outils de contrôle et les remettent facilement en question. De plus, les familles utilisant des règles adéquates telles que définies par la perspective systémique évitent aussi les problématiques. Les données recueillies permettent de découvrir trois éléments qui mériteraient d’être approfondis dans des études ultérieures. D’abord, les parents ne croient pas possible que leurs enfants consomment de la pornographie sur Internet. Aussi, la consommation de la pornographie par les adolescents pourrait faire l’objet d’une recherche future. Ensuite, les effets des campagnes de sensibilisation par les médias à des phénomènes tels que la cyberintimidation devraient être évalués. Finalement, il serait intéressant d’étudier de façon longitudinale l’évolution des jeunes en regard de leur utilisation des NTIC, et ce, en fonction des styles parentaux de leurs tuteurs.
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Perspectives des intervenants et des facilitateurs sur la collaboration interprofessionnelle au sein de programmes d’intervention par la nature et l’aventure

Plante, Annie 08 1900 (has links) (PDF)
La collaboration interprofessionnelle est un mode de fonctionnement d’équipe qui tend à se répandre dans plusieurs domaines de la santé, et ce, depuis plusieurs années. Si certains secteurs ont adopté le modèle collaboratif au sein de leurs équipes depuis longtemps et fait leurs preuves en termes d’efficacité, d’autres en sont à leurs premiers essais. C’est entre autres le cas de certaines équipes qui encadrent des programmes d’intervention par la nature et l’aventure (INA), principalement au Québec. L’implantation de ces programmes au sein des réseaux communautaires, éducatifs ou institutionnels, ou encore en entreprise privée, est encore assez récente dans la province. Bien qu’ils aient pris de l’ampleur dans les dernières années, du moins en intérêt, les modalités de fonctionnement et d’encadrement de ces programmes ne sont pas encore bien définies. Leur encadrement semble toutefois prendre parfois la forme de collaboration entre des guides d’aventure et des intervenants de différents milieux d’intervention. Cette formule novatrice trouve principalement sa source lors de la création, au Saguenay, de la coopérative INAQ (Intervention par la Nature et l’Aventure au Québec) en 2005. Dès sa création, INAQ a en effet opté pour une collaboration entre ses facilitateurs d’aventure et les intervenants des organismes avec qui ils collaborent afin d’encadrer ses programmes. Ce mémoire vise donc à explorer la perception des intervenants psychosociaux et des facilitateurs d’aventure sur leur collaboration au sein des équipes qui encadrent les programmes d’INA de la coopérative INAQ. Plus spécifiquement, cette recherche poursuit trois objectifs généraux. Le premier vise à documenter et décrire la collaboration entre les facilitateurs et les intervenants des programmes de la coopérative INAQ selon un modèle de structuration de la collaboration interprofessionnelle. Le deuxième objectif concerne, pour sa part, la perception des facilitateurs et des intervenants à l’égard de leur collaboration interprofessionnelle au sein des programmes qu’ils ont réalisés. Enfin, le troisième objectif consister à recueillir leurs perceptions de ce qu’ils croient être les éléments qui facilitent et qui font obstacle à cette collaboration. Pour ce faire, une recherche qualitative de type exploratoire a été menée. Ainsi, cinq facilitateurs de la coopérative INAQ et huit intervenantes ayant collaboré à ces programmes ont accepté de participer à des entrevues semi-dirigées. Les principaux résultats de cette étude concernent a) la définition la collaboration interprofessionnelle, b) l’évaluation d’une atteinte de ce mode de collaboration au sein des équipes étudiées et c) les éléments d’influence de la structuration de la collaboration interprofessionnelle dans les équipes INAQ. Pour ce qui est du premier constat, si les répondants semblent avoir une bonne compréhension de la collaboration en général, il semble plus difficile de définir la forme de la collaboration (« multi », « inter » ou « trans »). Par ailleurs, la mise en oeuvre d’une collaboration interprofessionnelle comportant son lot de défis, elle nécessite notamment un intérêt réel des membres à s’y investir, du temps et un contexte favorable. L’atteinte d’une collaboration interprofessionnelle au sein des équipes qui encadrent les programmes INAQ ne fait d’ailleurs pas l’unanimité chez les répondants. Notre analyse de cette collaboration ne permet pas non plus de conclure qu’une telle intensité (« inter ») existe dans tous les programmes de cet organisme. En conséquence, nous avons principalement observé des équipes qui collaboraient selon un mode multiprofessionnel, où le leadership est principalement assuré par les facilitateurs et à de rares occasions, interprofessionnel, lorsque le temps le permet et où un partage (voire un chevauchement) des tâches et responsabilités est observé. Les résultats concernant la structuration des équipes INAQ mettent en lumière trois principaux éléments majeurs d’influence. Il s’agit a) du lien commercial qui unit les collaborateurs, b) du contexte dans lequel se déroule la collaboration ainsi que c) du temps passé entres collaborateurs (durée et récurrence des programmes). Les principales conséquences sont le fait qu’un lien hiérarchique s’installe dès les premières rencontres entre collaborateurs et le contexte de nature et d’aventure agit parfois auprès des intervenants comme élément de déstabilisation. Ceci entraîne un déséquilibre et parfois même un frein à la collaboration interprofessionnelle au sein des équipes INAQ. Le temps, toutefois, agit comme modérateur de ces éléments d’influence. Ainsi, les programmes longs ou récurrents semblent plus propices à un meilleur équilibre dans la structure de la collaboration. Enfin, la particularité et l’aspect novateur de cette étude résident dans le fait que très peu de recherches, à notre connaissance, ont été menées sur les équipes qui encadrent les programmes d’INA, encore moins sur un modèle de collaboration. De plus, elle porte sur le contexte particulier du Québec où ces programmes sont actuellement en croissance. Finalement, les recommandations issues des conclusions pourraient contribuer à l’optimisation de l’efficacité de ce modèle, ainsi qu’à un développement plus concerté de l’encadrement de ce type de programme au Québec.
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Le rôle du réseau de soutien social des jeunes placés sous protection de la jeunesse jusqu’à leur majorité dans leur autonomisation lors de leur transition vers la vie adulte du point de vue des familles d’accueil

Leclerc-Martel, Dany 03 1900 (has links) (PDF)
L’émergence de la vie adulte est une période où le jeune adulte est confronté à des obstacles ainsi qu’à des changements se situant dans diverses sphères de sa vie, où ses compétences individuelles et relationnelles sont rudement mises à l’épreuve. À cette étape de transition, les jeunes issus du Système de Protection de la Jeunesse (SPJ) sont encore plus vulnérables que les autres en général en raison de leurs historiques de vie. Ne bénéficiant pas toujours d’un réseau de soutien social adéquat, ces jeunes sont rapidement confrontés aux responsabilités attribuables à la vie adulte, et ce, sans détenir l’autonomie nécessaire pour y faire face. Sachant que ces jeunes vivent plusieurs difficultés lors de cette période, une question se pose : quel impact peut avoir le réseau de soutien social des jeunes placés sous protection de la jeunesse jusqu’à leur majorité dans leur autonomisation lors de leur transition vers la vie adulte ? Dans une perspective de recherche qualitative de type exploratoire, onze familles d’accueil ou parents d’accueil en situation monoparentale ont été rencontrés. Lors de ces rencontres, des entretiens semi-dirigés d’une heure trente étaient réalisés afin de tenter de définir l’émergence de la vie adulte (ÉVA). Plus spécifiquement, la recherche s’est intéressée à leurs perceptions par rapport au rôle qu’elles jouent dans la préparation à la vie autonome des jeunes qu’elles hébergent jusqu’à la majorité. Leurs connaissances par rapport à la période de transition vers la vie adulte ainsi que leurs perceptions quant au rôle et à l’importance d’un réseau de soutien social adéquat lorsqu’émerge la vie adulte de ces jeunes ont été explorées. En effet, à la lumière des entretiens semi-dirigés réalisés, il appert que pour les participants, la capacité d’un jeune à prendre de bonnes décisions, à assumer ses responsabilités ainsi qu’à prendre soin de lui-même, constituent des éléments démontrant son degré d’autonomie. Se percevant comme étant des parents substituts aux parents biologiques, les répondants croient également qu’ils ont un rôle de prédilection dans la préparation à la vie autonome des jeunes qu’ils hébergent. Concernant l’ÉVA de ces derniers, l’étude a révélé que lorsqu’ils y sont confrontés dès l’âge de 18 ans sans avoir la présence d’un soutien adéquat, ces jeunes vivront difficilement cette transtion. En plus de ne pouvoir compter sur personne, ils vivront davantage de difficultés psychosociales en raison de leur déficit d’autonomie ainsi que de leur vulnérabilité occasionnés par un lourd passé. Inversement, avoir du soutien, des objectifs à atteindre, de la détermination, de la maturité et faire preuve de résilience semblent favoriser une transition réussie vers la vie adulte. La désynchronisation des parcours aux cours des dernières décennies a occasionné un allongement de la jeunesse. Pour les jeunes en général, la présence de soutien dans les différentes sphères de leur vie leur permet d’expérimenter et d’assimiler graduellement les responsabilités se rattachant à la vie adulte. Les jeunes hébergés n’ont malheureusement pas toujours cette chance et vivent souvent cette période en accéléré sans qu’ils le désirent. Aussi, s’attarder aux différents acteurs impliqués dans leur vie et s’intéresser aux différents rôles qu’ils peuvent jouer dans l’ÉVA de ces jeunes s’avère très pertinent. En ce sens, l’étude a permis d’acquérir de nouvelles connaissances sur le phénomène de la transition vers la vie adulte des jeunes issus du SPJ et hébergés en milieux substituts jusqu’à leur majorité, qui est encore peu documenté du point de vue des familles d’accueil.
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Me, My Selfie, and I| Personality Traits' Influence on Online Self-Portrait Sharing

Vardeman, Christopher E. 29 November 2017 (has links)
<p> Millions of selfies are posted on social media every day. Past research has attempted to explain this behavior, though inconsistent results have necessitated further investigation. The present study broadened the scope of selfie research by using electronic survey methods in a sample of active social media users to examine the relationships between narcissism, extraversion, purpose in life, prevalence of posting, and two novel constructs: number of selfie drafts taken before final selection, and immediacy of posting after taking a selfie. Higher prevalence was significantly related to greater number of drafts and belief that selfies facilitate self-expression and self-discovery. Greater number of drafts was also associated with lower feelings of purpose, greater immediacy, and younger age. These findings, together with an absence of strong links between selfies and narcissism or extraversion, suggest that selfie sharing is more nuanced than previous studies have shown. The present data&rsquo;s correlational nature precludes causal inference, but informs future research on selfies and human behavior on social media.</p><p>
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Predictors of Independent Living Outcomes Among Older Women Receiving Informal Care

Grochowski, Julie 01 January 2014 (has links)
This study examined the predictors of independent living outcomes among community–living older women who received informal care. The central hypothesis was that older women’s level of functioning is influenced by their relationship with their informal caregiver. The study attempted to understand the independence of older women through the perspective of both informal caregivers and the older women themselves. The following eight variables were measured: 1) the older women’s independence (dependent variable); 2) the relationship between older women and their informal caregivers (independent variable); 3) roles of both the informal caregiver and older women (independent variable); 4) the older women’s attitudes toward aging (independent variable); 5) the older women’s age identity (independent variable); 6) the older women’s health (control variable); 7) the older women’s level of social support (control variable); and 8) the older women’s level of depression (control variable). The variables were measured from the perspective of the older woman herself and her informal caregiver. This study used an ecological and developmental framework along with role theory to understand the interaction among the aforementioned variables through a cross-sectional design. The recruited older women participants of this study were receiving ongoing care and personal assistance from two large home care agencies located in Miami, FL. An analysis was conducted through a mixed-methods incorporated into the study design. The present study aimed to contribute to the understanding of how the relationship between older women and their informal caregivers influences older women’s ability to maintain independent outcomes. The primary finding of this study was that there were both positive and negative experiences within the relationship dynamic of older women and their informal caregivers and that this relationship was either unidirectional or bi-directional.
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An investigation into the role of social media in the political protests in Egypt (2011)

Ramphobole, Thabo January 2012 (has links)
Social media's role in formenting protest action in Egypt has often been lauded by proponents of these web 2.0 technologies, to the extent that the collective protest actions that swept the Middle East and North Africa from December 2010 to the present have been referred to as "Twitter Revolutions" in recognition of the pivotal played by Twitter in mobilising citizents.
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The stability of social desirability judgments in relation to items on Edwards' personal preference schedule.

Diers, Carol Jean January 1958 (has links)
The purpose of this study was to investigate the stability of the social desirability scale values used by Edwards in the construction of his Personal Preference Schedule (PPS). The specific hypotheses were: (a) The social desirability scale values determined for University of British Columbia students, Hungarian university students and Canadian female delinquents will correlate significantly with Edwards’ scale values determined on American college students; and (b) The social desirability scale values derived for these three groups, together with Edwards' scale data and the scale values derived on five other groups will all intercorrelate significantly. This hypothesis specifies that a common stereotype of what is socially desirable and undesirable will persist throughout the various groups. Two additional problems were also investigated, namely, the extent to which the item pairs on the PPS were matched for social desirability for the groups tested, and how these three groups, together with Edwards' American sample, differed when the items on the PPS were grouped into the manifest needs that they purport to assess. In order to investigate the hypotheses and problems, social desirability ratings were obtained from 226 University of British Columbia students, 70 male Hungarian university students and 40 female delinquents. The items rated for social desirability were those contained in the PPS. The obtained ratings were scaled by the method of successive intervals. All Intercorrelations were significant at the .01 level. Thus the two hypotheses were supported, suggesting that a common attitude of what is desirable and undesirable cuts across many different groups. The results of the intraclass correlations for matched pairs on the PPS suggested that the PPS would control for the social desirability variable on a group of UBC students, but not for the Hungarians or delinquents. Analysis of variance techniques employed on the PPS items grouped in terms of the needs they measured indicated highly reliable group differences. The Canadian and American university students showed no significant differences in their need ratings. Compared with the American and Canadian students, the Hungarians appeared to evaluate positively the needs of order and aggression and to underevaluate the need for affiliation, and, comparatively, the delinquent group rated highly the needs of autonomy, change, heterosexuality and aggression and underrated the needs of achievement, order, introception and endurance. It was emphasized that it could not be assumed that a group possessed to a strong degree those needs to which they give high social desirability ratings. / Arts, Faculty of / Psychology, Department of / Graduate
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Case-aides in welfare agencies : a review of the values, possibilities, and methods of utilizing case-aides, paid and volunteer, in various welfare settings

Wilson, Deborah January 1957 (has links)
There are several important reasons for considering the use of case-aides in welfare programs. One is the shortage of professional personnel and the need for trained workers. Further, citizen participation is essential in order to gain the understanding and feel the responsibility to support the agencies which are dependent upon the lay public for their life-blood. Moreover, modern social work emphasizes the value of personal relationships in the helping process. Experience in the use of case-aides, paid or volunteer, is studied from a review of existing manuals and agency programs which are either currently or recently in practice In the welfare field in the United States and Canada. A canvass of the directors of selected casework agencies in Vancouver provides viewpoints and information for comparative use in the study. Current practices are summarized to suggest standards and opportunities for further development of this trend in social work. Both problems and values are outlined. It is the conclusion of the study that a well-formulated case-aide program can utilize the helpfulness of the volunteer without risk to the profession of social work. The success of the endeavor, however, is dependent upon careful selection, training and supervision of the case-aide, with detailed care in planning. Case-aides can not only supplement the work of the professional caseworker, but can extend the services of the agency, performing many tasks needed by the client but not appropriate for the professional. The crux of the situation is "job analysis” which will lead to systematic sharing of responsibilities with case-aides, paid or volunteer. In Vancouver, paid case-aides are being used to a limited extent. Volunteer case-aides are not being used as a part of a formulated program by agencies, singly or co-operatively. The need of the services is recognized by several directors and staff members but no programs have yet been inaugurated. Areas which might utilize such services include the aged, the handicapped, needy children, immigrants, chronically ill, mental patients, and clients and families of medical social service departments. / Arts, Faculty of / Social Work, School of / Graduate
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An evaluation of the client-worker relationship : a study of the relationship in a selected number of cases in the Family Welfare Bureau of Greater Vancouver

Carscadden, Lillian Mary January 1951 (has links)
"Relationship" is the term commonly but loosely used in social casework, to refer to the inter-action of personalities which occurs between the caseworker and the client in need of help. The exact constituents of "relationship", and the part which it plays in treatment, and in an improved adjustment, are as yet far from having been precisely determined. The present study examines a carefully chosen set of cases with the object of exploring the way to a more definitive analysis. To take account of the range of the problems encountered, the cases are grouped according to three degrees of difficulty. The assessment of the client's level of ability in relationship is approached through a series of six criteria: his concept of himself, his ability to see his own real feelings, his ways of coping with reality, his ability to endure frustration, the quality of his affect tone, and the pattern of his ways of responding to people. The essential background of each case is summarized. Each group of cases is then reviewed with special attention to differences in the clients' ways of responding to persons and situations, the attitudes and performance of the caseworker, the development of the case, and the elements in the client which either facilitate or retard growth in maturity and adaptation. The study reveals the emergence of patterns where the promise of relationship was good or limited or poor according to the extent that the basic needs of the individual had been met. It shows that the understanding and acceptance of the client by the caseworker enables the client to modify restricting attitudes, and to develop more constructive responses to situations. Where these attitudes do not prevail the caseworker cannot contribute to the growth process of the client. The study shows the need for greater precision in recording, in diagnosis, in the selection of treatment methods, and the ways in which the criteria can be used to help in these processes until measurement techniques become possible. Careful selection of applicants for social work, improved training for supervisors, smaller and more selective case loads, and a greater awareness on the part of agencies of the importance of relationship, are seen as the means of improving the effective use of relationship in treatment. / Arts, Faculty of / Social Work, School of / Graduate

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