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Etude géologique des montagnes du Beaumont et de La Salette (Isère) : secteur sud ouest du Pelvoux - Alpes françaises

Aprahamian, Jean 01 June 1968 (has links) (PDF)
Ce travail concerne la couverture sédimentaire des massifs cristallins externes . Le Beaumont fait partie de la zone dauphinoise et est à proximité immédiate du point de courbure maximale de l' arc alpin. Il prolonge au sud-est l'alignement Mont Blanc/ Dôme de la Mure et est au sud ouest du Pelvoux et se trouve dans le prolongement de la bande liasique Col du Glandon/col d'Ornon et grandes Rousses.
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La nappe de l'Embrunais au nord de l'Isère : avec quelques observations sur les régions voisines : bord externe dans la nappe du Briançonnais, zone dauphinoise, lambeaux de recouvrement de Sulens (feuille de Bourg-Sainte-Maurice au 50.000e)

Schoeller, Henri 02 February 1929 (has links) (PDF)
J'exposerai toutes ces recherches de la façon suivanle: Dans une première partie je donnerai un aperçu des différen tes unités tectoniques que l'on rencontre depuis la nappe du Briançonnais jusqu'aux klippes de Savoie, Cela servira en même temps de cadre, large, il est vrai, au corps du travail. La seconde partie sera consacrée à l'étude de la nappe de l'Embrunais ,sujet principal. La troisième comprendra le bord externe de la nappe du Briançonnais et en particulier la zone du Petit Saint Bernard Dans la quatrième partie, j'étudierai sommairement le prolongement de la nappe de l'Embrunais en Ilalie et en Suisse, d'une part et en Maurienne d'autre part. La cinquième résumera les conclusions que j 'ai cru devoir tirer de tout ce qui précède. La sixième enfin traitera du Quaternaire. Avant de terminer je tiens à indiquer aux lecteurs que le corps de ce texte se rapporte essentiellement à la feuille de Bourg-Saint-Maurice au 50.000e sans laquelle la plus grande partie en serait incompréhensible. Pour le reste on suivra sur les feuilles au 80.000' d'Albertville el de Saint-Jean de Maurienne
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Le thermopaléomagnétisme : méthodologie et applications (tectonique, thermique et géochronologique) à la zone dauphinoise interne (Alpes occidentales, France)

Crouzet, Christian 20 December 1996 (has links) (PDF)
La vitesse d'exhumation (entre 10 et 100°ClMa) de certaines roches métamorphiques permet d'enregistrer une succession d'inversions du champ magnétique terrestre en nombre suffisant pour qu'une tentative de corrélation avec l'échelle magnétostratigraphique ait des chances d'aboutir. Un tel enregistrement est nommé enregistrement thermopaléomagnétique. Les principes du thermopaléomagnétisme reposent sur la loi d'additivité des aimantations thermorémanantes partielles (ATRp) qui n'est valable que si le porteur magnétique de l'aimantation est monodomaine. Les expériences réalisées en laboratoire (ATRp artificielles) sur le matériel étudié montrent clairement la qualité monodomaine du porteur de l'aimantation. La région étudiée est la zone dauphinoise à l'Est des massifs cristallins externes et notamment la région de Bourg d'Oisans. Cette région est caractérisée par la présence de pyrrhotite ayant acquis son aimantation après la déformation principale et durant le refroidissement post-métamorphique. La linéarité des diagrammes de Zijderveld permet de raisonner uniquement en terme d'intensité de l'aimantation et légitimise la construction des courbes de désaimantation thermique, J = f (1). Ces courbes montrent des fluctuations de l'intensité qui se corrèlent parfaitement d'un site à l'autre et sont interprétées comme l'enregistrement de chrones successifs lors du refroidissement post-métamorphique. Pour les thermochrones les plus longs, les comparaisons ARN/ATR permettent de calculer des valeurs de paléointensité du champ magnétique terrestre (CMT). Celles-ci sont particulièrement faibles (environs 10 mT) et correspondent à une période de fréquents renversements du CMT au" Miocène inférieur. L'interprétation des courbes de désaimantation thermiques des échantillons étudiés a permis d'établir une séquence de 21 inversions du champ magnétique terrestre, de la corréler avec l'échelle magnétostratigraphique afin d'obtenir une succession de couples T°/âges. Cette corrélation permet d'obtenir quasiment en continu, et en tout cas avec des précisions sur les âges et sur les températures bien meilleures que les méthodes géochronologiques classiques, l'histoire du refroidissement d'une portion de la zone dauphinoise. La courbe de refroidissement ainsi obtenue s'étend de 24,12 Ma/300°C à 20,13 Ma/180'C et permet d'établir la succession des événements ayant affecté la région de Bourg d'Oisans. . Il est aussi possible d'obtenir une succession, dans le temps, d'images représentant la répartition spatiale des paléotempératures et des taux de refroidissement à des instants connus. Pour la première fois, il est possible de mettre en évidence des hétérogénéités thermiques qui sont mises en relations avec des circulations de fluides. Celles-ci semblent perdurer pendant tout le refroidissement. L'outil thermopaléomagnétisme mis au point dans cette étude permet aussi moyennant un échantillonnage convenable, de calculer des paléogradients thermiques. L' interprétation des résultats de ce travail et des données existantes, bien que cherchant à rester simple, montre que l'histoire tectonique et thermique de cette région est extrêmement complexe. L'épisode d'épaississement contemporain de la déformation principale plicative synschisteuse se situe vers 26,5 Ma. Selon l'hypothèse envisagée pour expliquer l'excès de chaleur, la région de Bourg d'Oisans est enfouie à une profondeur de 8.6 km (hypothèse des fluides) ou à 12,5 km (hypothèse tectonique). Dans les deux cas cela nécessite la présence des zones internes bien plus à l'Ouest qu'elles ne le sont actuellemment. Une dénudation d'origine tectonique est proposée juste avant 24,12 Ma, pour expliquer nos observations. A la suite de cette dénudation, il se produit un refroidissement rapide, lié à la fois à la résorption de l'anomalie thermique précédemment créée et à l'érosion accrue du fait de la mise en place par sous-charriage d'une écaille crustale. Cette influence tectonique est suggérée par la similitude entre les fluctuations du refroidissement et celles de la subsidence du bassin molassique. Par la suite, le refroidissement devient plus faible. Pendant ce temps le secteur de Bourg d'Oisans ne subit aucune déformation significative. L'analyse des données directionnelles montre des écarts notables par rapport à la direction du paléochamp pour l'Europe stable. Ces écarts sont interprétés pour partie comme résultant d'un petit chevauchement " out of sequence" du socle des Grandes - Rousses postérieur au franchissement de l'isotherme 150°C, daté plus récent que 9 - 13 Ma. Les modalités de l'ensemble des déformations affectant la zone dauphinoise interne après 9 - 13 Ma restent toutefois encore mal comprises.
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Le Jurassique dauphinois entre Durance et Rhône : étude stratigraphique et géodynamique ; évolution d'une portion de la marge nord téthysienne (Alpes occidentales françaises)

Barfety, Jean Claude 10 June 1985 (has links) (PDF)
La couverture des Massifs cristallins externes dauphinois et savoyards est minutieusement analysée à l'aide de toutes les données stratigraphiques, paléontologiques et paléotectoniques accumulées lors du lever des cartes géologiques au 50.000è. La complexité de la région est démontrée sur trois thèmes essentiels: - l'existence d'une tectonique au Lias (prouvée par de nombreux exemples de mise en plase d'olistolites) se traduit par le jeu de failles normales avec basculement saccadé de blocs de socle et cette phase distensive se poursuit jusque dans le Malm; la direction ou l'orientation des paléopentes est soit méridienne, soit transverse - les lignes paléogéographiques au Lias sont très obliques aux limites actuelles des massifs de socle et le nord de la zone dauphinoise a tendance à se raccorder à l'Est lyonnais et au Jura, tandis que le Sud appartient au bassin du Sud-Est avec des zones de haut-fonds mobiles; dès le Toarcien supérieur (après une phase de paroxysme tectonique) la paléogéographie acquiert une polarité est-ouest - l'importance de la tectonique alpine se vérifie par des écaillages de socle jalonnés de sutures sédimentaires avec déversements ou chevauchements vers l'Ouest mais aussi vers le Nord et par un resserrement très important des ensembles sédimentaires où les surfaces de dislocations tectoniques sont très difficiles à suivre. Le Jurassique dauphinois entre Durance et Rhône : étude stratigraphique et géodynamique ; évolution d'une portion de la marge nord téthysienne (Alpes occidentales françaises)
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Mesozoic basin development and structural inversion in the external Franch Alps

Gillcrist, John Ralph 08 August 1988 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur les structures qui affectent, dans la zone dauphinoise des Alpes externes, le massif cristallin du Pelvoux et sa couverture sédimentaire. A plus large échelle, l 'évolution géodynamique de la marge Européene de la Tethys, et certains aspects des structures chevauchantes du Vercors et du Devoluy sont discutés.
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Contribution à l'étude géologique des Alpes occidentales entre Arc et Isère, région du Mont Niélard et du Cheval noir (Savoie) : le problème des unités à flysch

Martinez-Reyes, Juventino 12 March 1980 (has links) (PDF)
A partir de l'étude du secteur situé au Sud-Ouest de Moûtiers, de part et d'autre de la ligne de partage des eaux entre la Maurienne et la Tarentaise, secteur rattaché classiquement à la Zone Ultradauphinoise et à la digitation du Niélard (Zone des Brèches de Tarentaise), nous avons pu différencier quatre unités structurales : - l'Unité Cheval Noir - Grand Coin possédant un substratum à affinités briançonnaises, surmonté par un flysch à trois termes d'âge priabonien. - L'Unité Mont Niélard - Mont du Fût comprenant du flysch également priabonien, dont l'originalité réside dans la diversité et la grande taille des éléments qu'il contient. Ce flysch repose sur des terrains jurassiques pouvant représenter, ou bien son substratum, ou bien d'énormes olistolithes. - L'écaille de Valbuche montrant un substratum de type briançonnais (allant du Trias dolomitique au cristallin) renversé, surmonté directement par les flyschs calcaires priaboniens . - Enfin, l'Unité de Crève- Tête, représentée essentiellement par un flysch mal daté, probablement en série inverse. La nature lithologique et la succession des termes de celui-ci sont identiques à celles du flysch priabonien des autres unités. L'Unité de Crève-Tête est séparée des autres plus méridionales, par la "discontinuité du Gollet". Du point de vue structural nous avons reconnu des tectoniques superposées, postérieures au dépôt du flysch : -Une première phase engendre de grands plis couchés, déversés à l'Ouest -une seconde phase reprend ces plis en affectant plus particulièrement leurs flancs inverses , - une troisième phase provoque de grands cisaillements responsables du découpage des unités ; - enfin, des bombements tardifs affectent la région. Sur l'un de ceux-ci l'érosion a dégagé la fenêtre des Monts dans laquelle réapparaissent les terrains dauphinois à l'arrière de l'Unité Cheval Noir - Grand Coin. L'existence d'une tectonique anté- priabonienne (phase arvinche) est discutée.

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