Dans cette thèse, nous avons décrit une machine a inférence parallèle pour les clauses de Horn qui exploite le parallélisme ou et qui utilise comme mécanisme d'inférence la resolution. Le modèle décrit pour les clauses de Horn part d'un réseau de processus qui représente la structure syntaxique du programme logique. Le fait d'avoir fp2 comme langage pour la spécification des machines nous a permis d'utiliser le mécanisme de communication du langage pour réaliser l'opération de base dans l'inférence: l'unification. L'espace de recherche de la preuve d'une formule des clauses de Horn contient uniquement les axiomes de la preuve plus la résolvante courante. Pour prouver une formule du premier ordre, cet espace est insuffisant. Nous avons présente également une methode correcte, fondée sur la methode de connexion pour calculer les ensembles des pairs de litteraux a résoudre dans une formule de premier ordre. Cela représente le pas le plus difficile a franchir pour la spécification d'une machine a inférence parallèle pour la logique du premier ordre
Identifer | oai:union.ndltd.org:CCSD/oai:tel.archives-ouvertes.fr:tel-00338381 |
Date | 12 March 1990 |
Creators | Ibañez, Maria Blanca |
Source Sets | CCSD theses-EN-ligne, France |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | PhD thesis |
Page generated in 0.0024 seconds