La procrastination académique est la tendance à remettre à plus tard l'accomplissement d'une tâche scolaire, au point de vivre de l'inconfort (Solomon & Rothblum, 1984). La présente recherche avait pour objectif de vérifier l'influence des illusions positives (Taylor & Brown, 1994), de la perception illusoire du temps (Buehler, Griffin, & Ross, 1994) et de la motivation (Deci & Ryan, 1991) sur la procrastination académique. Pour ce faire, un modèle médiationnel a été développé et testé auprès de 219 universitaires du premier cycle. Les résultats des analyses de régression soutiennent le modèle proposé. Ils démontrent que les illusions positives rehaussent la motivation académique à la mi-session, tandis que la perception illusoire du temps l'influence négativement. En retour, plus l'étudiant est motivé de manière autodéterminée à la mi-session moins il a tendance à faire de la procrastination à la fin du trimestre.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/42239 |
Date | 09 March 2021 |
Creators | Martin, Annick |
Contributors | Sénécal, Caroline |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | vi, 62 feuillets, application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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