L’idée d’une thèse s’intéressant aux environs proches, au périurbain d’une ville vient d’une constatation : la plupart des études réalisées sur le phénomène urbain au Moyen Âge, que ce soient des monographies de villes, des études archéologiques…, traitent principalement de l’espace, de la topographie intra-muros. Ce travail a donc pour but d’étudier une ville dans un ensemble plus large, en examinant ce qui se trouve dans les environs proches de l’enceinte et en laissant de côté, pour une fois, l’intérieur des remparts. Dans cette optique, il étudie la composition, l’organisation géographique, et l’évolution topographique du périurbain de la ville durant une période allant de la fin du Moyen Âge à l’époque moderne. Il s’agit de se poser la question des rapports entre la ville et son périurbain, en voyant comment elle l’utilise et en quoi il lui est nécessaire. Afin de contourner l’écueil de la monographie, trop facilement susceptible de traiter d’un cas « exception », cette recherche met en comparaison trois villes de même nature, Reims, Metz et Strasbourg, toutes trois villes épiscopales, d’origine romaine et de plus de 10.000 habitants au cours de la période étudiée. / The idea of a PhD on the close vicinity, the ‘periurban’ area of a city, stems from an observation: most of the studies done on the urban phenomenon in the Middle Ages, whether cities monographs or archeological studies, focus mainly on the intramural space and topography. To the contrary, the current work aims to study a city in a broader whole, through the review of the close vicinity of the precinct, and ignoring, for once, which is inside the walls. In this regard, it studies the composition, the geographical organization and the topographic evolution of the ‘periurban’ area of the city, during a period from the end of the Middle Ages to the modern era. Its questioning focuses on the relationship between the city and its ‘periurban’, how it uses it, and how it needs it. In order to prevent the too common risk for monographs of addressing an ‘exception’, this research draws a comparison between three cities, Reims, Metz and Strasbourg, similar in that they all are Episcopal cities, of roman origin and counting more than 10.000 inhabitants during the period studied.
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2013STRAG015 |
Date | 26 September 2013 |
Creators | Xandry, Catherine |
Contributors | Strasbourg, Bischoff, Georges, Schwien, Jean-Jacques |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
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