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Das Freie Geleit und seine Erscheinungsformen in der Eidgenossenschaft des Spätmittelalters : ein Beitrag zu Theorie und Geschichte eines Rechtsbegriffs... /

Wiederkehr, Georg Robert. January 1976 (has links)
Inaug. _ Diss.: Rechts- und staatswissenschaftliche Fakultät: Zürich: 1976. _ Bibliogr. p. VII-XIV.
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La construction de l'Etat Barrois (1301 - 1420) / The Building of the State of Bar (1301-1420)

Bouyer, Mathias 13 December 2010 (has links)
Au XIVe siècle, la principauté barroise est progressivement érigée en un véritable Etat. Le prince s'appuie d'abord sur son héritage seigneurial. La dynastie est incontestée. Le domaine, régionalement vaste, est efficacement administré et défendu, mais ses ressources sont tout de même insuffisantes. Dans la construction de l'Etat, le prince peut compter sur un réseau vassalique important et soumis, sur une élite roturière émergeante, notamment des financiers et des gradés, mais moins sur une Eglise faible, d'ailleurs peu soutenue financièrement. A partir de 1301, le prince est vassal du roi de France pour le Barrois Mouvant. Le roi tente alors d'y introduire des éléments de sa souveraineté, mais, sauf dans le cas des appels judiciaires, il n'y parvient pas. Il peut néanmoins compter sur le prince de Bar qui, en plus d'être un fidèle vassal, est véritablement un seigneur français, d?ailleurs élevé à la cour royale, et, à partir de 1364, beau-frère du roi. L'Etat se construit donc sous l'influence française. La souveraineté barroise s'exprime ainsi à peu près complètement, y compris dans le Barrois Mouvant. Le gouvernement central se développe grâce à l'instauration d'une Chambre des comptes et des secrétaires. L'Hôtel, témoin du faste du prince, se développe également. L'Etat s'affirme également dans l'exercice de la justice, pour lequel l'administration locale se renforce. Face à l'endettement du prince, une nouvelle fiscalité se met en place. Cet Etat est amené à affronter les principauté voisines pour l'hégémonie de la région, mais l'égalité des forces maintient le statu quo : l'union matrimoniale entre le Barrois et la Lorraine devient incontournable. / During the 14thcentury, the principality of Bar progressively turns into a genuine State. The prince relies largely on its seigniorial legacy. The dynasty is unchallenged. The domain, rather large for the region, is efficiently ruled and defended, in spite of insuficient ressources. In building the State, the prince can rely on an important network of obedient liegemen, an emergent elite of commoners, mainly financers and scholars, but slightly less on a weak Church which, incidentaly, does not have a proper financial support. Since 1301, the prince is a liegeman of the king of France for the "Barrois Mouvant". The king tries to introduce some elements of sovereignty but meets failure, except for judiciar appeals. He can nevertheless count on the prince of Bar who, in addition to being a faithful liegeman, is a true french lord, raised in the royal court and, after 1364, brother-in-law of the king. The shaping of the State has thus a french influence. The sovereignty of the prince of Bar can nearly express itself in its entirety, even in the "Barrois Mouvant". The central government grows thanks to the establishment of secretaries and of an Court of account. The Household, witness of the splendour of the prince, grows too. The State asserts itself in exercisinig justice for which the local administration is strenghened. To deal with the debt of the prince, a new tax system is introduced. This State has to face the neighbouring principalities for the hegemony over the region, but the forces being equal a statu quo is maintained: the matrimonial union between the principalities of Bar and Lorraine is an inevitable evolution.
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Financiers du Prince ou "usuriers publics"? Le rôle des banquiers piémontais dans les villes du duché de Brabant (XIIIe-XIVe siècle). Bankers of the Prince or "public usurers"? The role of the piemontese bankers in the duchy of Brabant (XIIIth-XIVth century).

Kusman, Pierre-David 27 February 2008 (has links)
Etude du rôle des banquiers piémontais au service des ducs de Brabant et de leurs rapports avec les différents pouvoirs: Prince, noblesse et villes. Estimation de leur fonction économique et sociale au sein de la société urbaine brabançonne.
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L'iconographie de sainte Elisabeth de Hongrie : saints dynastiques et images exemplaires (XIIIe-XVe siècle) / The Iconography of Saint Elizabeth of Hungary : dynastic Saints and Exemplary Images (13th-15th century)

Ségard, Audrey 26 November 2012 (has links)
L’Europe du XIIIe siècle connaît un profond bouleversement avec notamment l’épanouissement de la spiritualité évangélique liée à l’essor des ordres mendiants, qui s’accompagne d’une nouvelle forme de sainteté. Apparaissent de nouveaux saints, qui peuvent être de sexe féminin, laïcs et d’origine princière telle sainte Elisabeth de Hongrie (1207-1231). Fille du roi de Hongrie et épouse du landgrave de Thuringe, elle mène une vie exemplaire, reflétant les aspirations des ordres mendiants, axées sur la pauvreté et l’amour du prochain. Canonisée en 1235, sa commémoration se fait essentiellement par ses Vies, ses reliques et les prières. Mais c’est par l’intermédiaire des images, aux supports divers, que le culte de cette sainte connaît un grand développement pour devenir un des plus populaires du Moyen Age. Ces images proposent un modèle auquel les fidèles peuvent aisément s’identifier.L’analyse de ces images conduit au cœur de la politique artistique des princes des grandes dynasties d’Europe, principaux commanditaires et détenteurs d’effigies de cette sainte. Ils sont capables d’utiliser, dans une mesure jamais égalée, le culte de leurs ancêtres saints, dont celui de sainte Elisabeth, et ceci par le biais de témoignages artistiques par piété et/ou pour servir leur prestige et légitimer leur accession au trône par la gloire céleste de cette sainte.L’étude de ce cas exemplaire, fondée sur le regroupement inédit de représentations du XIIIe au début du XVIe siècle, et leur analyse, pose une question centrale pour l’histoire de la société médiévale : celle de la place de l’image dans la construction et la diffusion de la memoria mais aussi de la vie légendaire. / In the 13th century Europe lives through a profound disruption with the development of evangelic spirituality particularly, connected to the rise of mendicant orders, which comes along with a new form of holiness. New saints appear, who can be females, laymen and of princely origin, like saint Elizabeth of Hungary (1207-1231). Daughter of king of Hungary and wife of the landgrave of Thuringia, she lives an exemplary life, showing the aspiration of the mendicant orders, centred on poverty and charity. Canonized in 1235, she is mainly commemorated through her Lives, her relics and prayers. But it is by images, in the diverse media, that the worship of this saint knows a crucial development to become one of the most popular cults during the Middle Ages. Those images set up a model the faithful can easily identify themselves with.The analysis of these images leads to the heart of the artistic policy of the princes of the great European dynasties, the main backers and owners of this saint’s effigies. They are able to use, in an unequalled measure, the cult of their holy ancestors, among which that of saint Elizabeth, and this by means of artistic evidence out of devotion and/or to serve their prestige and legitimate their accession to the throne, thanks to the celestial glory of this saint.The study of this exemplary case, based on the unprecedented gathering of images from the 13th century to the beginning of the 16th century, and their analysis, states a central question for the history of the medieval society: the place of the image in the construction and the diffusion of the memoria but also of the legendary life.
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Les représentations hagiographiques à Rouen à la fin du Moyen Age (vers 1280 – vers 1530) / Hagiographic Representations in Rouen in the late Middle Ages (c.1280-c.1530)

Blaise, Alexandra 06 June 2009 (has links)
Quelle est la signification des images monumentales, et plus précisément des images hagiographiques à la fin du Moyen Age ? Ces images peuvent-elles être qualifiées de média ? Nous avons essayé de répondre à ces questions en replaçant les images hagiographiques dans le contexte de la Normandie médiévale, afin de fournir un cadre géopolitique singulier et original. L’analyse a été menée aussi bien sur le plan du discours religieux, social que politique. Il en est ressorti que les images hagiographiques sont bel et bien utilisées comme un langage et incarnent une représentation idéale du monde chrétien, notamment à travers leur fonction mémorielle. Elles peuvent aussi être employées dans le cadre d’une revendication sociale et politique. L’image hagiographique est ainsi le précieux témoins de l’image qu’une église- et ses fidèles- souhaite donner d’elle-même, ainsi que sa réaction face aux évolutions religieuses, sociales et politique. C’est toute la force des images hagiographiques que de traverser lieux et temps pour évoquer tout à la fois traditions chrétiennes universelles et contexte contemporain. / What is the sigification of monumental images, and particularly of hagiographic images, in the late Middle Ages ? Are these images conceived of as a medium? We have tried to answer these questions by putting hagiographic images back into the context of late medival Normandiy, in order to provide an original and singular geopolitical framework. They are definitively used as a language, embodying an ideal vision of the Christian world. They can aslo be employed to support a social or political claim. Therefore, the hagiographic image testifies to the picture that a church-along with her faithful- wants to give of herself, as well as her reaction to religious, social and political evolutions. The power of hagiogrphic images is thus to travel both from place to place and down the ages, bearing the memory of Christian tradition as well as that of their contempory context.
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Rémunérations, travail et niveaux de vie à Dijon à la fin du Moyen-Age / Remuneration, work and living standard in Dijon at the end of the Middle Ages

Roy, Thomas 27 February 2019 (has links)
La rémunération du travail est un concept familier dans le monde contemporain. Les sociétés médiévales l’ont aussi connu sous différentes formes. Mais ce que l’on sait moins, c’est dans quelle proportion, ce qui influence son niveau et dans quelle mesure elle joue un rôle dans les niveaux de vie. Voici, les questions centrales qui guident ce travail avec comme point d’amarrage : Dijon à la fin du Moyen Âge. La richesse du patrimoine archivistique qui concerne la ville de Dijon offre un matériel de première main pour l’étude des rémunérations médiévales. Un premier point d’observation s’est établi sur la période 1370-1395 où le croisement de différents documents a permis d’observer systèmiquement la place des rémunérations au sein de la société dijonnaise. Deux autres points d’observation ont été placés sur les domaines viticoles ducaux et sur la législation municipale en matière de prix et de salaire dans une perspective diachronique élargie au XVe siècle.La création d’une base de données a permis de recueillir plus de 12000 rémunérations couvrant la période 1370-1395. Elle rend compte d’une activité rémunératrice importante tant dans le secteur du bâtiment, de l’artisanat que de la vigne. La cartographie des rémunérations versées montre leur impact sur l’ensemble de la ville et bien au-delà. Leur recoupement avec les comptes d’imposition permet d’évaluer la part de la population dijonnaise rémunérée et son niveau de vie. En effet, nos documents ne nous permettent pas de saisir l’ensemble de la population active : seulement 20 % des chefs de feu de la ville sont rétribués. Et la société médiévale peine à donner un nom aux rémunérations. Cette étude montre que le travail est quantifié de différentes manières : les unes se fondant sur des calculs précis de travail journalier ou de mesure de la production, les autres associant rémunérations en nature. Néanmoins, les montants des rémunérations sont calculés à partir d’aspects concrets : l’expérience du travailleur, sa technique et son savoir-faire, la difficulté de la tâche, la pénibilité et la quantité produite. Les tâches les plus dures techniquement sont aussi les mieux rétribuées. De même, l’évolution professionnelle s’accompagne d’une valorisation salariale. Si ces aspects rejoignent une pratique moderne de la rémunération, elle s’effectue dans des structures de travail petites, enchâssée dans le cadre large de la famille.La rémunération tardo-médiévale du travail est donc composite et si quelques travailleurs deviennent riches, elle est difficilement saisissable dans son importance à subvenir aux besoins de chacun. Et les interventions politiques ne cessent de vouloir les contraindre et limiter leur hausse. Tout au long du XVe siècle, la commune de Dijon et le duché de Bourgogne promulguent des ordonnances sur les rémunérations des vignerons, elles font écho à celles qui visent à limiter le prix du pain. Ces ingérences montrent toute l’importance que revêt la rémunération du travail à la fin du Moyen-Âge et donne aussi les moyens d’approcher la notion de salaire réel. / The remuneration of work is a familiar concept in our modern world. It is well known that medieval societies also faced it, but we don’t know under what proportions, what influenced its level and how it participates to living standard. These are the central questions guiding this work, with Dijon at the end of the Middle Ages as a mooring point. The richness of Dijon medieval archives offers high quality material for the study of medieval remunerations. A first point of observation was established during the 1370-1395 period, where the cross-referencing of various documents made possible to systemically observe the importance of remunerations within Dijon society. Two other observation points were placed on the ducal vineyards and the municipal legislation on prices and wages, in a wider diachronic perspective extended to the 15th century.A database was created from more than 12,000 payments covering the 1370-1395 period. It reports a significant income-generating activity in the construction, craft and vineyard areas. The mapping of these remunerations shows their impact on the whole city and beyond. The comparison with the tax accounts made possible to assess the proportion of the population which was paid and its standard of living. Indeed, our documents do not allow us to detect the entire active population : only about 20 % of the city households were retributed. Medieval society had difficulties to give a name to remunerations. This study shows that work is quantified by different means: some are based on precise calculations of daily work or measurement of production, the others mix remuneration sensu stricto and in kind payment of the workers. The levels of remuneration are however calculated on the basis of concrete aspects: the worker's experience, his/her technical mastery and his/her know-how, the task difficulty, the harsh working conditions and the productivity. If these aspects are similar to modern practice of remuneration, it takes place in small working structures, often enshrined in the broad framework of the family.The late-medieval labor remuneration is thus composite and if some of workers get rich, it is difficult to grasp its importance to satisfy the needs of workers. Yet, political interventions constantly seeked to constrain and limit the rise of remunerations in order to reduce the production costs. Throughout the fifteenth century, the city of Dijon and the Duchy of Burgundy promulgated ordinances on the remuneration of winegrowers, and others which aimed to limit the bread price. These interferences show the importance of the remuneration of work at the end of the Middle Ages and also gives the means to approach the concept of real wages.
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Structures foncières et économie rurale dans la région de Briey (fin XIe - début XIVe) d'après les archives de l'abbaye de St Pierremont : étude sur la région de Briey et édition du livre foncier / Land structure and rural economy in the region of Briey (late 11th - early 14th centuries) from the archives of the Abbey of Saint Pierremont : studies on the region of Briey and book publishing land

Schleef, Yoric 12 November 2010 (has links)
Fondée en 1095 près de Briey, l'abbaye de chanoines réguliers de Saint-Pierremont étend au XIIe et XIIIe siècles son temporel à une grande partie du Pays-Haut (région située au nord du département actuel de Meurthe-et-Moselle), une partie de l'ouest de département de la Moselle, nord-est de la Meuse, et jusqu'en Belgique. A partir des archives de cette abbaye (plusieurs cartulaires, deux fonds d'archives, un nécrologe), particulièrement utiles pour la connaissance de l'histoire de la région de Briey à partir du XIIe siècle, la présente étude s'intéresse aux structures foncières et à l'économie rurale dans la région de Briey, entre la fin du XIe siècle et le début du XIVe siècle. Sont tour à tour évoqués : le peuplement et l'occupation du sol ainsi que les puissances foncières en place avant la fondation de Saint-Pierremont ; l'évolution et la structure du temporel de cette abbaye ; le paysage, l'habitat et les puissances foncières aux XIIe et XIIIe siècles ; l'organisation des structures foncières seigneuriales et paysannes ; les activités agraires. Comment, dans cet espace rural, se répartissent les possessions foncières des dominants laïcs et ecclésiastiques et les exploitations paysannes ? Quelles sont les structures de ses possessions ? Placé entre le Verdunois d'un côté et le Pays messin de l'autre, le pays de Briey a-t-il une identité propre ou subit-il l'influence de ses deux puissants voisins? Cette étude s'accompagne de l'édition complète du livre foncier de l'abbaye, datant de la fin du XIIIe et du début du XIVe siècle, source textuelle irremplaçable pour la connaissance d'une partie du temporel de Saint-Pierremont et de la structure des exploitations paysannes de la région de Briey / Pas disponible / Not available
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La céramique domestique du Premier Moyen âge (VIe-XIIème siècle) : l'exemple du sillon lorrain

Prouteau, Rachel 16 November 2013 (has links)
Depuis un quart de siècle, l'archéologie préventive a permis de découvrir un nombre considérable de sites d'habitats ruraux et urbains du premier Moyen Âge, riches en céramiques. Ce mobilier entièrement neuf a permis d'entreprendre pour la première fois l'étude de la céramique domestique de la vallée de la Moselle. Alors que l'essentiel des connaissances portait jusqu'à présent sur la céramique funéraire, il devenait possible de réaliser l'étude technique de la céramique domestique.Si des caractéristiques de l'Antiquité tardive sont encore visibles à travers certains récipients à pâte rugueuse et à pâte fine, les VIe-VIIe siècles se déterminent par la production de formes nouvelles probablement issues du monde franc : vases et écuelles carénés, jattes à paroi évasée, tasses, pots globulaires peu décorés à fond plat avec ou sans oreille de préhension. Ce mobilier est comparable aux productions des grands ateliers de la période mérovingienne comme Mayen, Huy et Maastricht.A partir du VIIIe siècle, une rupture morphologique intervient dans la céramique domestique. On observe une diversification des formes fermées (pots, pots ansés, pots verseurs, cruchons) et des formes ouvertes (poêlons, jattes/écuelles à base en piédestal, écuelles à paroi arrondie, gobelets tronconiques et couvre-feux). Les pots à oreilles de préhension ou à col perforé évoluent vers des formes plus globulaires avec des fonds bombés. Leurs décors se composent d'ondulations associées ou non à des lignes incisées.Les courants stylistiques introduits dans la région à partir du VIIIe siècle traduisent une forte influence venue de Belgique, du Luxembourg, des Pays-Bas et de la vallée du Rhin, influence qui peut être mise en rapport avec l'expansion carolingienne qui facilita les échanges.La période des Xe-XIIe siècles habituellement synonyme de révolution en Europe occidentale surprend par une forte continuité technique et morphologique des différents types de récipients. Le nombre de pots à oreilles de préhension diminue au profit de pots à col perforé de trous de suspension. Les formes ouvertes se réduisent aux jattes, aux écuelles à paroi évasée et aux couvre-feux. Les décors sont rares, présents seulement sur quelques pots et pots ansés. Les productions restent caractéristiques de celles de l?Europe du nord-ouest. Il faut attendre le début du XIIIe siècle pour rencontrer une véritable révolution céramique et entrer dans une nouvelle aire chrono-culturelle. / For twenty-five years preventive archaeology has enabled to find a significant number of rural and urban settlement sites from the Early Middle Ages , which were riche in ceramics.These completely new material has enabled to study for the first time household ceramics in the Moselle Valley. Whereas the essential part of knowledge used to concern funerary ceramic, it began possible to carry out the study of every day crockery. While Late Antique features still remain visible in some rough and smooth clay body vessels, 6th and 7th centuries are characterized by new shapes, probably coming from the Frankish area: carinate shaped vases and bowls, flared wall bowls, cups, flat based slightly decorated globular pots, with or without handle can be compared to the craft production in the outstanding Merovingian workshops such as Mayen, Huy and Maastricht.From the end of the 8th century, a morphological break occurs in domestic ceramic pottery. Closed shapes diversify (pots, pots with handles, with spouts, jugs) as well as in open shapes (skillet, bowls with pedestal base, curved bowls, goblets in the shape of a truncated cone, lids). Pots with handles or perforated neck are very decorated. They evolve towards more globular shapes with rounded bottoms.Stylistic influences introduced in the region from the 8th century reflect a strong impact of Belgium, the Luxembourg, the Netherlands and the Rhine Valley. This could be related to the Carolingian expansion which facilitated exchanges.Whereas the period between the 10th and 12th centuries usually means Revolution in Eastern Europe, it is surprising to find a large technical and morphological continuity in the different kinds of containers.The number of pots with handles decreases, whereas the pots with perforated neck for hanging are more numerous. Open shapes are limited to bowls, curved bowls and lids.Decorated ceramics are barely present, only a few pots and pots with handles can be found. Production is still typical of North-western Europe.It is not until the beginning of 13th century that a real revolution takes place in ceramics, leading to a new chronological and cultural area.
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Sauveterre-de-Béarn, du XIe au XVIe siècle : développement urbain et identité architecturale d'une ville-frontière / Sauveterre-de-Béarn, XIth to XVIth century : Urban Devlopment and Architectural Identity of a Border-City

Dufau, Cécile 22 November 2008 (has links)
L’étude d’archéologie urbaine menée à Sauveterre, une ville placée sur la frontière nord-ouest du pays de Béarn, a permis l’inventaire des vestiges médiévaux de monuments publics : pont, hôpital, château, église et couvent mendiant, et d’une vingtaine d’unités d’habitat : tour, demeures urbaines, boutique et moulins. L’analyse met en relief les essors successifs de la ville et le rôle du monument public, de la fortification et de l’architecture civile dans la monumentalisation de la ville-frontière béarnaise, à l’image des petites villes pyrénéennes. / The archeological study conducted in Sauveterre, a Bearn North-West frontier city, provided the survey of the medieval ruins of public buildings : bridge, hospital, castle, church and mendicant convent, and about twenty habitat unities : tower, urban houses, shop and mills. The analysis brings out the successive expansions of the city and the part of the public monuments, the fortification and the civilian architecture in the monumentalisation of the Bearnaise border-city, in the image of the Pyrenean little cities.
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Recherches sur le milieu des peintres verriers à Rouen à la fin du Moyen Age : l'atelier des Barbe / Research on the glaziers of Rouen in the late Middle Ages : the Barbe’s workshop

Blondeau, Caroline 11 July 2012 (has links)
Après la domination anglaise, Rouen est en 1450 une ville en pleine reconstruction. C’est dans ce contexte favorable qu’une dynastie locale de peintres verriers : les Barbe, va asseoir sa position d’acteurs incontournables du vitrail rouennais. En premier lieu, cette étude s’attache à évoquer les hommes : leur famille, leur origine, leur statut social notamment au sein de leur paroisse, et plus largement l’encadrement du métier et l’organisation professionnelle. Peintres verriers de la cathédrale, les Barbe occupèrent une place particulière au sein du panorama rouennais : à travers les comptes de fabrique et les vitraux encore conservés en nombre, il a été possible de retracer l’activité de l’atelier Barbe au service de la cathédrale. Cette « charge » impliquait en effet un fonctionnement particulier et surtout des interventions dans tout l’ensemble cathédral dont il reste encore des vestiges au sein de l’église métropolitaine. Auteurs de nombreux vitraux, l’établissement d’un corpus a été l’une des grandes thématiques de cette thèse. L’analyse des oeuvres a permis de séparer et d’identifier des groupes de vitraux, notamment grâce à l’utilisation de documents d’atelier. En pleine évolution des styles, en pleine réforme des élites, les Barbe incarnent, de 1450 à 1530, un art local conformiste qui remportait beaucoup de succès jusqu’à une date avancée. Pendant près de deux siècles, ils ont occupé une place importante au sein du milieu rouennais et auprès des fenêtres de la cathédrale. / After British rule, Rouen is in 1450 a city under reconstruction. In this opportune context, a local family of glaziers : the Barbe, will consolidate its position as key players in Rouen. First, this study aims to evoke the men : their families, their origin, social status specially in their parish and the framework of business and professional organization. Glass-painters of the cathedral, the Barbe occupied a special place in the panorama of Rouen : throught the remaining archives and works of art still preserved, it was possible to trace the activity of the workshop serving the cathedral. This « office » implied in fact a particular operation and especially interventions all over the cathedral domain which still remains within the church. Authors of several windows, the establishment of a corpus was one of the major theme of this thesis. Works’ analysis allowed to separate and identify groups of stained glass, especially through the use of workshop material. In a period of style evolution, when new elites involved in the command, the Barbe personify a local art, conformist whon won great success from 1450 to the years 1500. For nearly two centuries, they occupied an important place among the glaziers of Rouen, watching over the cathedral’s windows.

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