Ce projet analyse la présence du traumatisme ainsi que de la santé mentale dans la literature francophone. Visant à explorer ces rapports, ce projet de recherche se base sur la question du rôle du traumatisme ainsi que de la santé mentale dans Chair piment (2002) et Folie, aller simple. Journée ordinaire d’une infirmière (2010) de Gisèle Pineau, par rapport à l’individu et par rapport à la collectivité. Pour commencer, ce projet de recherche introduit les définitions des termes « traumatisme » et « santé mentale, » pour cimenter les recherches dans un discours spécifique. Ensuite, il explore la façon dont ces deux définitions s’appliquent aux textes du corpus. Après, à partir de la pensée de Julia Kristeva sur la dépression et l’abjection, il se concentre sur l’individu et son rapport à ces éléments. Mais du point de vue collectif, le travail se concentre sur les éléments historiques et sociaux qui peuvent être des facteurs déterminants de la « maladie mentale ». Pour cela, le travail s’inspire de Judith Butler, surtout dans ce qu’elle appelle les « grievable lives », pour montrer que certains traumatismes collectifs peuvent avoir un impact durable sur les individus sans que cela puisse paraître comme tel. / Thesis / Master of Arts (MA)
Identifer | oai:union.ndltd.org:mcmaster.ca/oai:macsphere.mcmaster.ca:11375/24054 |
Date | January 2018 |
Creators | Lepingwell-Tardieu, Abiela Maia |
Contributors | Nshimiyimana, Eugène, French |
Source Sets | McMaster University |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Page generated in 0.0022 seconds