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Sarcophages mon amour, nous aurons vécu nous non plus, suivi de, L'analyse du vide postmoderne

À l'heure de l'hyperconsommation, de l'hypersexualité et de l'individualisme ou les grandes vérités s'effondrent, le couple, en tant que modèle unissant deux personnes dans l'exclusivité amoureuse et sexuelle, éclate. Adoptant la forme d'un roman épistolaire, la première partie de la thèse en création littéraire, Sarcophages mon amour, nous aurons vécu nous non plus, témoigne du vide suscité par une certaine désubstantialisation du couple et de l'apparition d'une nouvelle réalite amoureuse.
La deuxième partie, L'analyse du vide postmoderne, approfondit la définition de ce mal-être contemporain lié à la perte de sens des modèles amoureux. Dans un premier temps, certaines notions théoriques ont permis de mieux saisir les enjeux philosophiques, sociologiques et littéraires du vide postmoderne. Dans un deuxième temps, j'ai mis l'accent sur trois romans québécois qui ont fait du vide postmoderne leur trame de fond: Le principe du geyser de Stéphane Bourgignon, Marie-Hélène au mois de mars de Maxime-Olivier Moutier et Unless d'Hélène Monette. J'ai effectué enfin un retour sur Sarcophages mon amour, nous aurons vécu nous non plus, tout en explicitant le lien qui unit le vide au genre épistolaire.
En somme, ma thèse offre une perspective à la fois créatrice et critique du vide postmoderne.

Identiferoai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/27713
Date January 2008
CreatorsMénard, David
PublisherUniversity of Ottawa (Canada)
Source SetsUniversité d’Ottawa
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
TypeThesis
Format99 p.

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