La détermination des constantes de formation des complexes simples et mixtes en solution exige d’abord leur identification. Ste-Marie (4), lors d'une étude de complexes de zinc par la méthode de solubilité, a mis au point une technique permettant d'identifier les espèces en concentration prédominante en solution. Cette méthode, basée sur les pentes de la courbe de solubilité en fonction du pli et de la concentration totale de ligand en solution, permet de déterminer la charge des espèces prédominantes, à condition que la solubilité de ces dernières soit négligeable comparativement à l'excès de ligand en solution. Puisque la méthode de solubilité ne permet pas de dire si les complexes sont mononucléaires ou polynucléaires, on doit, lorsqu'il est possible lui adjoindre une météhode permettant de déterminer l'influence des espèces associées. À cet effet, nous avons choisi la méthode potentiométrique proposée par Sillén (9). La combinaison de ces deux méthodes a été appliquée à l'étude de la solubilité de l'hydroxyde de cadium et de l'oxyde cuivrique. Les résultats obtenus ont montré que l'association des espèces en solution est nulle ou négligeable et que les données expérimentales pouvaient être expliquées à l'aide des espèces... / Montréal Trigonix inc. 2018
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/33371 |
Date | 30 January 2019 |
Creators | Taillon, Richard |
Contributors | Gübeli, A. O. |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | thèse de doctorat, COAR1_1::Texte::Thèse::Thèse de doctorat |
Format | 133 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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