Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:OOU.#10393/20454 |
Date | 30 November 2011 |
Creators | Mainguy, Jacinthe |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thèse / Thesis |
Page generated in 0.0024 seconds