Notre thèse s'intéresse aux conflits d'agence entre les actionnaires de contrôle et les actionnaires minoritaires pouvant surgir suite à une décision de fusion ou d'acquisition. Plus précisément, nous tentons, à travers trois essais, d'identifier les cas où, les actionnaires de contrôle utilisent des opérations de fusions-acquisitions comme un outil de transfert de richesses des actionnaires minoritaires vers leurs propres comptes. Dans le premier essai, nous présentons une analyse théorique de ce comportement opportuniste avec deux cas portant sur des faits réels. En utilisant la méthodologie des études d'événement, nous montrons dans le deuxième essai que ce comportement peut se révéler important dans des cas spécifiques liés au degré de l'enracinement de l'actionnaire de contrôle. Dans le troisième essai, nous montrons que la prime d'acquisition peut refléter ce comportement dans les cas de fusions-acquisitions à caractère public / Our dissertation focuses on agency conflicts between controlling shareholders and minority shareholders that may arise following a merger-acquisition decision. Through three essays, we aim to identify cases in which the controlling shareholders use mergers and acquisitions as a tool to transfer wealth from minority shareholders to their own accounts. The first essay provides a theoretical analysis of this opportunistic behavior and examines two real cases. Using event study methodology, the second essay shows that the opportunistic behavior may be important in specific cases linked to the level of shareholder's entrenchment. Finally, the third essay shows that the acquisition premium may reflect this behavior even in cases of public transactions
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2011GRENG008 |
Date | 18 November 2011 |
Creators | Thraya, Mohamed |
Contributors | Grenoble, Albouy, Michel |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
Page generated in 0.0019 seconds