"L'image que l'on donne/ N'est pas toujours la bonne" Les Cowboys Fringants, “Les Hirondelles” Malgré les changements dans le traitement des femmes au fil des décennies, les vraies policières continuent de souffrir des injustices de la part de leurs supérieurs masculins, ainsi que de la communauté qu'ils ont juré de protéger. Tant que la fiction reflète la réalité, on peut s'attendre que le genre de la polar du type policier démontrera non seulement les injustices entre les sexes, mais aussi les façons différentes que les victimes féminin y répondre. Comme des vrais policières, les détectives féminins fictifs sont trop souvent des victimes, même quand elles sont les protagonistes, même si leurs auteurs sont des femmes. Preuve de la discrimination contre les femmes policières réelles et fictives seront explorées dans cette thèse en regardant l'histoire des romans policiers, à travers des études de cas réels impliquant des policiers féminins réelles, ainsi que l'analyse de certains personnages clés dans les textes de discussion par Chrystine Brouillet, Vicki Delany et Louise Penny. En conséquence, il sera démontré que les images projetées par les agents de polices féminins réels et fictifs, quelles ne sont pas toujours bonnes, sont de plus en plus varié à la suite du mouvement féministe et en raison de la résistance littéral et imaginaire aux stéréotypes sexistes. Même si elles sont maintenant les protagonistes, les femmes détectives fictionaux faire face aux un réduction du l'agence et sont soumisent aux attentes différentes de genre que leurs homologues masculins. Aspects de l'inégalité des sexes présents dans les sociétés occidentales d'aujourd'hui se glissent dans la fiction et agir dans une manière pas toujours possible dans la monde réalité. Parfois, les situations sexistes sont résolu dans fiction, malgré le fait qu'ils existent toujours dans les vies quotidien de certaines femmes policiers. Les stéréotypes autour qu'est-ce que ça veut dire d'être policier causent des injustices du genre et existent souvent simultanément avec des images de femmes qui nient ces mêmes stéréotypes. La représentation de la femme policière est donc multiples, les stéréotypes reproduit, mélangé, ou effacé complètement.
Masculinity is still regarded as the embodiment of strength and heroism
and the female body, weakness and victimization.
Philippa Gates, Detecting Women, 282
Despite changes in the treatment of women over the decades, policewomen continue to suffer gender injustices at the hands of their male superiors, as well as from the community they are sworn to protect. The injustices they face are publicized by such media as the CBC, though often in an exaggerated fashion. As fiction often reflects reality, one can expect that the genre of the police procedural will demonstrate not only such gender injustices but also various ways victims respond to them. Like real policewomen, fictional female detectives are too often victims even when they are the protagonists, and even when their author is a woman. Evidence of the victimization of real and fictional policewomen will be explored in this thesis by looking at the history of detective fiction, and through real case studies involving real female police officers, as well as the analysis of certain key characters in focus texts by Chrystine Brouillet, Vicki Delany, and Louise Penny. As a result, it will be shown that the images projected by actual and fictional female police officers, while not always positive ones, are becoming more varied as a result of the feminist movement and as a result of literal
and imaginary resistance to sexist stereotypes. Despite having moved into a protagonist position, fictional female detectives all too often have reduced agency and different gendered expectations than their male counterparts. Aspects of gender inequity present in Western societies today creep into fiction and are played out in ways not always possible in reality. Sometimes, sexist problems present in the fictional texts are resolved despite the fact that they still exist in certain policewomen's everyday lives. Stereotypes of what a police officer should be function in ways that reflect and reproduce gender
injustices and often exist simultaneously with images of women that resist and oppose these same stereotypes. The representation of policewoman is thus multiple, reproducing stereotypes, blurring them, or erasing them altogether.
Identifer | oai:union.ndltd.org:usherbrooke.ca/oai:savoirs.usherbrooke.ca:11143/65 |
Date | January 2013 |
Creators | Taylor, Tammy |
Contributors | Leahy, David |
Publisher | Université de Sherbrooke |
Source Sets | Université de Sherbrooke |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Mémoire |
Rights | © Tammy Taylor, Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.5 Canada, http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/ca/ |
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