Au courant de ma thèse, je tente de répondre à la question de recherche suivante : qu’est-ce qui distingue les jeunes universitaires qui participent lors des élections fédérales canadiennes des jeunes universitaires qui ne participent pas? Je propose l’hypothèse que les jeunes universitaires qui participent lors des élections ont des réseaux sociaux plus politisés que les jeunes qui décident de ne pas participer. Suite à la distribution d’un sondage auprès des étudiants et étudiantes de l’Université d’Ottawa, j’ai effectué une série de statistiques descriptives, de tests du khi carré et deux régressions logistiques binaires (une régression utilisant un codage ordinal et une régression utilisant un codage de variables muettes). Ces régressions contrôlent le genre, la langue de préférence, l’année d’étude, l’habitation avec les parents au courant de l’année scolaire, la lecture des nouvelles, l’intérêt en politique, les connaissances en politique, et la fréquence des conversations au sujet de l’élection avec ses parents et ses ami(e)s. Cette analyse démontre des résultats intéressants, notamment que l’influence des parents est plus importante que l’influence des ami(e)s en ce qui concerne la participation électorale des jeunes universitaires.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/36827 |
Date | January 2017 |
Creators | Mayer, Danielle |
Contributors | Stockemer, Daniel |
Publisher | Université d'Ottawa / University of Ottawa |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
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