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L'échange social dans les relations au travail : trois études sur les comportements citoyens des employés

Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Cette thèse par articles étudie les comportements citoyens des employés à l’aune de la théorie de l’échange social. Deux domaines de recherche contemporains, émergeants et sous-exploités ont été identifiés : celui des études sur les différences intergénérationnelles, et celui des études sur l’écologisation des entreprises. Le premier article examine si l’appartenance à un groupe générationnel, celui des baby-boomers versus celui de la génération X, influence les relations entre le soutien perçu de l’organisation et des collègues, l’engagement envers l’organisation et les collègues, et les comportements de citoyenneté organisationnelle. Bien que les membres de la génération X semblent moins disposés à échanger des attitudes et comportements positifs en retour du soutien de leur employeur, les résultats indiquent qu’il existe davantage d’affinités que de différences entre les deux cohortes. Le deuxième article étudie l’interaction de facteurs individuel (i.e., les croyances environnementales personnelles) et organisationnels (i.e., le soutien perçu de l’organisation et du superviseur envers l’environnemental naturel), sur l’engagement environnemental et les comportements d’éco-citoyenneté organisationnelle des employés. Les résultats valident la plupart de nos hypothèses mais indiquent qu’il n’y a pas d’effet de synergie entre les déterminants individuel et organisationnels. Au contraire, notre étude montre que la politique environnementale d’une entreprise semble plus susceptible d’avoir un écho sur les employés possédant des croyances environnementales personnelles faibles. Le troisième article examine l’influence d’échanges sociaux multiples au travail (les relations respectives entre le soutien perçu de l’organisation, du superviseur, et des collègues, et l’engagement envers l’organisation, le superviseur, et les collègues) sur les initiatives éco-citoyennes des employés. Les résultats indiquent que les éco-initiatives sont davantage influencées par les relations avec les collègues de travail, tandis que les relations avec l’organisation et le superviseur jouent un rôle indirect. Les implications théoriques et managériales de chaque article sont discutées.

Identiferoai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/26007
Date January 2015
CreatorsRaineri, Nicolas
ContributorsPaillé, Pascal
PublisherUniversité Laval
Source SetsUniversité Laval
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
Typeinfo:eu-repo/semantics/doctoralThesis
Format1 ressource en ligne (xiv, 158 pages), application/pdf
Rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccess, https://corpus.ulaval.ca/jspui/conditions.jsp

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