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Social consequences of the privatization in Bulgaria and socio-economic impact of the neo-liberal economic theory on the transition to free market and democracy in the period from 1989 to 2015

Objectifs : Le mémoire examine la privatisation en Bulgarie à partir d'une certaine distance historique de 25 ans, pour démontrer les conséquences sociales présentement visibles, entre autres les inégalités sociales par rapport au développement économique; l’impact démographique aussi que les nouvelles structures et valeurs sociales. Méthode: Nous utilisons une approche à deux volets. Pour le développement socio-économique, nous étudions six variables constantes pour la période, telles que le nombre de personnes en dessous du seuil de pauvreté, le PIB, l'indice Gini, les dynamiques démographiques, le taux de chômage et l'indice de développement humain; Pour les changements sociaux, les nouvelles structures et les valeurs, nous utiliserons une approche qualitative, basée sur des entrevues, des questionnaires, des études de terrain, etc. Résultats: Nous constatons que les résultats obtenus par les deux méthodes, ceci comprenant leurs limitations, correspondent plutôt à notre hypothèse : la privatisation en Bulgarie était économiquement nécessaire, mais socialement destructive et a entraîné des conséquences sociales dévastatrices à long terme, principalement en raison des politiques et des pratiques de privatisation défectueuses. La privatisation a émergé de la théorie néo-libérale économique prédominant à l'époque. Les pratiques spécifiques utilisées dans la privatisation Bulgare ont favorisé principalement à court terme certains petits groupes sociaux, mais pas la société dans son ensemble. Conclusion: Nous constatons que la façon dont la privatisation bulgare a été menée a été socialement et économiquement nuisible avec des conséquences continues. À long terme, l'économie s'est rétablie, mais les divergences sociales ont toujours une tendance à croître. / Objectives : We look at the privatization in Bulgaria as defined above from a certain historical distance of 25 years, trying follow the visible now social consequences of the privatization, such as social inequality vs economic development; demographic impact and new social structures and values. Method: We use a two-prong approach. For the socio-economic development we study six constant variables for the defined period such as number of people below poverty line, GDP, Gini Index, demographic dynamcs, employment rate, and Human development index; for the social changes, new structures and values we use a qualitative approach, based on based on interviews, questionnaires, field studies, etc. Results: We find that results by both methods, with all the limittaions they have, rather align with our hypothesis that privatization in Bulgaria was economically necessary, but socially destructive and led to devastating social consequences, mainly as a result of flawed privatization policies and practices. It did emerge from the predominant at that time neo-liberal economic view and the specific practices used in the Bulgarian privatization favoured mainly in short term for some small social groups but for the society as a whole. Conclusion: We find that the way Bulgarian privatization was conducted was socially and economically damaging with long lasting consequences. In the long run the economy has recoverd, however the social divergences tend to grow.

Identiferoai:union.ndltd.org:umontreal.ca/oai:papyrus.bib.umontreal.ca:1866/19409
Date05 1900
CreatorsToromanov, Evgueniy
ContributorsSabourin, Paul
Source SetsUniversité de Montréal
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeThèse ou Mémoire numérique / Electronic Thesis or Dissertation

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