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The Role of the Ecological Other in Contesting Postcolonial Identity Politics : an Interdisciplinary Study of the Postcolonial Eco-literature of J.M Coetzee and Wu Ming-yi / L’autre écologique : une contestation de la politique de l’identité postcoloniale : une étude interdisciplinaire de la littérature écologique postcoloniale de J.M Coetzee et Wu Ming-yi

Chang, Ti-Han 18 June 2018 (has links)
Cette thèse présente une analyse comparée des œuvres de deux écrivains contemporains, John Maxwell Coetzee (1940-), originaire d’Afrique du Sud, et Wu Ming-yi (1971-), de Taïwan, que l’on associe au genre de la « littérature écologique postcoloniale ». À partir de leurs travaux, cette thèse propose une étude interdisciplinaire couvrant trois dimensions de leurs travaux : la théorie, la politique et le littéraire. Les textes choisis pour l’analyse sont ceux qui cherchent à la fois à fournir une image dystopique de l’exploitation des environnements naturels et des êtres non-humains et à représenter l’oppression coloniale des peuples colonisés et de l’exploitation des ressources naturelles dans différentes parties du monde. En ce qui concerne la dimension théorique, la thèse aborde le questionnement suivant : comment la philosophie occidentale contemporaine prend en compte les animaux et les êtres écologiques (êtres non-humains et non-animaux), afin de reconsidérer la question plus générale de l’altérité. Quant à la dimension politique, la thèse adopte une posture philosophique afin de questionner les contextes historiques des pays postcoloniaux, notamment ceux de l’Afrique du Sud et de Taïwan. Enfin, la dimension littéraire examine les écrits de Coetzee et de Wu afin de montrer comment leurs textes décrivent l’« autre écologique » (ecological other) en tant que moyen pour lutter contre l’identité politique postcoloniale. / This thesis presents the literary works of two contemporary writers—John Maxwell Coetzee (1940-), originally from South Africa, and Wu Ming-yi (1971-) from Taiwan—whom it analyses as key exponents of postcolonial eco-literature. The thesis offers an interdisciplinary study of their works in their theoretical, political and literary aspects. The texts selected for analysis are those that seek to present a dystopian image of the exploited natural environment or nonhuman entities, while, at the same time, associating and articulating these representations with the suppressions and exploitations carried out within colonial frameworks in different parts of the world. As regards the theoretical perspective of the thesis, it addresses the subject of how contemporary continental philosophy takes nonhuman animals and other kinds of ecological beings into account and rethinks the philosophical question of the other. With respect to politics, it contextualises this philosophical questioning by looking at the history of various postcolonial countries, notably South Africa and Taiwan. Lastly, as far as literature is concerned, it examines the writings of Coetzee and Wu in order to show how their texts depict the ecological other as a way of contesting postcolonial identity politics.
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Visions croisées dans la littérature du Grand Océan: approche comparatistes des littératures francophones et anglophones de Polynésie / Converging visions in the contemporary literature of Oceania: a comparative approach to french- and english- languages literatures from Polynesia

Close, Anne-Sophie 08 January 2015 (has links)
Ancrée dans les réalités du monde océanien contemporain et prenant comme thématique centrale les questions de la représentation de la terre et du lien à la terre, cette recherche doctorale consiste en une analyse comparative et écocritique des textes et contextes formant le champ particulier des littératures autochtones produites en Polynésie, tant en français qu’en anglais. Les problématiques environnementales et la question de l’attachement à la terre sont au cœur des œuvres littéraires polynésiennes contemporaines, tant francophones qu’anglophones, dont elles permettent de questionner la parenté. Le choix d’une approche critique novatrice et originale, basée sur les "postcolonial ecologies", permet de faire dialoguer « texte » et « monde » et d’ainsi toucher à l’universel. En s’attachant à certaines problématiques humanitaires et écologiques cruciales, dont l’urgence se fait de plus en plus pressante en cette ère où le réchauffement climatique et les pollutions multiples mettent en péril la survie de nombreuses cultures et écosystèmes, ce travail doctoral dépasse le domaine purement littéraire et réaffirme avec force le pouvoir de l’imagination poétique dans la réinvention d’un autre rapport au monde, plus juste socialement et écologiquement.<p>Par le choix de son objet autant que par celui de sa méthode, où le dialogue interdisciplinaire et interculturel occupe une place essentielle, cette étude se veut doublement novatrice. Elle embrasse plusieurs objectifs. Premièrement, faire connaître une production littéraire francophone largement méconnue, issue d’une aire géographique et culturelle spécifique (la Polynésie). Deuxièmement, renforcer le dialogue trans-océanique grâce à la confrontation des productions francophones et anglophones, et s’inscrire ainsi pleinement dans l’actualité de la recherche sur les littératures océaniennes. Troisièmement, usant des apports de ce dialogue et des outils proposés par l’analyse écocritique, poser la question de l’existence ou non d’un univers littéraire trans-linguistique et océanien. Quatrièmement, contribuer à enrichir et éclairer les théories littéraires écocritiques grâce aux spécificités et aux problématiques soulevées par les littératures polynésiennes. Œuvres littéraires et méthode critique s’inscrivent donc dans un processus d’échanges et de retours constant et dynamique, s’éclairant réciproquement afin de parvenir à une compréhension mutuelle plus profonde et féconde de nouvelles possibilités.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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