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Une alchimie conceptuelle : économie participative et matérialisme hédoniste

Tremblay-Pépin, Simon January 2007 (has links) (PDF)
L'alchimie conceptuelle est une tentative méthodologique de lier deux substances conceptuelles qui paraissent distinctes au premier abord. D'un côté, l'économie participative, un système économie alternatif au capitalisme qui se fonde sur la socialisation des moyens de production et l'autogestion. De l'autre, le matérialisme hédoniste, une proposition éthique qui propose d'en finir avec l'idéal ascétique qui ronge la civilisation occidentale. L'alchimie conceptuelle prend les concepts pour des objets et tente de les transformer en les mettant en contact avec d'autres objets. On utilise ici l'éthique, le capitalisme, l'écologie sociale de Bookchin et l'existentialiste marxiste d'André Gorz. Au contraire de ce qu'on pourrait penser, il s'agit d'une tentative très concrète (mais plus ou moins réussi, on en convient) menée par un praticien qui souhaite venir à bout de certains mélanges dans le but de mieux comprendre ce qu'il fait. La conclusion témoigne de cette volonté de concevoir une praxis existentielle.
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L'économie participaliste : une économie capable d'actualiser les valeurs libertaires?

Lebrun, Pascal 02 1900 (has links) (PDF)
L'économie participaliste, ou écopar, est un système économique proposé comme une alternative au capitalisme et au socialisme « réel ». La vie économique y est régie par des conseils de travailleurs et de travailleuses ainsi que des conseils de consommation autogérés et fédérés par l'entremise d'un processus de planification participative. Quelques propositions institutionnelles pour les fonctions non économiques de la société ont aussi été formulées pour complémenter le projet d'écopar, mais ces propositions sont au mieux encore incomplètes, quoiqu'il existe un squelette de plus en plus précis de système politique participaliste. Les formes de l'écopar, qui entendent actualiser les valeurs d'équité, d'autogestion, de solidarité et de diversité sans perte d'efficience économique, s'inspirent grandement de l'anarchisme social et du conseillisme. En analysant l'écopar sur la base de la pensée anarchiste, complémentée par le féminisme matérialiste, nous en arrivons à la conclusion qu'elle constitue une forme de socialisme collectiviste et libertaire apte à produire une société sans classes sociales et protégée contre la dérive autoritaire du socialisme « réel ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écopar, économie participaliste, participalisme, Michael Albert, Robin Hahnel, anarchisme
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Le Réseau Accorderie : terrain d'initiation pour une décroissance en action

Rossini, Francesca 19 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 janvier 2024) / Depuis les vingt dernières années, les monnaies sociales sont en plein essor, en Europe et au Québec notamment. Ces initiatives, souvent citoyennes, émergent en réponse à des préoccupations telles que les excès et les abus de la mondialisation, les inégalités économiques croissantes et les impacts environnementaux négatifs. Les monnaies sociales, qui s'adaptent aux contextes et réalités dans lesquels elles sont implantées, offrent une alternative permettant aux communautés de reprendre en main leur économie et de promouvoir des valeurs sociales et environnementales. La littérature scientifique sur le sujet s'attarde au fonctionnement de cette monnaie, à ses effets sur l'économie locale et les relations sociales de la communauté. Nous avons cherché à aller plus loin en faisant l'hypothèse que le Réseau Accorderie, un dispositif de monnaie sociale québécois qui repose sur l'échange de services entre ses membres et qui utilise le temps comme monnaie d'échange, peut être conçu comme un moteur de transformation sociétale et écologique. C'est par le prisme de la théorie de la décroissance que nous avons tenté d'évaluer la capacité de cette organisation à activer, par les pratiques quotidiennes des membres, certains principes de la décroissance, soit l'écologie, l'autonomie, la convivialité/le convivialisme et le care. À partir d'entretiens semi-dirigés auprès des membres, nous concluons que bien que les différents principes de la décroissance soient présents, à leur manière, dans les actions et réflexions des Accordeurs, c'est davantage le principe et les pratiques du care qui se démarquent comme composante essentielle des Accorderies en ce qu'ils structurent les relations sociales entre les membres et leur environnement, tant au niveau de la communauté, que plus largement envers la planète. L'organisation cultive et développe ainsi des conditions favorables aux rencontres et au développement du « prendre soin » dans l'acception la plus large du terme.

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