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Le Réseau Accorderie : terrain d'initiation pour une décroissance en action

Rossini, Francesca 21 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 janvier 2024) / Depuis les vingt dernières années, les monnaies sociales sont en plein essor, en Europe et au Québec notamment. Ces initiatives, souvent citoyennes, émergent en réponse à des préoccupations telles que les excès et les abus de la mondialisation, les inégalités économiques croissantes et les impacts environnementaux négatifs. Les monnaies sociales, qui s'adaptent aux contextes et réalités dans lesquels elles sont implantées, offrent une alternative permettant aux communautés de reprendre en main leur économie et de promouvoir des valeurs sociales et environnementales. La littérature scientifique sur le sujet s'attarde au fonctionnement de cette monnaie, à ses effets sur l'économie locale et les relations sociales de la communauté. Nous avons cherché à aller plus loin en faisant l'hypothèse que le Réseau Accorderie, un dispositif de monnaie sociale québécois qui repose sur l'échange de services entre ses membres et qui utilise le temps comme monnaie d'échange, peut être conçu comme un moteur de transformation sociétale et écologique. C'est par le prisme de la théorie de la décroissance que nous avons tenté d'évaluer la capacité de cette organisation à activer, par les pratiques quotidiennes des membres, certains principes de la décroissance, soit l'écologie, l'autonomie, la convivialité/le convivialisme et le care. À partir d'entretiens semi-dirigés auprès des membres, nous concluons que bien que les différents principes de la décroissance soient présents, à leur manière, dans les actions et réflexions des Accordeurs, c'est davantage le principe et les pratiques du care qui se démarquent comme composante essentielle des Accorderies en ce qu'ils structurent les relations sociales entre les membres et leur environnement, tant au niveau de la communauté, que plus largement envers la planète. L'organisation cultive et développe ainsi des conditions favorables aux rencontres et au développement du « prendre soin » dans l'acception la plus large du terme.
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La décroissance : examen philosophique d'un mouvement pour une économie alternative

Fournier, François 06 June 2018 (has links)
Avec l’achèvement de l’entrée dans la modernité, l'idée d'une société qui s'émanciperait de l'économie, comprise à la fois comme discipline scientifique et comme champ autonome d'activités visant l'enrichissement, a été considérée comme utopique. Le plus souvent, elle n'est tout simplement plus pensable. Très tôt, la concrétisation de l'édifice théorique de la science économique dans les pratiques de production a montré ses faiblesses, ses dysfonctionnements et sa tendance à produire des systèmes sociaux où règne une instabilité structurelle. Cette instabilité résulte, croyons-nous avec un certain nombre de penseurs, de l’impératif de croissance qui est au coeur de l’économie productiviste. S’il existe une voie alternative au déploiement infini des forces productives, elle n’est donc pas à chercher du côté de ceux qui ne cherchent qu’à réaménager l’ordre économique pour le rendre plus humain, plus équitable ou même plus durable et écologique, mais peut-être du côté de ceux qui s’attaquent à la logique même du système. Parmi eux, se développe depuis quelques années un mouvement que l’on nomme la décroissance. Il rassemble des penseurs issus de diverses traditions qui tentent de proposer une critique radicale de « l’économie ». Bien qu’il existe une vaste littérature sur le mouvement, jusqu’à ce jour, aucune étude proprement philosophique n’a été entreprise pour connaître « sa nature » et identifier ses « principes ». Qu’est-ce que la décroissance? Voilà la question à laquelle tentera de répondre cette étude.
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Croître en Dieu ? : la théologie protestante interrogée par la décroissance selon Serge Latouche / Growing in God? : Protestant theology questioned by degrowth according to Serge Latouche

Kopp, Martin 11 September 2018 (has links)
Depuis 2002, la « décroissance » s’est imposée dans le débat sur l’écologie, l’économie et notre futur. Le présent travail interroge la théologie protestante à travers l’une des principales plumes de cette pensée hétérodoxe : Serge Latouche. Cet économiste français athée effectue une critique culturaliste de la société de croissance. Il en instruit un triple procès et appelle à la décolonisation créatrice de notre imaginaire partagé, afin de cheminer vers des sociétés d’abondance frugale autonomes, conviviales et heureuses. Cette position mène la théologie à s’interroger en premier lieu sur le croître. Au vu des données bibliques, il est constaté que l’imagerie chrétienne de la croissance augmente et contredit l’imaginaire dominant croissanciste. Partant, deux contributions sont apportées à une théologie du croître : l’une sur l’enrichissement commandé au disciple et à l’Église, où cette croissance est subvertie, l’autre sur la pousse des plantes et les proliférations d’animaux, où ces croissances sont réhabilitées. / Since 2002, “degrowth” has made its way into the debate on ecology, economics, and our future. The present work questions Protestant theology through one of the main writers of this heterodox thinking: Serge Latouche. This French atheist economist makes a culturalist critique of the society of growth. He puts it on a threefold trial and calls for the creative decolonization of our shared imaginary, so as to move towards autonomous, convivial, and happy societies of frugal abundance. This position first of all leads theology to question growth. Based on biblical data, it is noticed that the Christian imaginary of growth enriches and contradicts the dominant growthist imaginary. Hence, two contributions to a theology of growth are provided: one about the command to get rich addressed to the disciple and to the church, where this kind of growth is subverted, another about plant growth and animal proliferation, where these kinds of growth are restored to favor.

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