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Sémiotique et théorie de l'écriture : le cas du système d'écriture japonais

Bricteux, Gwennaël January 2007 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de déterminer quelle pourrait être la portée de la sémiotique philosophique de Charles Sanders Peirce sur la théorie de l'écriture, en prenant pour cas d'étude le système d'écriture japonais. Le mémoire questionne ainsi la légitimité de l'application de la sémiotique comme théorie générale des signes aux sciences spéciales, tout en éclairant, par converse, l'étude de l'écriture japonaise en tant que système graphique. Il est structuré en deux chapitres principaux, portant sur: 1) les principes de la sémiotique philosophique, et 2) le lien entre la sémiotique et la théorie de l'écriture. Dans le premier chapitre, la méthodologie du mémoire est tout d'abord établie par l'examen du pragmatisme de Peirce, considéré comme une doctrine méthodeutique ayant pour principe directeur la croissance. La sémiotique et la logique, de même que la linguistique et l'étude de l'écriture, sont situées dans le système piercéen des sciences. Les principes de la phanéroscopie et de la sémiotique sont également exposés. La philosophie de la notation logique de l'auteur est ensuite prise comme point de départ pour une étude de l'écriture du point de vue sémiotique. Dans le second chapitre, une synthèse des théories linguistiques de l'écriture japonaise est proposée, puis une théorie générale de l'écriture comme signe est élaborée à partir de la sémiotique peircéenne. La théorie sémiotique est appliquée plus spécifiquement au système d'écriture japonais et à l'analyse de ses transformations actuelles. Le retour réflexif et critique sur l'analyse effectuée permet par la suite de juger de l'adéquation des concepts sémiotiques dans leur application à l'étude de l'écriture japonaise. Le mémoire se conclut par une considération des liens que la sémiotique de l'écriture entretient avec les autres sciences philosophiques normatives, soit l'éthique et l'esthétique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sémiotique, Philosophie du langage, Philosophie des sciences, Écriture (système graphique), Japonais (Langue), Charles S. Peirce (Charles Sanders, 1839-1914).
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Corps et graphie : d'un art découvert à travers le kata

Bertrand, Françoise January 2010 (has links) (PDF)
La présente thèse-création part de l'hypothèse qu'une transposition de langage et de pratique s'effectuant entre le kata et l'écriture corporelle et graphique, ayant comme éléments charnières la mémoire, l'efficacité et la singularité, peut mener à un langage plastique singulier présentant toute la richesse que l'entre-deux de ces domaines peut nous proposer. Les deux champs, celui du kata ainsi que celui de la pratique de l'écriture, impliquent tout un substrat, un soubassement où des codes, des conditionnements viennent stimuler l'imagination. L'enjeu de la thèse est de dévoiler, par le rapprochement de ces deux champs d'action et de pratique et leurs croisements et interférences, un langage plastique singulier. Ainsi la thèse met en présence des sujets aussi divers que le kata, la transposition de langage, l'écriture corporelle et graphique, la mémoire, l'efficacité et la singularité, les dimensions matérielles et immatérielles de la production artistique, sans oublier l'expérience du spectateur face à cette dernière. Dans le cadre de cette thèse création sont associées de la manière la plus étroite, et à égalité, la réflexion théorique et la pratique. La théorie de l'art n'est pas indépendante de sa pratique. Réflexion, création, transposition, ont une valeur égale. Le cadre théorique s'appuie essentiellement sur les écrits de Kenji Tokitsu en ce qui concerne les différentes problématiques directement liées au kata et les écrits de François Jullien en lien avec la création artistique orientale. Les références concernant la création sont complétées par les ouvrages de Florence Hu-Sterk et Yolaine Escande. Afin de mieux cerner les idéologies orientales et la dimension spirituelle liées au kata et encore peu connues en Occident, sont pris en compte les propos de Michel Deydier-Bastide. Un cadre de références artistiques varié vient illustrer les propos. Les références se situent autant dans un corpus ancien de brouillons d'auteurs et de calligraphies que dans un répertoire pictural aux effets semblables mais d'approches différentes incluant des oeuvres de Frida Kahlo et de Jean Degottex. Les méthodes employées s'inscrivent dans une visée méthodologique transdisciplinaire puisant autant dans la phénoménologie, la sémiologie, l'esthétique et la poïétique. Les écrits de Maurice Merleau-Ponty et de Roland Barthes sont d'une aide précieuse à ce sujet. La recherche historique et sémantique est complétée par une approche heuristique fonctionnant selon le principe de la découverte. Nous restons alerte aux transformations et aux mutations possibles. Souhaitant produire un langage au delà de la combinaison de concepts et de théories communes à deux domaines différents, celui du kata et celui des arts plastiques, c'est dans le cadre d'une thèse création que l'auteur vient défendre sa liberté créatrice de pouvoir relativiser les définitions données à différentes notions afin de les adapter aux besoins de recherche. La méthode d'apprentissage et la sensibilité du kata sont-elles en effet applicables à la création artistique? Comment la transposition de langage s'effectue-t-elle, quels éléments peuvent être transposés? Le corps est-il vraiment graphie? Et si c'était le cas, faudrait-il alors éduquer le corps plutôt que d'apprendre des techniques artistiques? Comment cet apprentissage se ferait-il? Comment, dans quelles limites et par quels moyens s'exprime la singularité si nous souhaitons nous inscrire dans la pratique d'une riche tradition? Et finalement, comment et grâce à quels moyens, l'expérience d'un processus créatif se partage-t-elle ? Tant de questions où l'auteur essaie, dans le cadre de la présente thèse, de proposer quelques éléments de réponse. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art, Écriture, Kata, Mémoire, Efficacité, Singularité.

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