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La floraison du jardin de foi en Nouvelle-France - Marie de l'Incarnation et François de Laval : la rencontre atypique de deux fondateurs

Bélanger, Raymond 13 December 2023 (has links)
Cette recherche s'intéresse à la relation entre deux fondateurs de l'Église canadienne, soit Marie de l'Incarnation, née Marie Guyart (1599-1672), fondatrice religieuse et supérieure des Ursulines de Québec et François de Montmorency Laval (1623-1708), vicaire apostolique puis premier évêque du diocèse de Québec, de l'arrivée de ce dernier à Québec, en 1659, jusqu'au décès de mère de l'Incarnation en 1672. Plus spécifiquement, nous avons voulu vérifier la nature des liens entre ces deux saints canonisés en 2014, qui vécurent presque à portée de voix pendant 13 ans. Bien que des sources consultées nous mettent sur la piste d'une pensée dévote commune, entre autres en ce qui a trait à la vie intérieure et à la mystique apostolique débouchant sur une rencontre spirituelle atypique, elles ne permettent pas d'accréditer l'existence d'une interrelation spirituelle entre ces deux pionniers. Néanmoins, la recherche nous fait suivre deux cheminements religieux, s'épanouissant dans une époque marquée par un essor spirituel sans précédent, un itinéraire qui leur permit de converger vers la Nouvelle-France et de contribuer à asseoir l'Église catholique naissante sur de solides fondations. / This research focuses on the relationship between two founders of the Canadian Church, namely Marie de l'Incarnation, born Marie Guyart (1599-1672), religious founder and superior of the Ursulines of Quebec, and François de Montmorency Laval (1623-1708), first bishop of the diocese of Quebec. More specifically, we explored the nature of the connections between these two saints canonized in 2014, who lived almost within earshot for 13 years. Although the sources reveal certain commonalities leading to an atypical spiritual encounter, they do not suggest the existence of a spiritual relationship between these two pioneers. Nevertheless, the research leads us to follow the prodigious religious journey of these two people, flourishing in an era marked by unprecedented spiritual growth, an itinerary that allowed them to converge in New-France and thus contributed to establishing the nascent Catholic Church on solid foundations.
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L'homme à chapeau, le Grand-Esprit et l'Anichenabé : Ojibwés et Jésuites dans le Canada-Ouest, 1843-1852 / Ojibwés et Jésuites dans le Canada-Ouest, 1843-1852

Dussault, Sylvie 24 April 2018 (has links)
Au début des années 1840, les jésuites, dans la tradition des missionnaires du XVIIe siècle en Nouvelle-France, reviennent au Canada, spécialement au Canada-Ouest, afin de convertir et d'amener au catholicisme les Ojibwés traditionalistes et protestants. À ce moment, plusieurs groupes d'Amérindiens habitent déjà dans des réserves, mais leurs conditions de vie se sont détériorées comparativement aux siècles précédents et ils doivent faire face à la nouvelle conjoncture politique et démographique qui tend à leur assimilation. L'analyse des arguments des Amérindiens traditionalistes contre le prosélytisme des jésuites et parallèlement, des motivations de quelques autochtones â épouser la doctrine catholique, permet de mettre à jour les façons de penser des deux protagonistes et par conséquent, d'entrevoir plus clairement la facette religieuse dans cette rencontre des cultures. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La mission catholique des Îles-de-la-Madeleine (1792-1846) : structuration institutionnelle et encadrement religieux en milieu insulaire

Bernard, Annie 11 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2004-2005 / Entre 1792 et 1846, sont posés les premiers jalons de l'encadrement religieux aux Îles-de-la-Madeleine. L'étude de la structuration institutionnelle de cette mission catholique, en milieu insulaire, nous donne l'occasion d'observer les changements survenus dans le type d'encadrement offert en fonction du contexte diocésain, et de saisir en quoi le contexte particulier de l'archipel a pu orienter les stratégies institutionnelles et teinter le travail des prêtres. Puisqu'ils ont joué un rôle de premier plan dans cette entreprise d'organisation des cadres de la vie socioreligieuse, il importe d'approfondir notre connaissance du cheminement, de ces derniers, d'une part, pour mieux comprendre la place qu'ils ont occupé au sein de la population madelinienne du temps, et d'autre part, afin de situer et de relativiser le discours mythificateur produit a posteriori par certains historiens locaux. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Naissance et évolution de la musique religieuse en langue vernaculaire dans les missions amérindiennes de Nouvelle-France au cours de la première moitié du XVIIième siècle

Dubois, Paul-André 24 April 2018 (has links)
Cette étude porte sur la naissance et l'évolution de la musique religieuse vocale en usage dans les missions amérindiennes de la Nouvelle-France au cours de la première moitié du XVIIe siècle. Condition essentielle à l'éclosion d'un premier répertoire vocal catéchétique, la conquête des langues amérindiennes par les missionnaires de diverses compagnies — jésuites, capucins, récollets, ursulines — y est par conséquent longuement traitée. La diffusion du cantique spirituel en langues amérindiennes, résultat d'une première maîtrise des idiomes locaux, fait ensuite l'objet d'une analyse détaillée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'émergence d'une église locale au Diocèse d'Idiofa au Congo-Zaïre

Mpimpa Fiamba, Nestor 27 February 2021 (has links)
Après avoir retracé succinctement les origines lointaines du diocèse d’Idiofa au Congo-Zaïre, nous avons identifié aisément les nombreux défis à relever au seuil de ce nouveau millénaire. Pour ce faire, il nous a fallu nous replonger dans l’histoire de la colonisation belge pour mieux situer les enjeux fondamentaux. Car le diocèse d’Idiofa est né dans le prolongement direct de l’évangélisation du Congo-Belge par les missionnaires belges. Il est donc le fruit du savoir-faire et des limites des missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Aussi avons-nous eu recours & l’histoire profane et ecclésiastique, à l’anthropologie, à la sociologie, à la pastorale, au droit canon, à la catéchèse et la missiologie pour faire ressortir la continuité et la discontinuité dans l’évangélisation missionnaire. Cette évangélisation s’est faite dans la violence psychologique, morale et parfois physique. Avec la nomination des premiers évêques autochtones, s’ouvrait une nouvelle page de la mission au Congo. Un tel mouvement recevra une nouvelle impulsion avec la tenue du Concile Vatican II entre 1962 et 1965. Malgré tout, et bien que Vatican Q constitue un tournant dans l’Église catholique, le diocèse d’Idiofa fonctionne suivant le modèle du Concile Vatican I. C ’est pour cela que nous posons le problème de sa revalorisation à travers l’hypothèse de la triple autonomie : décisionnelle, apostolique et financière. Bien que la conjoncture internationale crée des disparités entre le Nord et le Sud, dorénavant, chaque Église locale est appelée à se prendre en main plutôt que de compter toujours sur l’aide financière de l'Occident. En clair, d’un côté, il y a surdéveloppement, de l’autre, on assiste au développement du sous-développement. Bien plus, la nouvelle ecclésiologie issue du Concile Vatican II appelle désormais un nouveau rôle chez les missionnaires afin que le clergé local puisse lui-même gouverner et gérer l’Église dont il est responsable. C’est à ce prix seulement que la nouvelle évangélisation pourra se réaliser bien aussi dans sa méthode que dans ses enjeux.
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Sœurs grises et Inuit : ethnohistoire de l'Hôpital Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus, Chesterfield Inlet, 1931-1967

Michaud, Marco D. 05 June 2021 (has links)
Chesterfield Inlet est d'abord choisi par Mgr Arsène Turquetil en 1912 pour y fonder une mission catholique (Notre-Dame-de-la-Délivrande). Dès le début de la mission, il se rend vite compte de la nécessité de la construction d'un hôpital. C'est finalement en 1931 que le premier hôpital de l'Arctique canadien, l'Hôpital-Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus, ouvre ses portes. À la demande de Mgr Turquetil, quatre Sœurs Grises nicolétaines prennent la route du Nord au printemps 1931 afin de perpétuer l'œuvre de Marie-Marguerite de Lajemmarais d'Youville, fondatrice de la congrégation des Sœurs Grises. Ce mémoire traite à la fois du travail de ces premières religieuses venues au nom de leur foi « en terre stérile », afin d'y prodiguer des soins et de la réaction des Inuit face à cette nouvelle institution apportée par les qallunaat, les blancs. Le mémoire est divisé en quatre parties. La problématique, la revue de la littérature et la méthode font l'objet d'un premier chapitre. Le chapitre deux traite de la mise en chantier du projet de l'hôpital, du voyage des Sœurs Grises nicolétaines jusqu'à Chesterfield et de leurs représentations du Nord. Le chapitre trois présente les activités qui ont lieu à l'hôpital (naissances, épidémies, hospitalisations, etc.). Finalement, le chapitre quatre s'intéresse au quotidien des sœurs et au début de la formation d'une communauté religieuse inuit.
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Le financement canadien-français de la mission chinoise des Jésuites au Xuzhou de 1931 à 1949

C. Fleury, Samuel 20 April 2018 (has links)
Les Jésuites du Québec œuvraient à l'accomplissement de la mission chinoise de Xuzhou que le Saint-Siège leur confiait en 1931. Ceux-ci captaient le soutien de nombreux bienfaiteurs canadiens-français gagnés aux causes missionnaires. Un musée d'art chinois et la revue missionnaire Le Brigand étaient les principales publicités de leurs activités en Chine. De juin 1931 à août 1950, plus de 1,1 million de dollars canadiens était donné à l'Église du Xuzhou via la Procure des Missions Étrangères de Chine, une institution jésuite fondée à Québec pour financer la mission. La pauvreté, les imprévus climatiques et l'instabilité politique maintenaient la communauté catholique du Xuzhou dans un état de dépendance face aux dons de l'Église canadienne-française. Favorisant le financement des institutions d'enseignement de l'Église du Xuzhou, les Jésuites du Québec ont formé peu de prêtres chinois avant leur expulsion de la Chine par le Parti communiste chinois à partir de 1949. / The Quebec Jesuits were given the Chinese mission of Xuzhou by the Holy See in 1931. They were supported by many French Canadian donors convinced of the importance of missionary causes. A museum of Chinese arts and the missionary review Le Brigand were the principal publicity of their activities in China. From June 1931 to August 1950, more than 1.1 million of Canadian dollars were given to the Church of Xuzhou by the Procure des Missions Étrangères de Chine, a Jesuit institution founded at Quebec to fund the mission. Poverty, climate instability and political insecurity maintained the Catholic community of Xuzhou in a state of dependence towards the French Canadian Church's generosity. Prioritizing the financing of the schools of the Church of Xuzhou, the Quebec Jesuits trained few Chinese priests before their exile of China by the Chinese Communist Party, starting in 1949.

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